Humanité en danger

Voici des informations, Dieu m’a guidé vers ces supports, dans un mensonge, il y a toujours une vérité.

LA 5 G = MALADIES

Le rayonnement sans fil est un énorme problème de santé qui continue d’être ignoré et une autre occasion pour nous de jeter un coup d’œil sur le passé d’événements semblables afin de tirer des leçons de nos erreurs.

Prenez le tabac par exemple, à une époque de l’histoire, vous étiez considéré comme un imbécile et «fou» si vous dénonciez les grandes compagnies de tabac et faisiez savoir aux gens que la cigarette compromet notre santé.

Aujourd’hui, la science a parlé, et elle a parlé pendant longtemps, malgré ce que les entreprises ont mis dans le corps du public et la «science» qu’elles ont utilisé pour approuver ces choses en premier lieu.

Il ne semble pas y avoir beaucoup plus de différence entre les entreprises de communication qui vendent et fabriquent des produits et services sans fil, ce qui, selon des centaines de scientifiques et d’innombrables publications, incite les autorités à accorder une plus grande attention quant aux effet du rayonnement sans fil sur la santé humaine.

C’est l’un des multiples exemples où le contrôle des entreprises régit et dicte la politique gouvernementale, des politiques qui favorisent les grandes entreprises à la demande de la planète Terre et du reste de la population humaine.

Mais c’est plus évident en Amérique du Nord.

Restrictions européennes :

En Europe, de nombreux pays ont des restrictions sur le WiFi et ont signalé des choses troublantes.

La France a adopté en 2015 une loi interdisant le WiFi dans toutes les écoles maternelles, la loi stipule que le WiFi doit être éteint dans toutes les écoles élémentaires lorsqu’il n’est pas utilisé.

Une connexion câblée, si possible, est préférable.

Les publicités orientant l’utilisation des téléphones cellulaires vers les jeunes enfants sont interdites.

Un exemple de la Namibie indique très clairement que les normes dites «de sécurité» actuelles ne protègent pas les citoyens des effets à long terme sur la santé, et que les directives régissant leur utilisation ne garantissent pas une protection adéquate contre les effets d’une exposition à long terme.

D’autres pays comprennent la Belgique, l’Espagne, Israël, l’Australie, l’Italie, la Suisse, l’Allemagne, l’Autriche, l’Inde, la Finlande, Chypre et plus encore.

Pourquoi disent-ils non au WiFi ?

Voyez par vous-même :

Oui, nous faisons des progrès, on fait de la sensibilisation et on prend des mesures, mais la prise de contrôle de l’Amérique du Nord par les entreprises et la quasi-totalité de la planète ne fait que passer notre santé sous la table, parce que, malheureusement, ils ont le pouvoir de le faire.

En même temps, c’est nous qui utilisons cette technologie.

Il devient si utile et si facile de s’en remettre à la société comme nous le faisons avec tout le reste.

Est-il ironique que nous recueillions des fonds et défendons la cause du cancer, tout en appuyant ce qui y contribue, à grande échelle ?

Des millions d’enfants et d’adultes dans les écoles du monde entier passent beaucoup de temps autour des appareils sans fil et du WiFi.

De nombreuses écoles mettent en place des politiques de type BYOD (Bring Your Own Device) et installent des routeurs industriels sans fil pour les tablettes.

Cependant, les appareils sans fil exposent les élèves et le personnel à des micro-ondes qui peuvent nuire à l’apprentissage et à la santé en général.

Des études ont montré que le rayonnement micro-ondes peut endommager les systèmes reproducteurs, avoir un impact sur le système immunitaire, altérer le fonctionnement du cerveau et augmenter le risque de cancer.

Les tablettes ont jusqu’à 5 antennes qui émettent constamment de courtes et intenses rafales de rayonnement, même lorsqu’elles ne sont pas connectées à Internet.

Les appareils sans fil dans les salles de classe entraînent donc une exposition à de multiples sources de rayonnement sans fil.

– Environemental Health Trust.

Les préoccupations en matière de santé 5G :

Alors, qu’en est-il de la 5G ?

La science indique déjà que les technologies sans fil actuelles de 2G, 3G et 4G (en usage aujourd’hui avec nos téléphones cellulaires, ordinateurs et technologies portables) crée une exposition aux radiofréquences qui pose un risque sérieux pour la santé des humains, des animaux et de l’environnement.

5G est le terme utilisé pour décrire la prochaine génération de réseaux mobiles au-delà des réseaux mobiles 4G LTE utilisés aujourd’hui.

La 5G est destinée à être la technologie qui permet à «l’Internet des objets» (IOT) d’exister et de connecter tous les appareils connectés à Internet ensemble.

Les scientifiques ont étudié les effets sur la santé des rayonnements 5G et sans fil : ils sont profondément préoccupés par leurs conclusions et appellent à l’arrêt du déploiement de la 5G, ainsi qu’à l’arrêt de l’augmentation proposée de l’exposition du public aux rayonnements radioélectriques.

Grâce aux efforts de divers chercheurs, scientifiques et autres, le monde s’éveille à cette information qui commence à faire parler d’elle dans le courant dominant.

Cela semble toujours être un long processus à partir du moment où l’on sait quelque chose jusqu’à ce qu’un consensus de masse et des étapes d’action soient créées.

Un rapport de CBS news a récemment souligné :

L’industrie du sans fil est dans une course au déploiement du service 5G.

Le réseau est censé être jusqu’à 100 fois plus rapide que les vitesses de transmission de données actuelles, mais il faut que l’équipement de la tour de téléphonie cellulaire soit plus près des utilisateurs qu’auparavant.

Les entreprises de communications sans fil aux États-Unis affirment qu’elles devront installer environ 300 000 nouvelles antennes, soit à peu près le nombre total de tours de téléphonie cellulaire construites au cours des trois dernières décennies.

Cela suscite l’indignation et l’inquiétude dans certains quartiers, car les antennes montent autour des maisons.

Le réseau 5G nécessite l’installation de nouveaux équipements à travers les États-Unis.

Chaque entreprise de téléphonie mobile travaille à la construction de son propre réseau 5G.

C’est pire que l’utilisation du téléphone cellulaire, et pourtant, selon les autorités sanitaires gouvernementales, «un nombre limité d’études ont montré une association statistique entre l’utilisation du téléphone cellulaire et les risques de tumeurs cérébrales… mais la plupart des études n’ont trouvé aucune association».

Attendre des niveaux élevés de preuves scientifiques et cliniques avant de prendre des mesures pour prévenir des risques bien connus peut entraîner des coûts sanitaires et économiques très élevés, comme ce fut le cas pour l’amiante, l’essence au plomb et le tabac.

La Commission européenne

Dr Martin Blank, Ph.D., du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université Columbia, s’est joint à un groupe de scientifiques du monde entier qui lancent un appel international aux Nations Unies concernant les dangers associés à l’utilisation de dispositifs à émission électromagnétique comme les téléphones cellulaires et le WiFi.

Lui et des centaines d’autres scientifiques du monde entier font actuellement une pétition à l’ONU, et ce, depuis un certain temps, au sujet des dangers associés à ces dispositifs.

«Pour parler franchement, ils endommagent les cellules vivantes de notre corps et tuent beaucoup d’entre nous prématurément.»

(ElectromagneticHealth.org).

Melissa Arnoldi, qui dirige les efforts d’AT&T, a dit : «Si ce n’est pas déjà dans votre quartier, ça arrive.»

C’est tout à fait inquiétant, elle a dit à CBS news que «la 5G utilise des ondes à haute fréquence qui supportent des vitesses plus rapides mais qui ne voyagent pas aussi loin que les fréquences sans fil actuelles.

Ainsi, au lieu de s’appuyer sur de grandes tours de téléphonie cellulaire éloignées l’une de l’autre, ils ont besoin de ‘petites cellules’ qui sont beaucoup plus proches l’une de l’autre».

Parfois, je me demande comment cela se fait-il ?

Qui sont les personnes qui contrôlent quel type d’information en ce qui concerne notre santé est mis en valeur, et qu’est-ce qui ne l’est pas ?

Pour rappel, la France teste actuellement la 5g qui va arriver prochainement.

La Pandémie de coronavirus de Wuhan serait une MISE EN SCÈNE destinée à couvrir la crise de santé publique causée par le déploiement intensif de la 5G à Wuhan en 2019.

QUESTION: La pandémie de coronavirus bio-conçue se propage-t-elle délibérément à l’échelle mondiale afin de faciliter davantage le déploiement militaire de la 5G dans le monde ?

La réponse à cette question critique est d’une importance primordiale pour chaque personne sur la planète en raison de la force avec laquelle le mastodonte 5G se déplace à travers les pays.

Nous savions tous qu’ils allaient faire quelque chose de grand.

– TRÈS GRAND !

Mais le scénario de dépopulation qui se déroule rapidement et qui utilise le coronavirus de Wuhan, la 5G, les vaccinations forcées et les chemtrails est assez ambitieux à tous points de vue.

Déploiement 5G

Il n’y a rien de plus sacré pour la mise en œuvre du programme du NWO (Nouvel Ordre Mondial).

– DANS LE MONDE ENTIER – que le déploiement militaire fulgurant de la 5G et le développement ultérieur de l’Internet des objets.

Vraiment, ce projet absurdement impossible représente la pierre angulaire du complot néfaste de NWO pour inaugurer furtivement un gouvernement mondial unique.

Néanmoins, la cabale mondialiste NWO est devenue complètement folle et ses agents essaieront tout ce qu’ils peuvent pour mettre en place leur matrice de contrôle mondial planifiée depuis longtemps, qui nécessite un réseau énergétique 5G pleinement opérationnel comme condition préalable à un Internet des objets pleinement fonctionnel.

La ville de Wuhan a été établie comme zone de démonstration 5G officielle en 2019.

Le gouvernement chinois prévoyait d’utiliser cette grande métropole comme vitrine de tous les avantages «éblouissants» qu’un réseau énergétique 5G est censé offrir aux utilisateurs informatiques sans fil.

Ils ont ensuite prévu de faire de la ville de Wuhan un fleuron urbain de l’Internet des objets.

La ville de Wuhan devait avoir 10000 stations de base 5G en service à la fin de 2019.

Ne vous y trompez pas: l’activation d’un grand réseau énergétique 5G dans une mégalopole comme la ville de Wuhan aura inévitablement d’énormes impacts sur la santé et l’environnement.

A la seconde où ils ont actionné l’interrupteur sur la 5G à Wuhan, toute la population a été immédiatement exposée à des fréquences électromagnétiques extrêmement nocives et à des rayonnements micro-ondes.

En fait, les gammes spécifiques de signaux radiofréquences et la sortie de rayonnement micro-ondes nécessaires pour alimenter un réseau électrique 5G fonctionnel sont bien connues pour être excessivement dangereuses pour la santé humaine.

Comme suit :

Un rapport MILITARY INTEL prouve que le gouvernement sait que les gammes de radiofréquences 5G et les rayonnements hyperfréquences sont nocifs pour la santé humaine.

Non seulement l’armée américaine a documenté scientifiquement les effets néfastes sur la santé associés à la 5G (ainsi qu’à la 4G et à la 3G), mais il existe maintenant des preuves tangibles qui prouvent que le gouvernement fédéral américain a sciemment menti sur ces nombreux risques pour la santé pendant des décennies.

Comme suit:

Des preuves tangibles prouvent que les États-Unis ont menti sur la 5G.

Le rapport de recherche de la Marine confirme de nombreux dangers pour la santé.

Ce qui nous amène à l’aspect le plus périlleux du déploiement militaire de la 5G – ZONES MORTELLES.

Toutes les preuves scientifiques disponibles dans le domaine public indiquent maintenant que partout où l’infrastructure 5G est située dans la plus grande concentration générant les CEM (Champs électromagnétiques) et les micro-ondes les plus puissants, ces super-points chauds 5G fonctionneront efficacement comme des zones de mort.

Comme suit :

5G Super-Points chauds: vous feriez mieux de savoir où se trouvent les «zones de mort» !

ARME 5G: La technologie de rayonnement micro-ondes est déployée comme guerre de dépopulation, domination à spectre complet et contrôle humain total.

LA BIODIVERSITE EN DANGER

Comme vous avez pu le voir (et si vous ne l’avez pas vu c’est par ici), la biodiversité c’est quelque chose d’essentiel.

Pourtant plusieurs menaces pèsent sur elle.

De quelle nature sont ces menaces ?

Et pourquoi c’est inquiétant ?

La biodiversité est en danger.

Comme les dinosaures il fut un temps, elle est menacée d’extinction.

Nous vivons la 6ème grande crise d’extinction…

Nous sommes pourtant de plus en plus nombreux !

Certes, nous sommes aujourd’hui 7,5 milliards d’êtres humains sur la planète, et nous seront 10 milliards demain.

Mais dans le même temps, les populations animales et végétales, elles, sont en train de disparaitre.

Extinction.

Disparition.

Oui, ces mots font peur.

Ce qui fait encore plus peur c’est que cette crise, par rapport aux précédentes, elle a une particularité : elle est causée par un être vivant : l’homme.

Mais « l’homme » c’est NOUS !!!

C’est nous qui détruisons l’équilibre du reste du vivant, par nos activités, notre mode de vie et nos comportements.

Vous me direz qu’il existe un taux naturel d’extinction, que la vie est éphémère…

Mais aujourd’hui, ce taux est 100 à 1000 fois supérieur à la normale : c’est-à-dire que trop d’animaux, de végétaux et de milieux meurent !

Si cela continue, la moitié des espèces vivantes pourrait disparaitre d’ici un siècle !

Et même si les espèces ne disparaissent pas d’un seul coup, leurs abondances diminuent tellement vite que le renouvellement des populations est de plus en plus difficile !

Et dans la catégorie des grandes menaces qui pèsent sur la biodiversité, les nommés sont…

SUREXPLOITATION DES RESSOURCES

Si on vous dit « exploitation forestière + intensification des pratiques agricoles + pêche intensive + destruction des habitats naturels » qu’est-ce que vous répondez ?

Pas facile n’est-ce pas ?

En même temps la réponse n’est pas très réjouissante : c’est la surexploitation des ressources.

LES POLLUTIONS

Quand le pot d’échappement de la voiture qui roule devant nous dégage une fumée noire qui pique les yeux et le nez, on se rend compte que la pollution, c’est vraiment pas top.

Mais ce n’est qu’une forme de pollution parmi bien d’autres !

Certaines sont impossibles à voir ou à sentir, et ont pourtant de graves conséquences à la fois sur les milieux naturels et sur notre santé.

C’est pour cela qu’il vaut mieux parler DES pollutions plutôt que de la pollution.

ESPÈCES EXOTIQUES ENVAHISSANTES

Moustique tigre, frelon asiatique, grenouille taureau, ambroisie, pyrale du buis…

Tout ce petit monde fait partie du club très select des EEE.

Et non, il ne s’agit pas du club des Espèces Effrayantes et Enquiquinantes.

Ça ne vous dit rien ?

Mais si, les EEE, les espèces exotiques envahissantes !

DESTRUCTION DES HABITATS NATURELS

Si de nombreuses espèces vivantes sont aujourd’hui menacées, c’est parce que leurs habitats sont dégradés.

La route, comme les rails ou encore le bâti en général, les maisons, les immeubles, sont construits sur des territoires (forêts, prairies, zones humides) appartenant déjà à des populations : celles des animaux et des végétaux.

ONDES MAGNÉTIQUES, UNE POLLUTION INVISIBLE

Alors que la société industrielle générait des nuisances perceptibles à l’odorat ou à la vue, la pollution électromagnétique de la société de l’information est invisible et inodore.

Pourtant, on ne peut négliger les effets de l’usage massif tant des moyens de télécommunication — en particulier le téléphone portable — que des infrastructures et des équipements électriques.

Si l’utilisation des ondes n’est pas nouvelle, les techniques employées et l’échelle de leur déploiement nous ont fait basculer dans un nouvel âge, qui pousse à l’usage jusqu’à saturation du spectre hertzien.

Il n’est pas exagéré d’y voir l’exploitation d’une ressource naturelle limitée, puisque, en un point donné et sur une bande de fréquence donnée, les lois de la physique restreignent la possibilité d’émettre des signaux, sous peine d’interférences.

Les États perçoivent une rente hertzienne lorsqu’ils attribuent des autorisations d’utilisation de fréquences aux opérateurs de télécommunications.

Avec la généralisation de la téléphonie et de l’Internet mobiles, les enjeux économiques, financiers et stratégiques deviennent considérables.

Sur ces nouveaux marchés, une doctrine répandue soutient qu’il faut offrir aux opérateurs, dans un premier temps du moins, une exemption de responsabilité pour leur permettre d’asseoir leur position.

Peut-on, de façon analogue, se satisfaire d’une telle irresponsabilité pour des opérateurs exposant la population à des ondes électromagnétiques dont l’innocuité n’est pas démontrée ?

Il existe des signes d’un lien entre une exposition de longue durée aux ondes électromagnétiques et certains cancers.

C’est notamment la conclusion d’une analyse de onze études épidémiologiques de long terme chez de grands utilisateurs de téléphones portables.

Dans deux décisions remarquées, la juridiction administrative allemande et la Cour de cassation italienne ont reconnu l’existence d’une maladie professionnelle liée à l’exposition aux ondes électromagnétiques, respectivement pour un radariste et un cadre faisant un usage intensif de son téléphone portable.

D’autres études avaient auparavant montré un lien entre l’exposition de longue durée aux champs électriques basses fréquences des lignes à haute tension et l’apparition d’une tumeur maligne.

Le CIRC avait ainsi classé ces champs d’extrêmement basses fréquences dans le groupe 2 B dès 2002.

Par ailleurs, aux côtés du syndrome d’hypersensibilité chimique multiple (MCS), émerge un syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques, ou électrohypersensibilité (EHS).

Souvent décrit comme résultant d’une exposition durable à des niveaux élevés d’émissions, ce syndrome rend ensuite les sujets atteints par l’EHS vulnérables à des niveaux d’émissions plus faibles.

Au-delà des symptômes décrits par les patients, l’équipe du professeur Dominique Belpomme a mis en évidence des outils de diagnostic reposant sur les marqueurs biologiques et l’imagerie médicale.

Si les agences sanitaires ne reconnaissent pas de lien de cause à effet, le caractère potentiellement invalidant de ce syndrome n’est pas contesté, et il est de mieux en mieux pris en compte par divers pays.

UN ESSOR ENCORE RÉCENT

Les citoyens aspirent à ce que les choix politiques relatifs à l’environnement et à la santé soient débattus sur la base d’une information honnête et vérifiée.

Or, à ce jour, trois obstacles ralentissent l’émergence d’un consensus sur la nocivité des ondes électromagnétiques.

Le premier est la fragmentation des disciplines scientifiques concernées.

L’étude des ondes appartient au domaine de la physique, mais celle de leurs effets sur le corps humain relève à la fois de spécialités médicales (neurologie, médecine interne, immunologie, génétique, épigénétique…) et de spécialités de la biologie.

La constitution de réseaux internationaux de chercheurs, avec, par exemple, la publication des études de référence du réseau BioInitiative, permettra de surmonter cette difficulté.

Deuxième obstacle : le franchissement des étapes de la preuve scientifique.

Au lien associatif entre l’exposition et la maladie doivent succéder les études toxicologiques, puis les études biologiques.

Or l’extension des réseaux de téléphonie mobile et l’essor des objets connectés étant encore récents, peu d’études ont pour le moment été conduites sur une exposition de longue durée.

Troisième obstacle, enfin : les conflits d’intérêts qui entachent la recherche dite « fondamentale ».

Certaines équipes françaises ou étrangères reçoivent le soutien direct ou indirect (à travers des fondations-écrans) de grands opérateurs de la société de l’information.

Cela peut conduire, non pas à une falsification directe des résultats, mais, plus subtilement, à l’introduction d’un biais dans l’hypothèse de recherche, ou à une orientation partisane des méthodes employées.

En témoigne le très faible nombre d’études consacrées aux effets biologiques de l’exposition de longue durée, qui sont potentiellement les plus sérieux, par contraste avec l’effet thermique de l’exposition de courte durée — qui réchauffe les tissus —, dont il est admis qu’il est très limité.

La recherche scientifique n’est pas toujours poursuivie pour elle-même ou dans l’intérêt général ; des groupes d’intérêts qui la perçoivent comme un facteur de légitimation tentent de l’accaparer.

On peut donc douter de la pertinence des études conduites par certaines agences nationales qui, placées sous la tutelle directe de l’État, ne disposent pas d’un vivier de chercheurs publiant dans le vaste domaine où elles prétendent exercer une expertise.

Tenir une comptabilité des études concluant à l’innocuité des ondes électromagnétiques et de celles concluant à leur nocivité ne fait pas avancer la science et ne renseigne pas les gouvernants.

Il conviendrait plutôt que des chercheurs ayant directement travaillé sur ce sujet, hors de toute suspicion de conflits d’intérêts, fournissent un travail qualitatif d’information des gouvernants.

En France, c’est pour des nuisances nouvelles, comme celles générées par les ondes électromagnétiques, que le principe de précaution a d’abord été consacré dans le code de l’environnement, avant d’être élevé au rang de norme constitutionnelle dans l’article 5 de la Charte de l’environnement, en 2004.

Aujourd’hui, pourtant, le principe de précaution subit des attaques systématiques qui entretiennent sciemment la confusion entre des préjudices individuels circonscrits — effectivement réparables par le droit de la responsabilité — et le risque d’un dommage de masse, qui relève véritablement du principe de précaution.

Il convient donc de veiller à sa mise en œuvre par les autorités publiques.

En matière de champs électromagnétiques, on peut juger préoccupantes les conditions sulfureuses dans lesquelles ont été adoptées les limites réglementaires d’exposition.

Le décret relatif aux valeurs limites d’exposition du public aux champs électromagnétiques a été pris le 3 mai 2002, entre les deux tours de l’élection présidentielle, en l’absence de toute concertation et en court-circuitant le ministre de l’aménagement du territoire et de l’environnement, l’écologiste Yves Cochet.

Le texte s’est borné à reprendre des normes techniques non obligatoires, elles-mêmes fondées sur une recherche déjà obsolète, relative aux seuls effets thermiques liés à l’exposition à court terme.

Contrairement à une croyance répandue (et entretenue), ces seuils élevés ne résultent nullement d’une politique concertée de santé publique, mais traduisent des choix principalement industriels.

En pratique, ces seuils, déjà très contestables il y a vingt ans, assurent une confortable immunité aux opérateurs de télécommunications.

En outre, le rang modeste des décrets dans la hiérarchie des normes suscite une double interrogation.

D’abord, pourquoi le pouvoir exécutif, pourtant soumis au principe de précaution, n’a-t-il pas pris l’initiative de revoir ces valeurs limites d’exposition, ce qu’il pouvait faire très facilement ?

Et pourquoi les juridictions, dans l’appréciation souveraine des faits qui leur appartient, s’en tiennent-elles encore à ces valeurs contestables, sans prendre en considération les valeurs d’orientation plus protectrices de la santé humaine reconnues dans d’autres États ?

En faisant primer l’objectif d’une faible exposition aux champs électromagnétiques sur celui du développement des réseaux numériques, la loi du 9 février 2015, dite loi Abeille, pourrait permettre de dépasser les débats que suscite toujours, et dans tous les domaines, la fixation arbitraire des valeurs limites.

En effet, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), désormais chargée de veiller à un « niveau élevé de protection de l’environnement et de la santé de la population », devrait ainsi cesser de n’être qu’une autorité de régulation du marché concurrentiel des télécoms pour contribuer à la protection de la santé publique.

Quant à l’Agence nationale des fréquences (ANFR), qui n’est pas une autorité administrative indépendante mais un établissement public administratif, elle est chargée de rechercher les « points atypiques », c’est-à-dire « les lieux où le niveau d’exposition du public aux champs électromagnétiques dépasse substantiellement celui généralement observé au niveau national ».

Le recensement de ces points constitue un progrès car, même si le niveau d’émission (rayonnement mesuré là où se trouve le sujet exposé) y est anormalement élevé, il se trouve toujours au-dessous des valeurs limites…

Il reste que, en dépit de ces progrès, plusieurs contradictions et anomalies subsistent.

D’abord, la « République numérique » est plus centralisatrice que jamais.

En décidant que l’appréciation de l’installation des antennes-relais par rapport au principe de précaution relevait de la police spéciale assumée par les autorités nationales, la jurisprudence du Conseil d’État a pour une large part, confisqué ce pouvoir aux maires.

Cette reprise en main contredit directement l’ambition d’une décentralisation.

La loi Abeille a tenté d’y remédier et de réintroduire la concertation locale.

Mais, dans les faits, au plus proche des sources d’émissions, le décret d’application n° 2016-1106 du 11 août 2016 prévoit qu’il faudra se contenter d’une instance de concertation départementale composée de membres tous nommés par le préfet.

DES SALARIÉS PLUS EXPOSÉS

Ensuite, le sort réservé aux travailleurs inquiète à plus d’un titre.

En ce qui concerne les champs électromagnétiques hyperfréquences, les valeurs limites d’exposition sont deux fois plus élevées que celles applicables au public.

Les salariés sont en effet présumés mieux informés des risques par leur encadrement que la population générale, et mieux protégés par les pictogrammes ou les périmètres de sécurité.

Or le contentieux émergent semble indiquer le contraire.

Et les médecins du travail, qui jouent un rôle décisif dans la défense des salariés, ne sont eux-mêmes formés ni à l’analyse des risques liés aux ondes électromagnétiques ni au diagnostic des nouvelles pathologies telles que l’électrohypersensibilité.

Un nouveau décret, entré en vigueur en janvier, a le mérite d’imposer à l’employeur une évaluation des risques et des mesures de prévention.

Les partenaires sociaux ne devraient-ils pas se saisir de cette question ?

Enfin, dans une économie libérale, il est paradoxal que ne soient respectés ni le libre choix du consommateur sur un marché prétendument ouvert ni les prérogatives du propriétaire.

Le déploiement forcé des compteurs dits « intelligents », de type Linky, par certains sous-traitants des entreprises assurant la gestion des réseaux est contraire au droit.

Compte tenu de leur utilisation des ondes électromagnétiques et de leurs nouvelles finalités (collecte de données personnelles, action extérieure sur l’installation du consommateur), ces dispositifs ne devraient plus être désignés comme de simples compteurs.

Tant les communes que les abonnés peuvent faire valoir de solides arguments juridiques pour s’opposer, s’ils le souhaitent, à ce nouveau mode de distribution et de consommation.

L’une des vertus de la libéralisation n’est-elle pas censée être la différenciation de l’offre ?

La régulation des champs électromagnétiques constitue donc un enjeu de société en même temps qu’un aspect crucial du droit de l’environnement, du droit de l’énergie et du droit des télécoms.

Dorénavant, dans le débat public sur les ondes, il faudra compter avec les associations, les partenaires sociaux et les riverains — sans oublier les juristes !

Et le spectre de la déconnexion ou du recul technologique ne doit plus être brandi, alors que, précisément, des normes plus exigeantes et plus protectrices seraient une incitation puissante au progrès technique.

LE COMPTEUR LINKY NUISIBLE

Depuis le début de son déploiement, le compteur Linky fait controverse.

Maux de tête, insomnies, vertiges, etc.

Il est, entre autres, accusé d’entraîner des troubles dans les foyers où il a été installé.

Mises en cause : les ondes électromagnétiques qu’il émet dans les habitations.

Ces accusations sont-elles fondées ?

Futura a mené l’enquête.

Pourquoi parle-t-on tant des ondes électromagnétiques émises par Linky ?

Il n’en reste pas moins que la technologie CPL engendre un rayonnement électromagnétique mesurable autour de l’appareil et des câbles électriques.

Ainsi oui, Linky émet des ondes.

Tout comme n’importe quel autre appareil électrique en fonctionnement.

Et l’on peut noter que les babyphones équipés de CPL, par exemple, sont présentés comme permettant de « limiter les ondes dans la chambre de bébé ».

Mais pour revenir à notre compteur communicant, des mesures – de champ électrique et magnétique, nécessaires dans cette gamme de fréquences – ont été réalisées.

Les niveaux de champs s’avèrent comparables à ce qu’ils étaient à proximité des compteurs d’ancienne génération.

Ils sont transitoires et extrêmement faibles.

Sans effet significatif sur le niveau d’exposition ambiant dans une habitation », indique Anne Perrin.

Un constat qui n’empêche pas les électrosensibles de s’inquiéter de la multiplication des sources et de ce qu’ils qualifient d’électrosmog, cette sorte de « pollution électromagnétique » dans laquelle nous évoluons aujourd’hui.

« À 50 centimètres, Linky émet 36 fois moins d’ondes électromagnétiques qu’une ampoule à basse consommation et environ 5 fois moins qu’un ordinateur, le tout en restant largement en dessous des limites réglementaires, bien sûr », souligne Jean-François Finck pour mettre des chiffres sur les impressions.

Des chiffres confirmés par plusieurs campagnes de mesures et notamment par l’Agence nationale des fréquences (ANFR).

Le saviez-vous ?
L’Agence nationale des fréquences (ANFR) est chargée du respect, sur le territoire français, des limites d’exposition du public aux ondes électromagnétiques.

Elle propose une application baptisée La maison ANFR qui donne le détail des émissions de divers objets du quotidien.

Des chiffres que contestent toutefois les associations de défense des électrosensibles, s’appuyant sur un précédent.

Celui du débit d’absorption spécifique.

Un DAS qui indique la quantité d’énergie absorbée (en watt par kilogramme) par le corps – ou une partie du corps – en présence d’ondes électromagnétiques.

Il arrive que des fabricants de téléphones mobiles se fassent épingler pour être allés au-delà du DAS maximum autorisé.

De quoi semer le doute quant aux chiffres annoncés par Enedis ?

Pas vraiment lorsque l’on sait que l’agence qui mesure les DAS de nos portables et pointe, le cas échéant, les dérives des fabricants est justement celle qui atteste aujourd’hui des niveaux extrêmement faibles d’émission des compteurs Linky : l’ANFR.

L’électrosensibilité, on en parle de plus en plus ?

Toujours est-il que les médecins proches des associations de défense des électrosensibles affirment qu’en consultation, le nombre de patients se déclarant en souffrance augmente.

Pourtant, le diagnostic reste difficile à poser.

L’électrosensibilité semble plus se rapprocher d’un état aux multiples facettes que d’une maladie au sens classique.

D’un individu à l’autre et même d’un moment à l’autre, l’électrosensibilité se manifeste ainsi tantôt sous la forme de céphalées ou de vertiges, tantôt sous la forme de crampes ou de douleurs articulaires.

Si en Europe, une majorité de médecins reconnaissent n’avoir à traiter que très peu d’électrosensibles, certains rapportent que leurs patients disent aller mieux lorsque les expositions aux ondes électromagnétiques sont supprimées ou au moins diminuées.

Des patients qui « se déclarent en souffrance » et qui « disent aller mieux » ?

Les médecins qui les reçoivent semblent également conscients du fait qu’une approche psychologique du problème est indispensable à leur prise en charge.

Un danger pour la santé ?

Anne Perrin est formelle : « Il n’y a pas de risque démontré lié aux ondes électromagnétiques ambiantes en dessous des limites de sécurité réglementaires. »

Un avis qu’elle base sur de nombreux travaux de recherche menés depuis une trentaine d’années. « 

Sur des expertises collectives, et non sur des études isolées. »

Un avis qu’elle partage avec les experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et avec ceux de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).

La dernière expertise de l’Agence publiée début 2018 dédiée à l’électrosensibilité conclut d’ailleurs à « l’absence de preuve expérimentale solide permettant d’établir un lien de causalité entre l’exposition aux champs électromagnétiques et les symptômes décrits par les personnes se déclarant électrosensibles ».

Toutefois, les associations de défense des personnes électrosensibles rappellent volontiers que « les ondes électromagnétiques ont été classées 2B par le Centre international de recherche sur le cancer[Circ, une agence qui dépend de l’OMS] ».

Les ondes radiofréquences qui servent à nos portables – ainsi celles émises par les lignes à haute tension -, pour être plus précis.

Celles qui servent à nos portables, pas celles émises par les compteurs Linky.

Depuis 2011, les ondes radiofréquences sont considérées comme « peut-être cancérogènes » ou « cancérogènes possibles » pour les utilisateurs les plus intensifs de téléphones mobiles.

Cela signifie qu’il n’existe pas de preuve indiquant que ces ondes soient probablement cancérogènes (groupe 2A) ou cancérogènes avérés (groupe 1).

« Cancérogène possible » tout comme les légumes au vinaigre par exemple.

Le café l’a été durant 16 ans avant d’être déplacé dans le groupe 3, inclassable comme cancérogène.

Et lorsqu’on leur fait remarquer l’absence de classement des ondes émises par la technologie CPL, les associations de défense des personnes électrosensibles avancent que, pour l’heure, trop peu d’études indépendantes se sont intéressées au problème des compteurs intelligents de type Linky.

Depuis trois ans, les habitants de la Résidence Saint Géry à Cahors repoussent les tentatives d’Enedis pour installer le compteur intelligent

Dix-sept échecs pour Enedis.

Depuis trois ans, le gestionnaire du réseau d’électricité se voit refuser l’accès à la Résidence Saint Géry à Cahors.

Dans cet immeuble, depuis juin 2017, sur 110 logements, seul un compteur Linky a pu être installé, rapporte le site actuLot.

La résistance s’est organisée entre copropriétaires et locataires.

Ainsi, à 17 reprises, l’entreprise sous-traitante d’Enedis a été priée de faire demi-tour.

Face à ce refus, Enedis a procédé en juillet 2019 au retrait de 10 anciens compteurs dans cette résidence, privant cinq familles d’électricité.

Les cinq autres logements étant vacants.

Un procédé dénoncé par Jean-Pierre Salinié, président des copropriétaires.

Après de multiples appels et courriers à Enedis, une semaine plus tard des compteurs blancs, déjà usagers, ont été réinstallés.

Voilà comment se comporte un service public pour tenter d’écraser des citoyens récalcitrants au mépris de la loi.

Voilà aussi comment il est possible de résister et faire valoir ses droits ! », souligne Philippe Lac, membre d’Alerte Linky 46.

En juin dernier, Enedis est revenu à la charge, mais là encore, plusieurs résidents de Saint Géry les attendaient de pied ferme.

Pour rappel, les locataires au moment du relevé de consommation du compteur sont contactés et un rendez-vous leur est donné dans la matinée ou l’après-midi.

De quoi laisser le temps aux copropriétaires de s’organiser.

Dans cette résidence de Cahors, tous les occupants ont signé une pétition indiquant qu’ils refusent l’installation du compteur Linky.

Elle est envoyée, avec les mises à jour, tous les ans, à Patrice Bocquillon, directeur Territorial du Lot d’Enedis, par voie d’huissier, souligne actuLot.

Pour empêcher les agents d’accéder aux compteurs, toutes les serrures ont été changées.

En cas de problème, les contacts d’une vingtaine de personnes qui possèdent une clé, sont affichés à chaque étage sur la porte qui donne accès aux compteurs.

La Résidence Saint Géry fait figure de modèle pour les collectifs anti-Linky.

Une résistance saluée par le Collectif Alerte Linky 46 qui loue « la ténacité des occupants de la Résidence Saint Géry.

Il s’agit d’un cas exemplaire de résistance citoyenne à un dispositif, imposé par l’État, complètement inutile et néfaste pour les citoyens ».

ONDES RADIO TRES BASSE FREQUENCE ( VERY LOW FREQUENCY – VLF )

Le spectre des fréquences radio a été découpé en bandes par l’ITU.

Les Très Basses Fréquences (VLF, Very Low Frequency en anglais) correspondent à la bande qui s’étend de 3 kHz à 30 kHz (longueurs d’ondes entre 100 et 10 km).

Ces fréquences sont beaucoup plus basses que celles utilisées pour les radios en modulation d’amplitude (AM) par exemple (OL, OM, OC).

La transmission VLF est utilisée pour des signaux horaires et la radio navigation (par exemple, le système de radionavigation hyperbolique Russe RSDN-20).

Ces ondes peuvent parcourir des grandes distances et pénétrer l’eau de mer sur plusieurs mètres, elles sont donc utilisées par les militaires pour la communication avec les sous-marins.

Les émetteurs ont une puissance de quelques centaines de kW.

Spectre radiofréquences

La bande VLF est aussi le siège d’émissions électromagnétiques naturelles (appelées sferics, tweeks, whistlers…) qui peuvent être captées à des milliers de kilomètres de distance.

Ces émissions peuvent être converties en signaux sonores audibles.

Ce phénomène est appelé « radio naturelle » (natural radio ).

Choix de l’émetteur à utiliser pour la surveillance des PIDB

De nombreuses stations VLF militaires sont implantées de part le monde pour la communication avec les sous-marins.

Il est important qu’elle soit suffisamment éloignée afin de limiter le niveau de l’onde de sol.

Le site de DCF77 (voir DCF77 range) mentionne une onde de sol prédominante jusqu’à 500km, et des ondes de sol et réfléchie comparables entre 600 et 1100km.

En conséquence, le choix doit s’orienter vers un émetteur situé à au moins 500km, et de préférence au-delà de 1100km.

La limite haute pour avoir une seule « réflexion » sur l’ionosphère est aux alentours de 1900km durant la journée (en supposant une couche D à 70km d’altitude) et de 2100km durant la nuit (en supposant une couche E à 90km d’altitude).

Les signaux d’émetteurs à plus grande distance auront deux réflexions ou plus sur l’ionosphére et le graphe du niveau du signal reçu présentera des plusieurs transitions nuit/jour et jour/nuit.

A titre d’exemple, voici le spectre des stations reçues à l’emplacement de cette station située dans le sud de la France.

On peut y repérer, entre autres, HWU sur 18.3 kHz, GQD sur 19.6 kHz, FTA sur 20.9 kHz, DHO38 sur 23.4 kHz.

Les ondes ELF, comme l’avait découvert dès 1952 le professeur Jose Delgado de l’université de Yale, capables d’interférer avec les fréquences cérébrales et de provoquer la synthèse de substances neurochimiques altérant les émotions : peur, dépression, colère…

Les molécules d’ADN et ARN, à cause de leur longueur, sont particulièrement sensibles aux hautes fréquences modulées en basse fréquence.

Les maladies affectant le système d’orientation des cétacés, les faisant s’échouer par troupeaux entiers sur les côtes (ce qui ne s’était jamais vu auparavant) est causés par les essais HAARP pour communiquer avec les sous-marins.

Niveaux d’ondes cérébrales – bêta, Alpha, thêta et États du Delta

Présentant le bêta, Alpha, thêta, Delta et Gamma

Notre cerveau contribue énormément à l’état de notre esprit.

Alors que la plupart d’entre nous se concentrent en regardant nos émotions pour devenir plus heureux et plus spirituel, nos ondes cérébrales et notre esprit subconscient, jouent également un rôle clé dans notre voyage pour accomplissement.

Le cerveau humain est composé de milliards de cellules, appelées neurones, qui utilisent l’électricité pour communiquer entre eux.

Quand des millions de cellules envoient des signaux en même temps une énorme quantité d’activité électrique est produite dans un modèle « ondulatoire » .

Ondes cérébrales peuvent être mesurés

Depuis 1929, lorsque les ondes cérébrales étaient premières découvertes, les scientifiques et les chercheurs ont identifié cinq États distincts d’ondes cérébrales : bêta, Alpha, thêta, Delta et Gamma qui changent en fonction selon ce que vous faites ou éprouvez.

Chaque fréquence est mesurée en cycles par seconde, Hertz (Hz) et représente un niveau spécifique de l’activité cérébrale et un état différent de la conscience.

Ondes cérébrales représentent les États mentaux et peuvent être stimulés pour atteindre les résultats souhaités.

En se renseignant sur les États de conscience les plus profondes, vous pouvez ouvrir votre esprit subconscient et créer votre réalité à volonté.

LES CRISTAUX DE MAGNETITE DU CORPS HUMAIN

Un chercheur américain, le professeur J. Kirshvink, a démontré qu’il existe dans le cerveau humain, par gramme de tissu, environ 5 millions de petits cristaux de magnétite (aimants naturels).

Les enveloppes méningées qui entourent le cerveau contiennent, quant à elles, plus de 100 millions de ces cristaux de magnétite par gramme de tissu.

Chaque cristal de magnétite (FE3O4) auquel est associé un peu de maghémite (FE3O4) est protégé par une membrane et constitue avec elle un « magnétosome ».

La membrane du magnétosome est formée de diverses sortes de lipides et de protéines dont certaines sont spécifiques à cette membrane.

Les magnétosomes sont répartis dans le tissu nerveux par groupes de 50 à 100 éléments.

La magnétite est un matériau très bon conducteur de l’électricité; environ 6000 fois plus conducteur que n’importe quel autre matériau biologique.

La magnétite est donc sensible aux champs électromagnétiques.

Les magnétosomes sont en quelque sorte des organes des sens capables de percevoir les variations des champs électromagnétiques ambiants.

Les champs électromagnétiques des micro-ondes sont porteurs d’une énergie importante.

Les cellules qui ne contiennent pas de cristaux de magnétite se laissent facilement traverser par des micro-ondes et n’absorbent qu’une infime partie, environ 0,046 % , de l’énergie de ces micro-ondes.

Il n’en est pas de même des cellules qui contiennent des cristaux de magnétite.

Ces cellules peuvent absorber jusqu’à 30 % de l’énergie des micro-ondes qui les traversent.

Les atomes de tout réseau cristallin sont capables de vibrer collectivement.

Dans les cristaux de magnétite, les micro-ondes, par un effet magnéto-acoustique, donnent naissance à des ondes acoustiques de même fréquence.

Sous l’effet des micro-ondes, ce sont des ultrasons, les phonons, qui apparaissent, sons que l’oreille humaine n’entend pas.

Ces ultrasons dissipent leur énergie dans les structures cellulaires entourant les magnétosomes.

Ils provoquent également des ouvertures transitoires dans la membrane des magnétosomes.

Mis à nu, le cristal de magnétite entre ainsi en contact avec les autres constituants de la cellule.

Les atomes de fer de la maghémite qu’il contient s’oxydent alors en provoquant l’apparition de radicaux libres.

Ces radicaux libres peuvent altérer toutes les membranes cellulaires et endommager l’ADN, l’acide nucléique de nos cellules, porteur de nos gènes et support de notre hérédité.

Les micro-ondes 900 MHz et 1800 MHz, utilisées par la technologie GSM et DCS de la téléphonie mobile, sont des ondes pulsées et modulées en amplitude.

Ce sont en fait des bouffées de micro-ondes qui sortent des antennes.

La fréquence de ces bouffées est une basse fréquence (217 Hz). Ainsi, aux champs électromagnétiques propres des micro-ondes, ils se superposent en champ électromagnétique à basse fréquence.

Les micro-ondes 2100 MHz utilisées par la technologie UMTS de la téléphonie mobile, ne sont pas des ondes pulsées, elles sont émises de manière continue.

Tel que mentionné précédemment, tous ces champs électromagnétiques agissent sur les cristaux de magnétite du corps humain.

Outre la fréquence de 217 Hz, on rencontre dans les ondes émises par la téléphonie mobile, du fait de la complexité des systèmes utilisés, des ondes de 8 Hz et de 2 Hz, qui, quant à elles, peuvent interférer avec les ondes alpha et delta émises par notre cerveau.

Une onde qui est pulsée semble être plus nocive qu’une onde non pulsée de même fréquence, aussi bien lorsqu’il s’agit d’ondes de basse fréquence pulsées que de micro-ondes pulsées.

Pour le professeur J. Kirshvink, les cristaux d’aimants naturels présents dans le cerveau humain permettent d’expliquer la sensibilité de l’homme aux champs électromagnétiques ambiants, que ce soient des champs de basses fréquences, comme ceux induits par le réseau électrique 50 Hertz, des champs de moyennes fréquences ou des champs de fréquences élevées, comme ceux induits par les micro-ondes.

LES RADICAUX LIBRES, QU’EST-CE QUE C’EST ?

Tous les êtres vivants doivent résoudre un problème insoluble.

Ils ont tous besoin d’oxygène pour vivre, mais ils doivent aussi s’en protéger car il est toxique, au point de nous tuer un peu plus chaque jour via des substances appelées radicaux libres.

Le point sur les réactions qui aboutissent à ces molécules.

L’oxygène est un élément indispensable à la vie, nous ne pouvons pas nous en passer mais il donne naissance dans l’organisme à des dérivés qui, chaque jour, causent des dégâts à nos cellules.

Ces dérivés sont appelés Espèces Réactives de l’Oxygène (ERO).

Comment se forment les espèces réactives de l’oxygène ?

Les cellules contiennent des organites, appelés mitochondries, qui fournissent l’énergie nécessaire aux cellules.

Les mitochondries sont en quelque sorte les centrales énergétiques de nos cellules.

Plus la cellule a besoin d’énergie pour son fonctionnement, plus elle renferme de mitochondries (une cellule musculaire par exemple en renferme plus d’un millier).

Dans ces organites ont lieu une suite de réactions très compliquées, qui sont parfaitement connues aujourd’hui.

Le bilan de ces réactions revient à la combustion de sucres (glucose) et de graisses (acides gras) qui libère de l’énergie.

C’est cette énergie qui permet à nos muscles de se contracter.

Malheureusement, la chaîne de réactions de nos mitochondries est imparfaite et conduit à la formation d’espèces réactives de l’oxygène dont font partie les radicaux libres.

Une molécule instable

Un radical libre est une espèce chimique (atome ou molécule) qui possède un électron célibataire c’est-à-dire non apparié.

Cette caractéristique le rend instable et lui procure une grande réactivité vis-à-vis des molécules environnantes.

Un radical libre se stabilise au détriment de la molécule voisine qui devient à son tour un radical libre et ainsi de suite.

Le phénomène se propage par des réactions en chaîne.

En résumé : tout ce qui génère des attaques au niveau des cellules pour nous faire vieillir ou encore nous rendre malades est dû aux radicaux libres.

Ils sont produits lors de certaines situations familières : la respiration, le tabagisme, les infections, les inflammations, le stress, l’exposition solaire, l’exposition aux polluants, l’apport alimentaire excessif…aussi s’en protéger car il est toxique, au point de nous tuer un peu plus chaque jour.

Mais la nature a trouvé une parade ; puisque l’oxygène nous oxyde (nous rouille en quelque sorte), elle nous a créé un système ultra-performant de protection interne : la protection antioxydante.

QU’EST CE QUE C’EST LES ANTIOXYDANTS ?

Les antioxydants regroupent des vitamines, des oligo-éléments et des micro-nutriments présents naturellement dans notre alimentation.

On regroupe sous le terme « antioxydants » certaines vitamines, oligo-éléments, certains micronutriments et micronutriments présents naturellement dans notre alimentation et qui ont pour effet commun d’aider à protéger les cellules de l’organisme de l’effet des radicaux libres.

Les radicaux libres sont des molécules fabriquées naturellement dans nos cellules lors du fonctionnement normal de l’organisme mais cette fabrication est augmentée sous l’effet de facteurs externes tels que la pollution, le tabac et autres.

Un excès de radicaux libres peut engendrer un vieillissement prématuré des cellules et le développement de certaines maladies.

En effet, lorsque les radicaux libres sont produits en excès et à de mauvais endroits, ils dégradent :

Les parois cellulaires pouvant entrainer la mort de nos cellules (à l’origine de la cirrhose chez les alcoolique), les protéines ou l’ADN (information génétique) de nos cellules.

Nos cellules vont alors produire des protéines anormales (à l’origine de tous type de cancer).

LE SYSTEME IMMUNITAIRE

Le système immunitaire d’un organisme est un système biologique complexe constitué d’un ensemble coordonné d’éléments de reconnaissance et de défense qui discrimine le soi du non-soi.

Il est hérité à la naissance, mais autonome, adaptatif et doué d’une grande plasticité, il évolue ensuite au gré des contacts qu’il a avec des microbes ou substances environnementales étrangères au corps.

Ce qui est reconnu comme non-soi est détruit, comme les agents pathogènes : virus, bactéries, parasites, certaines particules ou molécules « étrangères » (dont certains poisons).

Le système immunitaire est responsable du phénomène de rejet de greffe.

On dénombre plusieurs types de systèmes immunitaires parmi les espèces animales, et généralement plusieurs mécanismes immunitaires collaborent au sein d’un même organisme.

De nombreuses espèces, dont les mammifères, utilisent la variante décrite ci-après.

Les principaux effecteurs du système immunitaire sont les cellules immunitaires appelées leucocytes (ou globules blancs) produites par des cellules souches, au sein de la moelle osseuse rouge.

Le système immunitaire est constitué de 3 couches :

1/ La barrière épithéliale comme la protection de la peau et les muqueuses, l’acidité gastrique

2/ Les mécanismes de défense non spécifique ou innée ou naturelle dérivant des cellules de la lignée myélocytaire

3/ Les mécanismes de défense spécifique ou adaptative dérivant des cellules de la lignée lymphocytaire

D’une part, elle est responsable de la sécrétion de protéines spécifiquement dirigées vers les agents pathogènes extracellulaires: les anticorps produits par les lymphocytes B.

Cette immunité est appelée immunité humorale.

D’autre part, les pathogènes intracellulaires sont pris en charge par les lymphocytes T : cette immunité est appelée immunité cellulaire.

Cette dernière couche n’existe que chez les vertébrés.

Cette séparation en trois couches n’empêche pas une interaction très importante des couches entre elles.

On appelle réponse immunitaire l’activation des mécanismes du système immunitaire face à la reconnaissance de non-soi, agressive ou pas, face à une agression ou à une dysfonction de l’organisme.

L’ensemble de ces systèmes (y compris chez l’humain lors de la vaccination) permet la résilience immunitaire, notion qui recouvre la somme des mécanismes efficaces de défense d’un organisme vis-à-vis d’un agent pathogène (du grec pathos : souffrance) ; il se dégrade avec l’âge (Immunosénescence).

LES MALADIES AUTO – IMMUNES

Ondes EM et maladies auto-immunes

Quels liens me direz-vous ?

Et bien voilà, c’est en assistant à la conférence du pharmacien clinicien Jacques Bauer sur les ondes électro-magnétiques et leurs effets sur le corps humain, que j’ai réussi à faire ce lien.

Je vous propose ici de suivre cette réflexion.

Que sont les ondes électro-magnétiques ?

Depuis plusieurs décennies, on voit apparaître dans notre mode de vie de plus en plus de sources d’émissions d’ondes électromagnétiques.

Une onde électromagnétique est une onde qui peut se déplacer dans le vide (contrairement au son par exemple).

Les ondes sont dites scalaires, elles fonctionnent donc comme lorsque vous lancez un caillou dans l’eau, elles sont circulaires…

Les ondes électromagnétiques sont partout : elles sont responsables de nombreux phénomènes divers comme la lumière, les télécommunications, l’induction magnétique, la détection radar et certains types de radioactivité.

Toutes les ondes sont des déplacements d’énergie ; cependant, la différence fondamentale entre ondes électromagnétiques et mécaniques est le type de déplacement adopté par cette énergie.

Les ondes mécaniques mettent en mouvement leur support (les vagues agitent le liquide, les tremblements de terre secouent le sol) et l’énergie est transmise par ce mouvement.

Ce n’est pas le cas des ondes électromagnétiques : elles n’interagissent pas mécaniquement avec leur environnement.

Cela signifie que le support des ondes électromagnétiques n’est pas la matière : c’est grâce à cela qu’elles se déplacent aussi dans le vide, là où il n’y a pas de matière.

Alors, que font-elles « vibrer » pour se déplacer et mériter le nom d’ondes ?

On voit le champ magnétique produit par un aimant grâce aux minuscules morceaux de fer soumis à sa force magnétique : cela dessine des lignes qui vont du pôle nord au pôle sud de l’aimant.

On parle d’ailleurs de lignes de champ.

Il existe en physique des champs : cela désigne une partie de l’espace dont chaque point possède une propriété que l’on étudie.

Par exemple, le champ de pesanteur terrestre est l’ensemble de l’espace où la Terre exerce une influence gravitationnelle : chaque point de cet espace est attiré par la force de pesanteur produite par la Terre.

On peut définir de tels champs pour toutes les forces qui agissent à distance, et notamment les forces de type électromagnétique comme le magnétisme : on aura par exemple un champ magnétique tout autour d’un aimant, parce que chaque point de l’espace est soumis à la force produite par cet aimant.

Lorsque l’on s’intéresse aux champs électrique et magnétique en même temps, on parle de champ électromagnétique.

Une onde électromagnétique est une vibration de ce champ électromagnétique.

Un champ n’est pas quelque chose de matériel, donc on ne peut pas vraiment comparer la propagation électromagnétique à une propagation mécanique (comme des vagues).

Il y a pourtant propagation parce que la modification de la valeur du champ électrique en un point entraîne celle du champ magnétique associé autour de ce point, et cette modification du champ magnétique entraîne à son tour une modification du champ électrique tout autour, etc.

On peut considérer que l’onde électromagnétique, en modifiant la valeur des champs électrique et magnétique, « crée » en quelque sorte son support : en effet, même s’il n’existait pas, par exemple, de champ magnétique à un endroit, l’arrivée d’une onde électromagnétique va en créer un, à cause de la variation du champ électrique.

Finalement, les champs électrique et magnétique « vibrent » (changent de valeur alternativement puis reviennent à leur valeur de départ) ensemble et l’énergie utilisée pour créer la première variation du champ électromagnétique est transportée à chaque variation successive.

Une onde électromagnétique est donc la propagation d’un signal (les variations) grâce à un champ électrique et un champ magnétique qui vibrent ensemble.

Mise en évidence du magnétisme :

Connaissez-vous le Professeur Yves Rocard ?

Yves André Rocard est né le 22 mai 1903 à Vannes et mort le 16 mars 1992 à Paris, est un physicien français.

Yves Rocard (le père de Michel Rocard), scientifique renommé, père du programme nucléaire français, profita de sa retraite pour étudier minutieusement la radiesthésie et le biomagnétisme humain.

Ses conclusions furent surprenantes :

Dans l’ABC de la radiesthésie, aux éditions Jacques Grancher, il est dit : « On croyait que les baguettisants et les pendulistes ressentaient la présence d’eau à l’aide de leurs instruments.

En réalité, Yves Rocard a démontré qu’ils détectent non pas l’eau mais la présence d’une anomalie dans le champ magnétique local, anomalie qui va agir sur le sourcier lui-même… »

Le Professeur Rocard détermina que ces différentiels magnétiques étaient détectés aux moyens de cristaux d’aimant (Fe3 04 ou magnétite) présents à l’état naturel dans les différentes articulations du corps humains : coudes, genoux, nuques…

Tout comme de nombreux animaux (pigeons, abeilles…), l’homme est donc naturellement connecté avec son environnement, ressentant inconsciemment, les subtiles variations locales du courant magnétique terrestre.

Le pendule et la baguette ne jouent qu’un rôle d’amplificateur des micro- mouvements nerveux et musculaires :

L’eau

Nous le savons, notre corps est composé à 80% d’eau, le plus bel exemple c’est de calculer le nombre de litres de liquide qui nous composent pour en avoir une idée.

Environ 6 litres de sang, 25 litres de lymphe…le tout avec un certain taux vibratoire.

Je vous rappelle les recherches et publications du docteur Emoto sur les cristaux d’eau, l’eau est un formidable récepteur, notamment au niveau des micro-ondes comme les OEM et sa structure peut se transformer sous l’influence de certaines ondes, plus ou moins bonnes pour nous.

Ils s’avèrent que les OEM ont une influence très nocive sur les particules d’eau, je vous laisse faire le calcul du % de notre corps qui est impacté lorsque nous sommes soumis à des champs électro-magnétiques.

La magnétite

La magnétite est une espèce minérale composée d’oxyde de fer (II,III), de formule Fe3O4 (parfois écrit FeO·Fe2O3), avec des traces de magnésium Mg, de zinc Zn, de manganèse Mn, de nickel Ni, de chrome Cr, de titane Ti, de vanadium V et d’aluminium Al.

La magnétite est un matériau ferrimagnétique.

De la magnétite est normalement présente sous forme de cristaux bio minéralisés dans certains organes chez diverses espèces animales, où elle pourrait jouer un rôle dans le sens de l’orientation.

Chez l’humain on en a trouvé dans plusieurs zones du cerveau, dont les lobes frontaux, les lobes pariétaux, les lobes occipitaux et temporaux, mais aussi dans le tronc cérébral, le cervelet et des ganglions.

Le fer s’y trouve sous trois formes : l’hémoglobine (circulant dans le sang), la ferritine (protéine) et en faible quantité forme de magnétite.

Les zones du cerveau impliquées dans la fonction motrice contiennent généralement plus de fer.

L’hippocampe (zone du traitement de l’information, de l’apprentissage et de la mémoire) en contient aussi.

Une hypothèse (biomagnétisme), est que comme de nombreux animaux, l’être humain a ou aurait conservé une sens magnétique relictuel, que certaines personnes douée d’un très bon sens de l’orientation utiliseraient inconsciemment, et ceci nécessiterait la présence de cristaux de magnétite (réagissant au champ magnétique terrestre).

Les fonctions de la magnétite dans le cerveau sont encore incomprises.

Le microscope électronique permet de très facilement distinguer les cristaux de magnétite naturellement produits et stockés par les cellules du corps.

Les cristaux de magnétite du corps humain

Un chercheur américain, le professeur J. Kirshvink, a démontré qu’il existe dans le cerveau humain, par gramme de tissu, environ 5 millions de petits cristaux de magnétite (aimants naturels).

Les enveloppes méningées qui entourent le cerveau contiennent, quant à elles, plus de 100 millions de ces cristaux de magnétite par gramme de tissu.

Chaque cristal de magnétite est protégé par une membrane et constitue avec elle un « magnétosome ».

La membrane du magnétosome est formée de diverses sortes de lipides et de protéines dont certaines sont spécifiques à cette membrane.

Les magnétosomes sont répartis dans le tissu nerveux par groupes de 50 à 100 éléments.

La magnétite est un matériau très bon conducteur de l’électricité : environ 6000 fois plus conducteur que n’importe quel autre matériau biologique.

La magnétite est donc sensible aux champs électromagnétiques.

Les magnétosomes sont en quelque sorte des organes des sens capables de percevoir les variations des champs électromagnétiques ambiants.

Les champs électromagnétiques des micro-ondes sont porteurs d’une énergie importante.

Les cellules qui ne contiennent pas de cristaux de magnétite se laissent facilement traverser par des micro-ondes et n’absorbent qu’une infime partie, environ 0,046 %, de l’énergie de ces micro-ondes.

Il n’en est pas de même des cellules qui contiennent des cristaux de magnétite.

Ces cellules peuvent absorber jusqu’à 30 % de l’énergie des micro-ondes qui les traversent.

Les atomes de tout réseau cristallin sont capables de vibrer collectivement.

Dans les cristaux de magnétite, les micro-ondes, par un effet magnéto-acoustique, donnent naissance à des ondes acoustiques de même fréquence.

Sous l’effet des micro-ondes, ce sont des ultrasons, les phonons, qui apparaissent, sons que l’oreille humaine n’entend pas.

Ces ultrasons dissipent leur énergie dans les structures cellulaires entourant les magnétosomes.

Ils provoquent également des ouvertures transitoires dans la membrane des magnétosomes.

Mis à nu, le cristal de magnétite entre ainsi en contact avec les autres constituants de la cellule.

Les atomes de fer de la maghémite qu’il contient s’oxydent alors en provoquant l’apparition de radicaux libres.

Ces radicaux libres peuvent altérer toutes les membranes cellulaires et endommager l’ADN, l’acide nucléique de nos cellules, porteur de nos gènes et support de notre hérédité.

Les micro-ondes 900 MHz et 1800 MHz, utilisées par la technologie GSM et DCS de la téléphonie mobile, sont des ondes pulsées et modulées en amplitude.

Ce sont en fait des bouffées de micro-ondes qui sortent des antennes.

La fréquence de ces bouffées est une basse fréquence (217 Hz).

Ainsi, aux champs électromagnétiques propres des micro-ondes, ils se superposent en champ électromagnétique à basse fréquence.

Les micro-ondes 2100 MHz utilisées par la technologie UMTS de la téléphonie mobile, ne sont pas des ondes pulsées, elles sont émises de manière continue.

Tel que mentionné précédemment, tous ces champs électromagnétiques agissent sur les cristaux de magnétite du corps humain.

Outre la fréquence de 217 Hz, on rencontre dans les ondes émises par la téléphonie mobile, du fait de la complexité des systèmes utilisés, des ondes de 8 Hz et de 2 Hz, qui, quant à elles, peuvent interférer avec les ondes alpha et delta émises par notre cerveau.

Une onde qui est pulsée semble être plus nocive qu’une onde non pulsée de même fréquence, aussi bien lorsqu’il s’agit d’ondes de basse fréquence pulsées que de micro-ondes pulsées.

Pour le professeur J. Kirshvink, les cristaux d’aimants naturels présents dans le cerveau humain permettent d’expliquer la sensibilité de l’homme aux champs électromagnétiques ambiants, que ce soient des champs de basses fréquences, comme ceux induits par le réseau électrique 50 Hertz, des champs de moyennes fréquences ou des champs de fréquences élevées, comme ceux induits par les micro-ondes.

Dans un monde « connecté » où de plus en plus d’objets du quotidien vont se voir attacher à une IP, quelle sera la place de l’homme dans cet environnement ?

Et si toute cette technologie, fort utile au demeurant, nous coupait du monde ?

En voulant surexploiter le virtuel, passons-nous à côté d’une autre réalité ?

Ou se trouve la magnétite dans le corps

Dans les arcades sourcilières, sur les tendons de muscles oculomoteurs : permettant de tourner les yeux sans bouger la tête

Dans la nuque : sur les tendons qui nous permettent de tenir la tête droite

Dans le creux des coudes

Dans le bas du dos : attaches lombaires

Dans les mains

Au creux des genoux

Dans les talons

Dans le gros orteil

C’est en découvrant ces zones que je n’ai pu m’empêcher de faire le lien avec une maladie que je connais très bien : La Spondylarthrite ankylosante.

De plus ces zones sont aussi, de manière surprenante, en corrélation avec les zones touchées par la Fibromyalgie.

En superposant les endroits où se trouve la magnétite et les zones douloureuses de certaines maladies, je me suis aperçue qu’elles sont identiques.

Peut-on en conclure que les douleurs sont liées à la perturbation de la magnétite du corps ?

De toutes les manières, cela mérite de se pencher sur la question.

Si vous êtes porteur d’une maladie auto-immune, observez vos zones douloureuses…

En conclusion, je dirais que nous DEVONS prendre soin de notre magnétite pour prendre soin de notre corps et limiter les effets des ondes électromagnétiques.

Oui, mais comment ???

Voici quelques conseils à mettre en pratique immédiatement.

En premier ; il faut se rappeler que les ondes émises par les appareils sont dites scalaires, circulaires et que plus vous vous éloignez de la source, plus les effets s’atténuent.

Autre paramètre ultra important, la nuit notre corps se régénère et se nettoie, il faut donc absolument faire en sorte de le protéger, surtout la nuit et porter une attention toute particulière à la chambre et éviter toute source d’émission.

Il est encore plus évident qu’il faut protéger les enfants et les femmes enceintes.

Afin d’éliminer l’accumulation des effets nocifs des ondes il faut d’abord s’en protéger !

Téléphone

La première source d’OEM est sans doute le téléphone portable, il convient donc de se protéger :

Oubliez les oreillettes sans fil et le téléphone à l’oreille, en effet l’appareil posé à côté du cerveau brûle littéralement les zones proches de l’oreille.

Wifi maison

La Wifi intérieure envoie des OEM en permanence, pourquoi ne pas la stopper la nuit ?

La connexion Ethernet permet la connexion directe avec la box, pensez à gérer votre débit…

Wifi extérieure

Malheureusement, elle est partout et à part avoir en permanence sur soi un écran protecteur, on ne peut pas avoir accès aux sources d’émissions.

Faire vérifier votre installation électrique, il faut que la terre soit connectée dans l’ensemble de vos branchement, afin que les micro-ondes retournent à la terre.

Dans la chambre

Evitez à tout prix les sources d’émission d’OEM pendant votre sommeil (Téléphone, télévision, box…)

Le four micro-ondes : vous est-il vraiment nécessaire ?

Pour ma part je l’ai banni.

La télévision

La première façon de se protéger est de limiter son utilisation en choisissant ses programmes et en évitant l’allumage systématique.

Linky

Ce compteur qui véhicule un courant porteur (CPL) émet un courant beaucoup plus puissant que le courant classique (157 fois plus puissant) et 6 fois par minute.

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LE SYSTEME LYMPHATIQUE : FONCTIONNEMENT ET MALADIES

Anatomie système immunitaire

La fonction principale du système lymphatique est de transporter la lymphe, qui est un liquide clair, incolore qui contient les globules blancs qui aident le corps à se débarrasser des toxines, des déchets et des autres produits indésirables.

« Lymphatique » vient du terme latin « lymphaticus » qui signifie « relatif à l’eau » car la lymphe est claire.

Le réseau lymphatique, qui est un sous-ensemble du système circulatoire, a un certain nombre de fonctions, comprenant le retrait du liquide interstitiel, le liquide extracellulaire qui baigne la plupart des tissus.

Il agit aussi comme une voie qui transporte les globules blancs depuis et vers les ganglions lymphatiques dans les os, et les cellules présentatrices d’antigène ou CPA vers les ganglions lymphatiques.

Description du système lymphatique

Le système lymphatique est un réseau de tissus et d’organes qui consiste principalement en des vaisseaux lymphatiques, ganglions lymphatiques et la lymphe.

Les amygdales, les adénoïdes, la rate et le thymus font tous partie du système lymphatique.

Il y a 600 à 700 ganglions lymphatiques dans le corps humain qui filtrent la lymphe avant qu’elle retourne dans le système circulatoire.

La rate, qui est l’organe lymphatique le plus important, est localisée dans le côté gauche du corps humain juste au-dessus des reins.

Les êtres humains peuvent vivre sans rate, bien que ceux qui en sont dépourvu, à cause d’une maladie ou blessure, soient plus enclins aux infections.

Le thymus, qui stocke les lymphocytes immatures et les prépare à devenir des lymphocytes T actifs, est localisé dans la poitrine juste au-dessus du cœur.

Les amygdales sont des grosses grappes de cellules lymphatiques situées dans le pharynx.

Bien que les amygdalectomies soient moins fréquentes de nos jours que dans les années 1950, c’est toujours une opération fréquemment réalisée et qui est consécutive à des infections de la gorge trop répétées.

Quand les bactéries sont reconnues dans le liquide lymphatique, les ganglions lymphatiques fabriquent des globules blancs plus efficaces contre l’infection, qui peuvent causer des gonflements.

Des ganglions enflés peuvent parfois être sentis dans le cou, sous les aisselles et l’aine.

Contrairement au sang, qui afflue dans tout le corps en boucle continue, les flux de lymphe ne vont que dans une seule direction, ascendante et vers le cou, à l’intérieur de son propre réseau.

Elle afflue dans le flux sanguin veineux via les veines sous-clavières, qui se situent d’un côté et d’autre du cou près de la clavicule.

Le plasma quitte les cellules une fois qu’elles ont délivré leurs nutriments et retiré les déchets.

La plupart de ce liquide retourne à la circulation veineuse à travers les veinules et continue sous forme de sang veineux.

Le reste devient de la lymphe.

La lymphe quitte le tissu et entre dans le système lymphatique à travers des vaisseaux capillaires lymphatiques spécialisés.

Environ les trois quarts de ces vaisseaux capillaires sont des vaisseaux superficiels qui se situent près de la surface de la peau.

Il y a aussi des vaisseaux capillaires lymphatiques plus profonds qui entourent la plupart des organes humains.

Il y a deux régions de drainage qui composent le système lymphatique.

Les aires de drainage droites concernent le bras droit et la poitrine.

La région gauche de drainage qui nettoie toute les autres régions du corps, y compris les deux jambes, le bas du tronc, la portion haute de la poitrine et le bras gauche.

Les maladies du système lymphatique

Les maladies et troubles du système lymphatique sont typiquement traités par les immunologistes.

Les chirurgiens vasculaires, dermatologues, oncologues et kinésithérapeutes sont aussi concernés dans le traitement des différents maux lymphatiques.

Il y a aussi les thérapeutes du lymphœdème qui sont spécialisés dans le drainage manuel du système lymphatique.

Le lymphœdème est un gonflement chronique des membres causé par une accumulation du liquide de la lymphe qui survient si le système lymphatique est endommagé ou ne fonctionne pas correctement.

Alors que les membres sont normalement concernés, le visage, le cou et l’abdomen pourraient aussi être affectés.

Nombreux sont ceux qui développent ce trouble suite à une thérapie anticancéreuse, notamment un cancer du sein où les ganglions lymphatiques sous les aisselles sont retirés, ou suite à des infections récurrentes, blessures ou une chirurgie vasculaire.

Le lymphome de Hodgkin est une sorte de cancer qui survient quand les globules blancs du corps sont malades ou endommagés.

La maladie de Castleman est causée par des tumeurs bénignes qui touchent les ganglions lymphatiques.

Tout en n’étant pas précisément un cancer, cela ressemble à un lymphome.

La maladie localisée de Castleman affecte les ganglions lymphatiques de l’estomac et de la poitrine.

La maladie de Castleman multicentrique touche plus qu’une région de ganglions lymphatiques tout comme les organes contenant du lymphoïde comme la rate.

La Lymphangiomatose est une maladie qui implique de multiples kystes ou lésions qui se forment depuis les vaisseaux lymphatiques.

Dans le cas de l’éléphantiasis, c’est une infection des vaisseaux lymphatiques qui cause un épaississement de la peau et un élargissement des tissus sous-jacents, surtout des jambes et des parties génitales.

Le lymphangiosarcome est une tumeur maligne des tissus mous, tandis que le lymphangiome est une tumeur bénigne qui survient souvent en association avec le syndrome de Turner.

La lymphangioléiomyomatose est une tumeur bénigne des muscles lisses des lymphatiques dans les poumons.

La leucémie lymphoïde et les lymphomes sont appelés « leucémie » quand ils sont dans le sang ou la moelle et « lymphome » quand ils se situent dans les tissus lymphatiques.

La filariose lymphatique est une maladie dans laquelle un vers parasite infiltre le réseau lymphatique via une morsure de moustique.

Environ 120 millions de personnes sont affectées par cette maladie.

LE SYSTEME ENDOCRINIEN ET SES HORMONES

De nombreux organes et glandes forment le système endocrinien.

Hypophyse

L’hypophyse est la glande principale du système endocrinien.

Elle est située à la base du cerveau et fabrique et entrepose de nombreuses hormones qui contrôlent :

La croissance

Le métabolisme

La production du lait maternel après une naissance

Les menstruations, la maturation des ovules et la production de l’œstrogène par les ovaires chez la femme

La production de spermatozoïdes et de testostérone par les testicules chez l’homme

Le taux de stéroïdes dans le corps

Les hormones fabriquées par l’hypophyse déclenchent aussi la production ou l’arrêt de production d’hormones par d’autres glandes endocrines.

Ensemble, l’hypophyse et l’hypothalamus contrôlent le système endocrinien et les taux d’hormones.

Hypothalamus

L’hypothalamus est une partie importante du cerveau et il porte plusieurs chapeaux en contrôlant différentes parties du corps.

L’une des fonctions de l’hypothalamus est de fabriquer des hormones, dont celles qui contrôlent l’hypophyse et celles qui contrôlent la pression artérielle.

L’hypothalamus réagit aux changements qui affectent les taux d’hormones.

Corps pinéal

Le corps pinéal est une glande minuscule située en profondeur dans le cerveau qui fabrique une hormone appelée mélatonine, qui contrôle les habitudes de sommeil.

Thyroïde

La thyroïde est une glande en forme de papillon située dans le cou, devant la partie supérieure de la trachée.

La thyroïde fabrique des hormones qui contrôlent de nombreuses fonctions du corps dont la croissance et le métabolisme.

Elle fabrique également une hormone qui contrôle la quantité de calcium dans le corps.

Apprenez-en davantage sur la thyroïde.

Parathyroïde

Les parathyroïdes sont 4 petites glandes fixées à l’arrière de la thyroïde.

Elles fabriquent et libèrent la parathormone (PTH).

La parathormone aide à contrôler le taux de calcium dans le sang.

La plus grande partie du calcium est emmagasinée dans les os.

Quand le taux de calcium sanguin est bas, les parathyroïdes sécrètent de la PTH pour inciter les os à libérer du calcium dans le sang.

Quand le taux de calcium sanguin est élevé, les parathyroïdes sécrètent moins de PTH, et le taux de calcium dans le sang diminue.

Thymus

Le thymus est une glande située dans la partie supérieure du thorax, juste derrière le sternum et entre les poumons.

Le thymus fait partie du système endocrinien, du système lymphatique et du système immunitaire.

Le thymus fabrique des hormones qui aident les lymphocytes T, un type de globule blanc, à devenir matures et à fonctionner.

Glande surrénale

On a 2 glandes surrénales, une au-dessus de chaque rein.

Les glandes surrénales sécrètent plusieurs hormones qui contrôlent différentes fonctions corporelles, dont le métabolisme, la fréquence cardiaque, la pression artérielle, l’équilibre hydrique (eau) et l’équilibre sodique (sel).

Elles fabriquent aussi une petite quantité d’œstrogène et de testostérone, deux hormones sexuelles.

Pancréas

Le pancréas est un organe long et mince situé dans la partie supérieure gauche de l’abdomen.

Il se trouve sous l’estomac, entre le foie et la rate.

Le pancréas fait partie de l’appareil digestif et du système endocrinien.

Le pancréas fabrique des enzymes qui sont libérées directement dans l’intestin grêle afin d’aider à digérer la nourriture.

Il fabrique aussi des hormones qui aident à la digestion et qui contrôlent les taux sanguins du sucre (glucose), comme l’insuline.

Les hormones sont fabriquées dans de petits groupes de cellules spécialisées appelés îlots pancréatiques.

Cette partie du pancréas qui fabrique des hormones est appelée pancréas endocrine.

Ovaire

Les ovaires font partie de l’appareil reproducteur de la femme (appareil reproducteur féminin).

La femme a 2 ovaires où les ovules immatures deviennent des ovules matures.

Les ovaires fabriquent deux hormones appelées œstrogène et progestérone.

Les ovaires sont situés en profondeur dans le bassin de la femme, des deux côtés de l’utérus, près des extrémités des trompes de Fallope.

Testicule

Les testicules font partie de l’appareil reproducteur de l’homme (appareil reproducteur masculin).

L’homme a 2 testicules.

Les testicules fabriquent les spermatozoïdes et l’hormone sexuelle mâle appelée testostérone.

Système neuroendocrinien et cellules neuroendocrines

Le système neuroendocrinien est fait de cellules spéciales appelées cellules neuroendocrines.

Elles sont dispersées dans tout le corps.

Les cellules neuroendocrines agissent comme des cellules nerveuses (neurones) et elles fabriquent des hormones comme les cellules du système endocrinien (cellules endocrines).

Les cellules neuroendocrines reçoivent des messages (signaux) du système nerveux et y répondent en fabriquant et en libérant des hormones.

Les cellules neuroendocrines sont dispersées le long du tube digestif (tractus gastro-intestinal, GI) , on les trouve dans la vésicule biliaire, les poumons, l’hypothalamus, l’hypophyse, la thyroïde, les parathyroïdes, le pancréas et la couche interne des glandes surrénales (médullosurrénale).

Cœur et reins

Le cœur et les reins jouent également un rôle dans le système endocrinien.

Ils fabriquent des hormones qui aident à contrôler la pression artérielle et la quantité de sang dans le corps, soit le volume sanguin.

Les reins fabriquent eux aussi une hormone qui fait que le corps absorbe le calcium de la nourriture que nous mangeons.

Hormones et cancer

Certaines hormones peuvent faire croître le cancer et certains cancers fabriquent des hormones qui causent des problèmes dans le corps.

Récepteurs hormonaux

L’œstrogène et la progestérone sont des hormones sexuelles femelles.

Elles peuvent favoriser la croissance des cellules du cancer du sein.

On trouve des récepteurs d’œstrogène (ER) et des récepteurs de progestérone (PR) à la surface ou à l’intérieur de certains types de cellules du cancer du sein.

Quand les hormones se fixent à ces récepteurs, elles peuvent inciter les cellules cancéreuses à se développer et à se diviser.

On fait une analyse du statut des récepteurs hormonaux aux femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du sein afin de savoir si elles peuvent bénéficier d’une hormonothérapie.

Hormonothérapie

Certains types de cancer utilisent les hormones pour croître, comme les cancers du sein et de la prostate.

Les médecins ont donc parfois recours à l’hormonothérapie pour traiter le cancer.

L’hormonothérapie est un traitement qui ajoute, bloque ou supprime des hormones dans le but d’interrompre ou de ralentir la croissance des cellules cancéreuses qui ont besoin d’hormones pour se développer.

Syndrome paranéoplasique

Certaines personnes atteintes de cancer finissent par avoir un syndrome paranéoplasique, c’est-à-dire un ensemble de symptômes qui apparaissent quand les cellules cancéreuses libèrent des substances chimiques susceptibles de modifier la façon dont d’autres organes et tissus fonctionnent.

Certains types de cancer du poumon, par exemple, fabriquent des hormones qui empêchent les reins de fonctionner correctement, soit d’évacuer le surplus de calcium du sang, ce qui fait grimper le taux de calcium sanguin (hypercalcémie).

Hormones synthétiques

Vous pourriez être exposés à des hormones synthétiques provenant de sources extérieures, comme des médicaments ou des substances chimiques présentes dans l’environnement.

Les hormones de sources extérieures risquent de faire augmenter ou diminuer vos taux d’hormones.

Il arrive que des taux d’hormones modifiés fassent augmenter ou diminuer le risque de cancer.

Les hormones synthétiques sont entre autres celles-ci :

contraceptifs oraux et autres contraceptifs hormonaux

hormonothérapie substitutive

stéroïdes anabolisants

perturbateurs endocriniens (bisphénol A présent dans certains plastiques par exemple)

Apprenez-en davantage sur les hormones synthétiques et comment elles risquent d’accroître le risque de cancer.

Cancers du système endocrinien

Le cancer peut prendre naissance dans n’importe quelle partie du corps, et certains types de cancer apparaissent dans des organes et des cellules du système endocrinien.

Ces cancers peuvent faire augmenter les taux d’hormones, ce qui risque de causer des problèmes.

Les cancers du système endocrinien sont entre autres ceux-ci :

Les tumeurs neuroendocrines (TNE)

Certaines tumeurs au cerveau et de l’hypophyse

Le cancer de la thyroïde

Le cancer de la parathyroïde

Le cancer du thymus

Le cancer de la glande surrénale

Le cancer des îlots pancréatiques

Certains cancers de l’ovaire

Certains cancers du testicule

DANGER LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS

Baisse du QI, troubles du comportement et autisme en hausse : cette enquête alarmante démontre que les perturbateurs endocriniens affectent aussi la santé mentale.

Et si l’humanité était en train de basculer vraiment dans l’imbécillité, comme l’imaginait en 2006 la cruelle fiction de Mike Judge « Idiocracy » ?

Depuis vingt ans, les scientifiques constatent avec inquiétude que les capacités intellectuelles ne cessent de diminuer à l’échelle mondiale.

Une baisse du QI a été observée dans plusieurs pays occidentaux.

À cela s’ajoute une explosion des cas d’autisme et des troubles du comportement.

En cause : les perturbateurs endocriniens, ces molécules chimiques qui bouleversent le fonctionnement de la thyroïde, essentielle au développement cérébral du fœtus.

Présentes dans les pesticides, les cosmétiques, les mousses de canapé ou encore les plastiques, ces particules ont envahi notre quotidien : nous baignons dans une véritable soupe chimique.

Aux États-Unis, chaque bébé naît ainsi avec plus de cent molécules chimiques dans le sang.

Mais comment limiter leurs effets ?

Quelles solutions peut-on mettre en place pour préserver les cerveaux des générations futures ?

Épidémie ?

Huit ans après « Mâles en péril », qui révélait l’impact des perturbateurs endocriniens sur la fertilité, Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade tirent à nouveau la sonnette d’alarme en dévoilant l’effet néfaste de ces mêmes polluants sur notre intelligence et notre santé mentale.

« Demain, tous crétins ? »

Relai la parole de chercheurs engagés, comme la biologiste Barbara Demeneix, spécialiste de la thyroïde, ou la biochimiste américaine Arlene Bloom, qui mène depuis les années 1970 un combat acharné contre l’utilisation des retardateurs de flammes (mélanges chimiques ajoutés à une grande variété de produits industriels comme les plastiques, les textiles et les équipements électriques ou électroniques pour les rendre moins inflammables).

Leurs études et d’autres nous alertent sur un problème de santé publique dont les législateurs, sous l’influence des lobbies industriels, n’ont pas encore pris la mesure.

LA GLANDE PINEALE ( DANGER ACTIVATION )

La glande pinéale ou épiphyse est une petite glande endocrine de l’épithalamus du cerveau des vertébrés.

À partir du tryptophane, elle sécrète la mélatonine et joue donc, par l’intermédiaire de cette hormone, un rôle central dans la régulation des rythmes biologiques (veille/sommeil et saisonniers).

Connue depuis au moins l’époque de Galien (au iie siècle apr. J.-C.), la glande pinéale était baptisée kornarion (littéralement : pignon de pin).

La glande pinéale est localisée au contact du sillon cruciforme de la lame quadrijumelle constituant la région dorsale du mésencéphale, et appartient à l’épithalamus.

Elle est reliée au diencéphale de chaque côté par les pédoncules antérieurs et latéraux dans l’écartement desquels, appelés triangle habénulaire, se logent les habenula.

Dans l’espèce humaine, la glande pinéale a la forme d’une pomme de pin (d’où l’adjectif pinéale) ou d’un petit cône d’environ 8 mm situé en position médiane en arrière du troisième ventricule, entre les deux thalamus, au-dessus des colliculi supérieurs, et derrière la stria medullaris.

Dans l’espèce humaine, la glande pinéale croît en volume jusqu’à l’âge d’un à deux ans puis se stabilise 1,2 mais sa masse augmente à partir de la puberté.

En effet, il se produit souvent une calcification (Corpora arenacea) de cette glande chez l’adulte qui est associée à la baisse de production de mélatonine.

La mélatonine

L’anatomie et l’embryologie comparées de la glande pinéale montrent que certains de ses neurones partagent une origine évolutionnaire commune avec les photorécepteurs de la rétine.

Ainsi chez certains reptiles et oiseaux, la glande pinéale qui est située juste sous la surface du crâne, capte l’intensité lumineuse extérieure et permet ainsi d’ajuster le rythme circadien de l’animal, ce qui fait qu’on la désigne parfois comme le « troisième œil » des vertébrés primitifs.

Chez les mammifères, dont l’homme, la glande pinéale a perdu cette fonction photoréceptrice et seules les cellules de la rétine contribuent à la perception de la luminosité ambiante.

Cette information est traitée par le noyau suprachiasmatique de l’hypothalamus qui orchestre la régulation circadienne.

Au sein de ce qu’on appelle le système photoneuroendocrine, la glande pinéale ne joue donc qu’un rôle de transduction qui convertit le rythme imposé par le noyau suprachiasmatique en message hormonal endocrinien, via la sécrétion de l’hormone mélatonine.

La production de mélatonine est contrôlée par une voie rétino-hypothalamo (noyau suprachiasmatique)-médullaire (noyaux intermédio-latéraux)-pinéal via le ganglion cervical supérieur.

La lumière inhibe la libération sanguine de la mélatonine.

La mélatonine est libérée ainsi la nuit et concourt à adapter l’organisme au cycle nycthéméral (jour/nuit).

La glande pinéale étant localisée en dehors de la barrière hémato-encéphalique, la mélatonine va donc se distribuer dans l’ensemble du corps.

Il semble que la glande pinéale joue donc aussi un rôle dans la régulation du développement sexuel par le fait que la mélatonine aurait un effet antigonadotrope qui inhibe l’apparition des caractères sexuels secondaires.

La baisse de production de mélatonine à la puberté correspondrait donc à une levée de cette inhibition.

Cela expliquerait le fait qu’une destruction ou un dysfonctionnement de la glande pinéale peut se manifester par une puberté précoce (développement accéléré des organes sexuels et du squelette).

Enfin, la glande pinéale participe aussi à la régulation des rythmes infradiens liés aux saisons (hibernation, œstrus).

La synthèse de la mélatonine se fait en quatre étapes enzymatiques dans la glande pinéale à partir de l’acide aminé essentiel tryptophane, en passant par une étape de synthèse de la sérotonine.

D’après les recherches de Rick Strassman sur la DMT, il semblerait que la glande pinéale soit capable d’en produire, en infimes quantités lorsque nous rêvons, et en plus larges quantités lors de notre mort.

Mais la concentration en DMT est considérée comme trop faible pour pouvoir produire un effet psychotrope et il y a des alternatives à la DMT pour les expliquer.

Plus la pinéale est calcifiée, moins elle secrète de mélatonine.

Le fluorure s’accumule dans la glande pinéale.

La glande pinéale chez les sujets âgés contient la même quantité de fluorure que les dents.

Les concentrations de calcium et de fluorure dans la glande pinéale sont corrélées.

Chez le rat, l’exposition au fluor entraîne une baisse du nombre de pinéalocytes similaire à celle observée durant la vieillesse ou lors d’une exposition continue à la lumière.

Aspect culturelle

La glande pinéale fut l’avant-dernière des glandes endocrines dont la fonction fut identifiée.

Cela explique sans doute les spéculations tant physiologiques que métaphysiques qui ont entouré son rôle supposé central dans la pensée du fait de sa position dans l’encéphale.

La plus célèbre de ces théories est sans doute celle du philosophe français René Descartes qui désigna la glande pinéale comme le « siège » de l’âme.

Pour justifier cette hypothèse, Descartes se basait sur le fait que la glande pinéale aurait été l’unique organe de la tête à n’être pas conjugué, c’est-à-dire ne se présentant pas sous une forme de paire d’organes symétriques situés de part et d’autre du plan sagittal.

Par ailleurs outre sa position centrale, la glande pinéale se trouve juste au-dessus de l’aqueduc de Sylvius dont Descartes pensait qu’il guidait ce qu’il appelait les « esprits animaux » censés faire naître les sensations dans l’âme en frappant la glande pinéale.

Aujourd’hui, les études histologiques ont montré que la glande pinéale est bien un organe conjugué mais les deux hémisphères qui la constituent sont presque fusionnés.

Dans la mythologie védique du Yoga, la glande pinéale est associée, tantôt au chakra Ajna ou 3e œil, tantôt au Sahasrara ou chakra de la couronne, situé au sommet du crâne.

Dans la plupart des interprétations du Discordianisme la glande pinéale est supposée servir d’organe de communication avec la déesse Eris.

La glande pinéale est parfois aussi appelée « le troisième œil atrophié ».

D’après Paul Foster Case, la glande pinéale est la « montagne » de la Bible où se fait la communication avec le Très Haut : Moïse reçoit les tables de la loi « sur la montagne », d’un point de vue ésotérique, cette montagne ne serait autre que le siège de la glande pinéale.

Développant toute une mythologie autour du soleil et de l’œil, l’écrivain Georges Bataille puise à la fois dans les mythes, l’ethnologie, les religions et la biologie pour imaginer et penser une « anthropologie mythologique » de l’œil pinéal, associant expérience érotique et pensée rationnelle, « l’accès de la nature vivante (jusque-là liée au sol) à l’irréalité de l’espace solaire ».

LE SOLEIL EST NOTRE AMI

Le soleil a des bienfaits méconnus sur notre santé

De récentes études menées par différents instituts de recherche du monde entier sont unanimes : les rayons du soleil ont de nombreuses vertus souvent ignorées.

S’il ne faut pas abuser de ses rayons, il n’est pas forcément bon de les éviter à tout prix.

Une espérance de vie prolongée grâce aux rayons du soleil.

Contrairement aux idées reçues, les rayons du soleil ne doivent pas être évités à tout prix, loin de là.

En quantité modérée, ce dernier possède des vertus méconnues chez les personnes âgées et handicapées pouvant même aller jusqu’à prolonger l’espérance de vie !

En effet, bon nombre de recherches ont prouvé que la lumière du soleil était bénéfique pour lutter contre l’obésité, les crises cardiaques ou encore les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Explications

Le soleil : un allié de poids chez les personnes agées et / ou en situation de handicap.

Saviez-vous que le manque de soleil pouvait être aussi néfaste que le tabagisme sur la santé ?

Ce sont des chercheurs de l’Institut suédois Karolinska qui ont avancé cette théorie après plus de 20 ans d’étude.

Le soleil : des effets bénéfiques sur la santé et le handicap !

Le soleil est considéré comme un élément essentiel dans la vie des seniors et des personnes en situation de handicap, en témoignent les nombreuses personnes choisissant de s’expatrier au Portugal ou dans d’autres pays chauds.

Ne pas s’exposer au soleil, presque aussi néfaste que de s’exposer !

Avec les mesures de précautions préconisées par les médecins, il est souvent conseillé aux personnes âgées/handicapées de ne pas sortir aux heures chaudes et de fermer les volets de leurs maisons pour les garder fraîches.

A juste titre.

Cependant, ne pas s’exposer du tout au soleil par peur de la chaleur peut se révéler néfaste à la longue.

15 minutes d’exposition au soleil par jour : l’idéal pour les seniors !

S’exposer pendant 10 et 15 minutes, 2 à 3 fois par semaine, serait même vivement recommandé et bénéfique… pour le corps et l’esprit !

Ce laps de temps suffirait pour refaire le plein de vitamine D, essentielle pour la santé des os et l’immunité et ainsi éviter les carences.

A noter que pour les personnes à la peau claire, mieux vaut ne pas dépasser 5 à 10 minutes d’exposition par jour.

Soleil : quels bienfaits thérapeutiques sur votre moral ?

Le soleil en quantité raisonnable agirait positivement sur votre sommeil, permettrait de lutter contre le stress et réduirait le risque de dépression.

C’est en tout cas ce qu’a avancé, en 1984, le psychiatre américain Norman Rosenthal.

Les personnes âgées et/ou en situation de handicap, en particulier les plus isolées, sont invitées à s’exposer à la lumière pour favoriser leur bien-être mental.

Une santé au beau fixe grâce au UV !

Outre le fait d’agir positivement sur votre état d’esprit, le soleil présente différentes vertus pour votre santé !

Il fortifierait tout d’abord les os en stimulant la synthèse de vitamine D, essentielle pour fixer à la fois le calcium et le phosphore.

A côté de cela, il contribuerait à réduire l’obésité.

En effet, différentes études réalisées par les universités de Southampton et d’Édimbourg ont révélé que les rayons ultraviolets permettaient de freiner le développement de l’obésité et de diminuer les symptômes du diabète de type 2.

Enfin, il y a quelques années, l’équipe du Dr Richard Weller, maître de conférences en dermatologie à l’Université d’Edimbourg, a établi que l’exposition à la lumière du soleil pouvait baisser la tension artérielle et ainsi réduire sensiblement le risque de crise cardiaque et d’AVC !

CLAIRE SEVERAC LA GUERRE DES PEUPLES

CLAIRE SEVERAC cette trans, est morte le jour de Noël.

Un rituel satanique lui a été offert, pour remercier son travail, pour avoir divisé la population.

Bravo claire, mais ton jeu est découvert.

Tu faisais partie de ces pièges tissés, par Satan.

HAARP ET LES CHEMTRAILS

Votre vie ne faut rien !

La réalité d’aujourd’hui rejoint-elle, ou bien dépasse-t-elle, les scénarios de science-fiction les plus délirants ou les plus machiavéliques ?

Certains « événements » peuvent nous apparaître comme impossibles, car dépassant notre entendement, notre logique ou notre système de référence ou de valeur.

Pour autant, doit-on les rejeter automatiquement ?

Dès qu’ils sont déstabilisés dans leurs schémas de pensées par certaines informations, différentes personnes vous parleront immédiatement de la fameuse « théorie du complot » pour couper court à tout débat possible.

Doit – on pour autant tout accepter sans esprit critique ?

La recherche de la vérité encourage a n’adhérer a aucune de ces deux options.

Simplement, tout étudier avec rigueur et intégrité même si a priori une information, nous choque ou nous parait impossible.

Prenez quelques personnes ou groupes de personnes dénuées de toute morale ou en tout cas de respect de la vie et de leur prochain, et dotez-les de moyens financier colossaux nécessaires pour acheter des consciences et faire de la recherche scientifique tout azimut sans aucune limite de quelque nature que ce soit.

Alors l’improbable ou l’impensable peut devenir réalité…

Sommes nous tous vraiment informés des avancées technologiques et scientifiques réalisées par l’armée ou par des sociétés privées qui dans certains cas ne cherchent pas vraiment la publicité ni à ébruiter les résultats de leur recherche ?

Qu’est ce que les chemtrails ?

Les chemtrails à la différence des traînées blanches dans le ciel résultant de la condensation de la vapeur d’eau laissée par les réacteurs des avions, sont le résultats d’un épandage de produits chimiques ou aérosols dangereux et très nocifs pour la santé des êtres humains mais aussi pour la flore et la faune.

Cela a des effets catastrophiques à court, moyen et long terme.

Bien des spécialistes des chemtrails aux Etats-Unis ne se posent plus la question de savoir si ces trainées blanchâtre contiennent ou pas des substances toxiques car ils ont largement dépassé ce stade.

Ils savent aujourd’hui de manière formelle ce que contiennent les CHEMTRAILS.

Leur problème est bien ailleurs.

Ce sont les conséquences désastreuses constatées depuis quelques années.

En effet le largage de mégatonnes de poussières composées d’aluminium sensées freiner les rayons du soleil associées entre autre à du magnésium, sont en train de modifier en profondeur le PH de la terre, la rendant toxique pour les plantes.

En effet le PH ( Potentiel Hydrogène ) normalement légèrement acide de la terre s’est transformé en PH Neutre dans bien des régions des Etats Unis.

Cela a modifié profondément l’équilibre des micro-organismes inhérent à la bonne santé du sol.

Par conséquent de nombreuses plantes et arbres meurent ainsi que de nombreuses espèces animales.

Après analyse, on trouve entre autres dans les chemtrails du : baryum, de l’aluminium, du magnésium, des polymères synthétiques, des virus, des nanoparticules, et dans certains cas du sang séché etc.

Est ce que l’association de virus et de sang séché présent dans certains cas à cette macabre préparation ont un rôle à jouer dans la gestion du climat, ou bien la présence de ces composants ont d’autres objectifs ?

Il semble possible que de très nombreux gouvernements ont accepté OFFICIEUSEMENT le programme des chemtrails qu’on leur a vendu sans doute, sous le prétexte de gestion du climat dans l’intérêt de tous…

Mais sous couvert d’un tel prétexte pouvant être louable pour certains… d’autres motivations ont put être associées de manière occulte.

Ces épandages ou vaporisation effectués par de gros avions civils ou militaires entre 9 000 et 10 000 m d’altitude, ont lieu très régulièrement et pratiquement sur toute la planète depuis plusieurs années avec l’accord tacite des autorités des pays concernés, car cela ne peut en être autrement.

Récemment au début du mois de Février 2013, ces épandages ont été observé dans le sud de la France, au dessus des villes de Marseille et d’Aix en Provence.

Les chemtrails mythes ou réalité ?

Quels en sont les enjeux ?

1/ Manipulation du climat ?

2/ Eugénisme ?

D’autres conséquences très lucratives pour certains pourront éventuellement résulter d’un empoisonnement généralisé des sources alimentaires.

En effet cela pourra favoriser le recours quasi incontournable pour l’ensemble de tous les agriculteurs de la planète aux graines d’origine OGM, seules résistantes à l’excès d’aluminium et autres métaux toxiques par exemple.

Lorsque l’on veut évaluer les conséquences d’une catastrophe qu’elle qu’en soit l’origine il est habituel de compter les morts et d’évaluer les conséquences présentes et à venir sur différents plans : économique, écologique, humains, sociétal, etc.

Certains considèrent les conséquences présentes et à venir des chemtrails, comme n’ayant pas de comparaison connue dans l’histoire de l’humanité.

Car détruire tous les jours avec des moyens matériel très important, VOLONTAIREMENT et méthodiquement le milieu naturel de l’homme et donc sa nourriture (l’eau, la terre, l’air et donc toute vie animale, végétale et aquatique) en déversant régulièrement des mégatonnes de toxique à travers toute la planète est l’apogée de la folie humaine.

C’est vraiment jouer à l’apprenti sorcier car les conséquences multiples et variées pourront tout à fait échapper totalement au contrôle des personnes à l’origine de ce projet qui est aujourd’hui bien avancé…

Dire tout cela ne consiste pas à « faire » dans le catastrophisme sensationnel ou spéculatif ou encore irraisonné mais simplement à décrire une situation telle quelle et de manière factuelle avec les informations que l’on possède aujourd’hui.

Différentes personnes tournent en dérision le problème des chemtrails, mais sans s’y intéresser de manière objective et factuelle.

Il suffit pour s’en convaincre de regarder la définition qu’en donnent certains sites ou organismes…

Ceci étant dit cet article ne cherche pas à convaincre quiconque à propos des chemtrails, mais simplement à favoriser la curiosité individuelle de chacun d’entre nous.

Ensuite que ceux qui estiment le sujet intéressant se fassent leur propre opinion libre de tous préjugés par des recherches personnelles et rigoureuses.

Il ne sert à rien de se révolter ni par le déni, ni par la moquerie, ni par la violence, mais simplement étudier la justesse ou pas du problème des chemtrails.

Ensuite si l’on en ressent l’urgence, en parler et favoriser toutes les prises de conscience individuelles jusqu’ au plus haut niveau de responsabilité afin qu’il soit mis un terme à ce qu’une élite a décidé comme avenir pour l’humanité.

LA MALADIE DE MORGELLONS

Les Morgellons, une maladie de peau énigmatique nié par la médecine et impliquant les chemtrails.

Parasitose ou infestation délirante, dermopathie inexpliquée ou encore maladie mentale…

Actuellement la maladie des Morgellons est considérée comme imaginaire par le milieu médical, elle s’est développée prioritairement aux Etats-Unis mais aujourd’hui la maladie des Morgellons se répand à travers le monde notamment en Europe et les cas se multiplient rapidement.

Le Bon Coin Santé a voulu en savoir plus sur cette intrigante maladie.

Le Morgellons, une nouvelle maladie vraisemblablement due à une très haute technologie.

Beaucoup de malades ignorent ce qu’ils ont, parce que très peu de médecins ont connaissance de cette maladie étrange et que cette maladie n’existe officiellement pas, ce qui limite la recherche dans ce domaine.

Cependant la maladie est bien réelle, mais en l’absence de statistiques et d’informations relayée par les médias officiels, nul ne sait si elle est mortelle, par contre une chose est certaine c’est qu’elle est très invalidante : Sensation d’insectes qui rampent sous la peau, plaies qui ne guérissent pas, douleurs articulaires, fatigues intenses, violentes démangeaisons, « choses » qui sortent de la peau…

Mais l’élément le plus considérable de cette infection, paraît être l’effet sur le cerveau.

Les désordres de l’humeur, tel que dépression et désordre bipolaire, perturbation de la concentration mentale et de la mémoire à court terme sont extrêmement communs dans ce groupe, en affectant la moitié de tous les individus qui rapportent des symptômes de la maladie de Morgellons.

D’où vient cette maladie et comment se propage-t-elle ?

La principale caractéristique en est l’apparition d’étranges fibres colorées « vivants » sous la peau des patients.

Et le seul lien découvert entre les personnes affectées est que la moitié des individus atteints de Morgellons sont également infectés par la maladie de Lyme.

Selon les premières observations, il semble exister un certain processus de transmission.

Sachez aussi que des animaux en sont atteints, des insectes et des abeilles en meurent, le corps rempli de fibres multicolores.

Pourquoi la maladie des Morgellons est niée par le corps médical ?

Que signifient ses symptômes si étranges ?

Combien de personnes sont déjà contaminées ?

Quelles en sont les causes possibles ?

Géo-ingénierie (chemtrails), OGM, arme biotechnologique, biopesticides ?

Beaucoup de questions qui reste aujourd’hui sans réponse, mais ce qui est certain c’est que cette maladie cache quelque chose d’énorme et vraiment inquiétant.

La souffrance des personnes contaminées est grande.

Elles sont seules, sans aucun secours médical officiel, sans aucune reconnaissance.

Une maladie qui dérange… car elle met en cause les chemtrails.

Relations entre chemtrails & Morgellons

Les chemtrails tout comme les Morgellons sont 2 sujets tabous mais néanmoins explosifs.

D’après les hypothèses avancées, soit cette maladie est purement imaginaire ou soit elle est liée à des manipulations génétiques (OGM) ou autres nanoparticules contenues dans les épandages aériens (chemtrails) à grande échelle…

Mais bien évidemment tous les idiots utiles déclarent haut et fort que jamais, Ô grand jamais, nos gouvernements n’effectueraient de tels essais à grande échelle, rappelons à ces idiots l’affaire de pont Saint Esprit par exemple…

MONSANTO CRIMINEL

La firme agroalimentaire tentaculaire criminelle Monsanto (de l’agent Orange aux OGM) vient d’acheter la société de mercenaires criminels Blackwater (aujourd’hui appelée Xe Services) !

La Pravda en anglais, Silvia Ribeiro, 14 octobre 2010

Un article de Jeremy Scahill, Blackwater’s Black Ops (Les opérations secrètes des Blackwater), paru dans The Nation le 15 septembre 2010, a révélé que la plus grande armée de mercenaires du monde, la compagnie de services clandestins d’intelligence Blackwater (aujourd’hui appelée Xe Services) a été vendue à la multinationale Monsanto.

Blackwater a été rebaptisée en 2009, après que de nombreux rapports de débordements, dont des massacres de civils, en Irak l’aient rendue célèbre dans le monde.

Elle reste le plus grand prestataire privé de « services de sécurité » du ministère des Affaires étrangères zunien à pratiquer le terrorisme d’État, offrant ainsi au gouvernement la possibilité de nier sa pratique.

De nombreux militaires et anciens officiers de la CIA travaillent pour Blackwater ou des entreprises assimilées ou créées pour détourner l’attention de leur mauvaise réputation et rendre plus lucrative la vente à d’autres gouvernements, banques et compagnies multinationales de leurs infâmes services, allant de l’information et du renseignement à l’infiltration, en passant par le lobbying politique et la formation paramilitaire.

Selon Scahill, les affaires avec les multinationales comme Monsanto et Chevron, et des géants de la Finance tels que Barclays et Deutsche Bank, sont conduites par deux sociétés appartenant à Erik Prince, le propriétaire de Blackwater :Total Intelligence Solutions et Terrorism Research Center.

Leurs fonctionnaires et administrateurs ont en commun Blackwater.

L’un d’eux, Cofer Black, l’un des directeurs de la CIA connu pour sa brutalité, est celui qui, en tant que directeur de Total Intelligence, a pris contact avec Monsanto en 2008 pour conclure un contrat avec la compagnie pour espionner et infiltrer les organisations de militants des droits des animaux et des anti-OGM, et accomplir les autres sales boulots du géant de la biotechnologie.

Contacté par Scahill, Kevin Wilson, un cadre de Monsanto, a refusé de commenter, mais a confirmé plus tard à The Nation qu’ils avaient engagé Total Intelligence en 2008 et 2009, seulement, selon lui, pour garder une trace des « révélations » de leurs opposants.

Il a aussi indiqué que Total Intelligence est une « entité totalement distincte de Blackwater. »

Pourtant, Scahill possède des copies de courriels de Cofer Black après sa rencontre avec Wilson pour Monsanto, où il explique à d’autres anciens agents de la CIA, en utilisant leurs adresses de courriels chez Blackwater, que la discussion avec Wilson était que Total Intelligence est devenu « l’organe de renseignement de Monsanto, » pour l’espionnage des militants et d’autres actions, incluant « l’intégration légale de nos gens dans ces groupes. »

Monsanto a payé Total Intelligence 127.000 dollars en 2008 et 105.000 dollars en 2009.

Il n’étonnera guère qu’une compagnie engagée dans la « science de la mort » comme Monsanto, dédiée dès l’origine à créer des poisons toxiques à répandre, de l’Agent Orange aux BPC (biphényles polychlorés), des pesticides, des hormones et des semences génétiquement modifiées, est associée à une autre compagnie de voyous.

Quasi simultanément à la publication de cet article dans The Nation, Via Campesina a signalé l’achat de 500.000 actions de Monsanto, pour plus de 23 millions de dollars, par la Fondation Bill et Melinda Gates, qui, avec cette action, a complètement jeté le masque de la « philanthropie. »

Encore une association qui ne surprendra guère.

Il s’agit d’un mariage entre deux monopoles des plus cyniques de l’histoire de l’industrialisme : Bill Gates contrôle plus de 90 pour cent de part du marché de l’informatique propriétaire et Monsanto environ 90 pour cent du marché mondial des semences transgéniques et la majorité des semences commerciales du monde.

Il n’existe aucun autre monopole aussi vaste de secteurs industriels.

Leur l’existence même est une négation du fameux principe du capitalisme de « concurrence de marché. » Gates et Monsanto sont tous deux très agressifs dans la défense de leurs monopoles mal acquis.

Bien que Bill Gates puisse être tenté de dire que sa Fondation n’a aucun rapport avec son entreprise, tout prouve le contraire : la plupart de ses dons finissent par favoriser les investissements commerciaux du magnat.

Quoi que ce soit, ce ne sont pas vraiment des « dons, » puisque au lieu de payer des impôts à l’État, la Fondation investit ses bénéfices là où c’est favorable économiquement, y compris dans la propagande sur ses bonnes intentions présumées.

Ses « dons » financent au contraire des projets aussi destructeurs que la géo-ingénierie ou le remplacement des médicaments de la communauté naturelle par des médicaments brevetés de haute technologie dans les régions les plus pauvres du monde.

Quelle coïncidence ! L’ancien ministre [mexicain] à la Santé Julio Frenk et [l’ancien président du Mexique] Ernesto Zedillo sont des conseillers de la Fondation.

Comme Monsanto, Gates est aussi engagé dans une tentative de destruction de l’agriculture rurale dans le monde, principalement à travers l’« Alliance pour une révolution verte en Afrique » (AGRA).

Il fait office de cheval de Troie dans le but de déposséder les agriculteurs pauvres africains de leurs semences traditionnelles, afin de les remplacer d’abord par des semences de leurs compagnies, et ensuite par des semences génétiquement modifiées.

À cette fin, en 2006 la Fondation a embauché Robert Horsch, le directeur de Monsanto.

Gates expose maintenant des bénéfices importants, directement revenus à leur source.

Blackwater, Monsanto et Gates sont les trois faces d’un même calcul, la machine de guerre contre la planète et la plupart des gens qui l’habitent : les paysans, les communautés autochtones, les gens qui veulent partager les informations et les connaissances ou tous ceux qui ne veulent pas être sous l’égide du profit et du pouvoir destructeur du capitalisme.

L’auteur, Silvia Ribeiro, est chercheuse à l’ETC Group.

Cet article, paru à l’origine dans le journal mexicain La Jornado, a été traduit de l’espagnol pour La Pravda en anglais par Lisa Karpova.

Pourquoi il faut combattre Monsanto

Semences OGM, Round-up, hormone de croissance bovine, PCB, aspartame, agent orange…

Le point commun entre tous les mots de cette liste toxique ?

Monsanto…

Voici une fiche pratique pour savoir ce qui se cache derrière cette firme américaine aux beaux discours.

Monsanto est la firme emblématique de la saga de l’agrochimie mondiale. E

lle se présente aujourd’hui comme une entreprise des » sciences de la vie » convertie aux vertus du développement durable…

Dans un communiqué paru en juin 2014, elle explique même qu’elle « aide les agriculteurs à relever les défis de l’agriculture durable, pour produire une alimentation abondante, saine et bon marché, tout en préservant les ressources naturelles ».

Pour tout ceux qui croient à ce beau discours, voici une petite fiche pratique pour mieux connaître cette entreprise.

Libre à vous ensuite de vous faire votre propre opinion…

Ce qu’il faut savoir sur Monsanto

Monsanto est un empire industriel, qui, à grand renfort de rapports mensongers, de pressions et tentatives de corruption, est devenu l’un des premiers semenciers de la planète.

En effet, Monsanto, qui représente le leader mondial des OGM, est aussi l’une des entreprises les plus controversées de l’histoire industrielle.

En témoigne l’incroyable enquête de Marie-Monique Robin intitulée « Le monde selon Monsanto » qui « dévoile « une réalité qui fait mal aux yeux et qui serre le coeur » comme l’a commenté Nicolas Hulot.

Comment la société Monsanto est-elle devenue un des principaux empires industriels de la planète ?

En inscrivant à son pedigree rien de moins que la production à grande échelle de quelques-uns des produits les plus dangereux de l’ère moderne :

les PCB : des huiles chimiques utilisées comme isolants dans les transformateurs électriques et radiateurs pendant plus de 50 ans dont Monsanto a caché la nocivité dévastatrice jusqu’à leur interdiction au début des années 80.

Ces huiles ont également été largement utilisés comme lubrifiants dans les turbines et les pompes, dans la formation des huiles de coupe pour le traitement du métal, les soudures, les adhésifs, les peintures et les papiers autocopiants sans carbone.

La dioxyne, dont quelques grammes seulement suffisent à empoisonner une grande ville, développée à partir d’un herbicide de la firme, lequel sera à la base du tristement célèbre agent orange, le défoliant déversé sur les forêts et les villages vietnamiens (ce qui permettra à Monsanto de décrocher au Pentagone le plus gros contrat de son histoire).

Sa fabrication a été interdite alors même que Monsanto a savamment nié la toxicité de ce produit en présentant des études scientifiques truquées.

Les hormones de croissance laitière et bovine – premier banc d’essai des OGM -, dont l’objectif est de faire produire l’animal au-delà de ses capacités naturelles malgré les conséquences avérées sur sa santé et la santé humaine.

Le désherbant Roundup, vendu prêt à l’emploi aux agriculteurs et jardiniers amateurs et présenté à longueur d’écrans publicitaires comme biodégradable et favorable à l’environnement.

Monsanto a ensuire été condamné pour publicité mensongère.

Plusieurs études scientifiques ont montré la toxicité de ce produit, notamment l’étude du professeur Gilles Eric Séralini de l’université de Caen, qui a révélé que le produit avait un caractère cancérigène sur des rats en ayant consommé pendant 2 ans.

En plus de développer les cancers, le Roundup est notamment accusé d’être à l’origine de troubles de la reproduction.

De plus, il est également toxique pour les animaux, les eaux et les sols dont il détruit les micro-organismes.

L’aspartame (le « faux sucre ») : Marie-Monique Robin, dans son enquête intitulée « Notre poison quotidien », a révélé les conditions scandaleuses dans lesquelles l’aspartame a été mis sur le marché aux Etats-Unis en 1981 : une étude de toxicité médiocre, des mensonges éhontés, la pression de l’administration Reagan pour autoriser cet édulcorant produit par la firme Searle, alors dirigée par… l’ami républicain Donald Rumsfeld !

C’est en 1985 que Monsanto fait l’acquisition de GD Searle.

Aujourd’hui, alors que l’aspartame est présent dans au moins 6000 produits (nom de code E951), plusieurs études révèlent ses effets néfastes sur la santé, et notamment sur les femmes enceintes.

Les OGM : La communauté scientifique est très partagée sur les effets de la transgenèse et les retours d’expérience sur les ogm cultivés n’apportent la preuve ni de leur innocuité pour la santé et l’environnement ni de leur capacité à intensifier la production alimentaire pour vaincre la faim.

Un scientifique a notamment osé affronter Monsanto dans un procès très médiatisé : le Pr Séralini.

Il a en effet publié en septembre 2012 une étude sur les OGM dans une revue scientifique de référence » Food and Chemical Toxicology « , composée d’un Comité de lecture, et qui montrait clairement que les rats soumis à une alimentation à base d’OGM développaient beaucoup plus de tumeurs que des rats témoins.

De plus, l’utilisation de semences hybrides représente un danger pour la biodiversité, en rendant la terre stérile et les agriculteurs dépendants des produits chimiques.

Le brevetage du vivant : Monsanto a toujours avoué que la manipulation génétique était un moyen d’obtenir des brevets et droits de propriété sur les graines, c’est cela son vrai objectif.

En contrôlant les semences, la firme peut contrôler la nourriture mondiale.

Sur des prétextes d’amélioration de la rentabilité et de la qualité des récoltes, Monsanto a réussi au fil des années à imposer ses OGM et un incroyable processus d’asservissement des producteurs grâce au système des brevets.

Dés qu’un brevet est déposé, il signifie « royalties » et donc augmentation des prix…

Après avoir longtemps laissé les paysans de nombreux pays utiliser leurs semences génétiquement modifiées, la firme attaque désormais en justice ceux qui réutilisent ses semences sans avoir payé les royalties, même ceux dont les champs ont été contaminés par pollinisation.

Monsanto a ainsi attendu qu’ils en soient dépendants avant de les contraindre à payer de plus en plus cher pour utiliser ses produits.

Une stratégie de long terme, très planifiée dont l’objectif est de parvenir à une situation de monopole pour contrôler l’approvisionnement alimentaire mondiale.

Car oui Monsanto veut devenir le roi du monde en devenant propriétaire du vivant.

Nous dépendrons peut-être bientôt de la firme pour chaque graine que nous semons et chaque champ que nous cultivons.

Une sorte de pouvoir de vie ou de mort sur l’être humain.

Maintenant, croyez-vous toujours que Monsanto souhaite « aider les agriculteurs à relever les défis de l’agriculture durable, pour produire une alimentation abondante, saine et bon marché, tout en préservant les ressources naturelles » ?

Si vous refusez d’être mis devant le fait accompli d’une pollution génétique et chimique de notre environnement et de notre santé, et d’un avilissement des populations par le contrôle des graines de Monsanto, vous pouvez agir.

Le pouvoir est dans le caddie du consommateur, ne l’oubliez jamais !

Si une société ne vend plus ses produits parce que les consommateurs n’en veulent plus, elle s’effondre.

80 % DES MEDICAMENTS NE SERVENT A RIEN

MEE TOO

En cuisine, les plats non industriels mais réchauffés deviennent meilleurs : le cassoulet, la choucroute, le petit salé lentilles etc…

En médecine les médicaments réchauffés ont longtemps été utilisés.

On les appelait des ME TOO.

Il y en a encore.

Ils ont rapporté des milliards à l’industrie pharmaceutique qui est l’industrie qui a le plus gros chiffre d’affaire avant même celle des armes.

Cette même industrie pas assez satisfaite de l’argent récolté s’est mise à fabriquer des maladies, donc de fausses maladies, afin de vendre des faux médicaments tels que les statines.

Actuellement c’est le marché des vaccins toujours basé sur la peur des maladies qui fait un véritable tabac.

Et c’est vous chers patients qui entretenaient cette industrie, en consommant ces produits dont les effets secondaires sont cause de véritables pathologies qui vous font consommer encore d’autres médicaments.

Mettre fin à ce cercle vicieux mais vertueux pour le portefeuille des laboratoires qui n’ont aucune éthique à votre encontre sans être inquiété par la justice, peut – être si vous agissez par vous-même CAR vous pouvez être votre propre médecin.

Le médecin de famille qu’il faut recréer et séparer de ces “gougnafiers” vendeurs d’ersatz doit vous écouter, vous conseiller et vous guider vers la guérison, avec vous et votre mode de vie.

Vous n’avez pas besoin que quelqu’un pense à votre place et sache ce qu’il vous faut pour aller mieux.

Il existe d’autres solutions que la chimie à outrance.

Si vous avez des problèmes de santé, commencez par vous demander ce qui peut dans votre mode de vie favoriser votre état actuel et en en parlant avec votre médecin vous trouverez une solution sans vous empiffrer de médicaments.