Les complots sataniques

Voici des informations, Dieu m’a guidé vers ces supports, dans un mensonge, il y a toujours une vérité.

Le projet LEBERSBORN / MK-ULTRA / BLUE BIRD

Derrière ces noms obscurs, se trouve l’un des crimes les plus diaboliques commit sur une partie de la population humaine, une forme de contrôle de l’esprit systématique qui a imprégné tous les aspects de la société sur près de cinquante ans.

Cet article est étayé par des documents déclassifiés du gouvernement Américain, des personnes anciennement rattachées à la communauté du renseignement Américains, des écrits d’historiens, de chercheurs compétents dans le contrôle mental, des publications de praticiens de la santé mentale, et les témoignages recueillis auprès des survivants.

Soumis malgré eux à une forme très complexe d’un traumatisme à base de contrôle de l’esprit connu sous le nom de « programmation MONARCH ».

Les origines de la recherche « psychologique » et « psychiatrique ».

Au 19ème siècle, la Grande-Bretagne et l’Allemagne ont été reconnus comme les principaux secteurs géographiques de travaux sur le « contrôle mental ».

Les premiers travaux de recherche ont commencé avec le Behavioral Science, qui a été fondée en Angleterre en 1882, tandis que la plupart des premières techniques médicales et psychiatriques impliqués dans le contrôle mental ont été initiées à l’Institut Kaiser Wilhelm en Allemagne.

L’institut Tavistock des relations humaines a été créé à Londres en 1921 pour étudier le « point de rupture » des humains.

Kurt Lewin, un psychologue allemand, est devenu le directeur de l’Institut Tavistock en 1932, à la même époque l’Allemagne nazie avait augmenté ses recherches sur la neuropsychologie, la parapsychologie, l’occultisme et le multi- générationnelle.

Fait intéressant, un échange progressif des idées scientifiques qui se passait entre l’Angleterre et l’Allemagne, notamment dans le domaine de l’eugénisme: le mouvement consacré à « améliorer » l’espèce humaine à travers le contrôle des facteurs héréditaires dans l’accouplement.

Les échanges énigmatiques entre les deux pays étaient liés, en partie par l’Ordre de la Golden Dawn, une société secrète qui se composait de beaucoup de fonctionnaires de haut rang au sein du parti nazi et de l’aristocratie britannique.

L’officier nazi SS Heinrich Himmler, était en charge d’un projet scientifique intitulé Lebersborn, qui comprenait un élevage sélectif et l’adoption d’enfants, avec un grand nombre de jumeaux parmi eux.

L’objectif du programme était de créer une race supérieure (Aryens) qui ferait partie intégrante et ferait allégeance totale à la cause du IIIème Reich.

Une grande partie de l’expérimentation préliminaire concernant le génie génétique et la modification du comportement a été menée par le Dr Josef Mengele à Auschwitz, où il a froidement analysé les effets du trauma-collage, de coloriage de l’oeil et de « jumelage », sur ses victimes.

Outre l’expérimentation chirurgicale insidieuse effectuée au camp de concentration, certains des enfants ont été soumis à des quantités massives d’électrochocs.

Malheureusement, nombre d’entre eux ne survivront pas à la torture.

Parallèlement, le « lavage de cerveau » a été réalisée sur des détenus à Dachau, qui ont été placés en état d’hypnose et à qui ont a donné de la mescaline, une drogue hallucinogène.

Pendant la guerre, la recherche comportementale parallèle a été dirigée par le Dr George Estabrooks de la Colgate University.

Son implication avec l’armée, le CID, le FBI et d’autres organismes demeure inconnu.

Toutefois, Estabrooks serait sujet à des « lapsus » et il parla quelques fois de son travail impliquant la création de personnalités hypno-programmés et de « l’hypnose induite » par « dédoublement de la personnalité ».

Après la Seconde Guerre Mondiale, le Département Américain de la Défense a secrètement emmené un grand nombre des plus éminents scientifiques Allemand et d’agents des services de renseignements nazi aux Etats-Unis via l’Amérique du Sud et le Vatican.

Le nom de code de cette opération était le projet PAPERCLIP.

Un des plus éminents employé pour les Etats-Unis a été général allemand Reinhard Gehlen, ancien chef du Renseignement Allemand en URSS.

En arrivant à Washington DC en 1945, Gehlen s’est longuement entretenus avec le président Truman, le général William « Wild Bill ».

Donovan, directeur de l’Office of Strategic Services (OSS) et Allen Dulles, qui allait devenir plus tard le chef de la CIA.

L’objectif de leurs rencontres répétées fût de réorganiser le fonctionnement du système du renseignement Américain, le transformant en une organisation clandestine hautement efficace.

L’aboutissement de leurs efforts a produit le Central Intelligence Group en 1946, rebaptisé Central Intelligence Agency (CIA) en 1947.

Reinhard Gehlen a également eu une influence profonde en aidant à créer le Conseil national de sécurité, dont le National Security Act de 1947 a découlé.

A partir de cette nouvelle organisation, la législation a été mise en œuvre pour protéger un nombre inimaginable d’activités illégales du gouvernement, y compris les programmes clandestins de « contrôle de l’esprit ».

Le projet MK-ULTRA être exposés publiquement en 1970, par le biais de poursuites déposées par des survivants et de leurs familles.

La CIA et le gouvernement canadien a réglé à l’amiable afin de ne pas être tenus de reconnaître officiellement à tout acte répréhensible.

Le projet MK-Ultra ou Monark Mind Control est un programme spécial de contrôle de l’esprit développé par la CIA.

Les techniques de contrôle de l’esprit remonte au moins à l’Égypte ancienne.

Des méthodes ritualistes sont employées pour provoquer un traumatisme par la torture, l’hypnotisme, et l’utilisation de drogues, afin d’engager la rupture de l’esprit et le changer ou d’élaborer de multiples facettes et en multi couches de la personnalité.

Les plans pour créer une société de travailleurs d’esprits sous contrôle a été mis en place depuis longtemps.

La technologie actuelle est née des expériences des nazis dans les camps de concentration sur un nombre illimité d’enfants et d’adultes qui étaient disponibles pour l’expérimentation.

Nous avons entendu parler de l’inhumain des expériences médicales effectuées sur les prisonniers du camp de concentration, mais aucun mot n’a jamais été mentionné par les médias sur les expériences sur l’ HYPNOSE et le contrôle de l’esprit.

Le nom MONARCH n’est pas nécessairement défini dans le cadre de la noblesse royale, mais se réfère plutôt à la domination.

Quand une personne subit un traumatisme induit par un électrochoc, un sentiment de la lumière dans la tête est mise en évidence, comme si l’on est flottant ou flottant comme un PAPILLON.

Il y a également une représentation symbolique se rapportant à la transformation ou à la métamorphose de cette insectes : de la chenille à un cocon (dormance, inactivité), d’un papillon (nouvelle création), qui sera de retour à son point d’origine.

Tel est le modèle migratoire qui fait que cette espèce est unique.

Un occultisme symbolisme sur le vrai sens du Psyché à la fois pour l’ » ÂME » et le » PAPILLON » et la conviction que les âmes humaines deviennent des papillons au cours de la recherche d’une nouvelle réincarnation.

Dans certaines mystiques anciennes, telles que chez les gnostiques, le papillon est un symbole de la chair et de la corruption.

C’est » L’ange de la mort « .

Une marionnette est attachée à des chaînes et est contrôlé par le maître, la programmation MONARCH est également dénommé le » SYNDROME DES MARIONNETTES « .

Un autre terme utilisé est » IMPERIAL CLIMATISE « , alors que certains thérapeutes en santé mentale appelle cela » Conditioned stimulus réponse Sequences « .

Le Projet MONARCH pourrait être mieux décrit comme une forme de dissociation structuré par une intégration occulte, afin de compartimenter l’esprit en de multiples personnalités, dans un cadre systématique.

Au cours de ce processus, un rituel satanique, (cabalistique), est effectué dans le but de fixer un démon ou un groupe de démons, correspondant à la modifier le sujet.

Le mystère des religions de l’Égypte ancienne, la Grèce, l’Inde et de Babylone a aidé à jeter les bases de l’occultisme et de la » connaissance cachée « .

L’un des premiers écrits en référence à l’occultisme, est le livre égyptien des morts, une compilation de rituels qui décrivent explicitement les méthodes de la torture et l’intimidation (pour créer un traumatisme), l’utilisation de potions (la drogue) et la coulée de sorts (hypnose), ce qui aboutirait finalement à l’asservissement total de l’initié.

Celles-ci ont été les principaux ingrédients pour une partie de l’occultisme, connu comme le satanisme, à travers les âges.

Au cours du13ème siècle, l’église catholique romaine a augmenté et consolidé sa domination dans toute l’Europe avec la tristement célèbre Inquisition.

Le Satanisme survécu à cette période de persécution sous le voile de divers groupes ésotériques.

En 1776, Adam Weishaupt sur ordre des Rothschild centralise la base du pouvoir du Mystère dans les religions.

Ce groupe qui est communément appelé les ILLUMINATI, qui signifie « Enlightened Ones.

» Ce fut une puissante fusion des occultismes de sang, l’élite des sociétés secrètes et des francs-maçons influents, avec le désir de construire le cadre un » NOUVEL ORDRE MONDIAL « .

Le but est de créer le bonheur universel pour l’espèce humaine en sélectionnant les populations.

Cependant, leur intention était d’augmenter progressivement le contrôle sur les masses, devenant ainsi maîtres de la planète.

LES ORIGINES

Au19ème siècle, la Grande-Bretagne et l’Allemagne sont la principale zone géographique de contrôle des Illuminati.

Les premiers travaux de recherche en sciences du comportement a été créé en Angleterre en 1882, alors que les premiers travaux médicaux et psychiatriques techniques sur le contrôle de l’esprit ont été mis au point à l’Institut KAISER WILHEM en Allemagne.

Le TAVISTOCK INSTITUTE OF HUMAN RELATIONS a été créée à Londres en 1921 pour étudier le » point de rupture » de l’homme.

Kurt Lewin, un psychologue allemand, est devenu le directeur de l’Institut Tavistock en 1932, dans le même temps, l’Allemagne nazie augmente ses activités de recherche en neuropsychologie, la parapsychologie…

Un programme d’échange des idées scientifiques a eu lieu entre l’Angleterre et l’Allemagne, notamment dans le domaine de l’eugénisme : le mouvement consacré à « améliorer » l’espèce humaine par le contrôle des facteurs héréditaires dans l’accouplement.

L’énigmatique union entre les deux pays était lié, en partie grâce à l’Ordre de la GOLDEN GAWN, société secrète composée de hauts fonctionnaires du parti nazi et de l’aristocratie britannique.

Haut dirigeant nazi SS Heinrich Himmler (illustration), était en charge d’un projet scientifique appelé » LEBERSBORN « , impliquant la reproduction sélective et l’adoption d’enfants, particulièrement un grand nombre de jumeaux.

Le but du programme était de créer une super-race (Aryens) qui aurait une allégeance à la cause du TROISIEME REICH (New World Order).

Une grande partie de la première expérimentation concernant le génie génétique et de modification du comportement a été réalisée par le Dr Josef Mengele à Auschwitz, où il a froidement analysé les effets du trauma-collage, la coloration des yeux et le » jumelage » sur ses victimes.

A côté de la insidieuse expérimentation chirurgicale effectuée au camp de concentration, certains enfants ont été soumis à des quantités massives d’électrochocs.

Beaucoup d’entre eux n’ont pas survécu à la brutalité.

Parallèlement, « le lavage de cerveau » a été menée sur les détenus à Dachau, qui ont été placés sous hypnose avec la drogue hallucinogène mescaline.

Pendant la guerre, des recherches sont dirigée par le Dr George Estabrooks de Colgate University.

Sa participation au sein de l’Armée de terre, CID, le FBI et d’autres organismes demeure dans le secret.

Toutefois, Estabrooks a occasionnellement parlé de son travail impliquant la création d’hypno-courriers et programmes hypnotiques sur les personnalités.

Le Dr Joseph Mengele a été le principe développeur du traumatisme sur le projet Monark et le contrôle de l’esprit de la CIA.

Mengele et environ 5 000 autres nazis de haut rang ont été secrètement transféré vers les États-Unis et en Amérique du Sud, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale dans une opération d’exfiltration désignée sous le code de » PROJET TROMBONE « .

Les nazis ont poursuivi leurs travaux sur le contrôle de l’esprit de contrôle et des fusées dans les bases militaires souterraines secrètes.

La seule chose que nous savons à propos des fusées a été le travail avec d’anciens nazis comme Warner Von Braun.

Après la Deuxième Guerre mondiale, le département américain de la Défense a donc secrètement importé un grand nombre de cerveaux allemands nazi et des fascistes italiens, des scientifiques et des espions aux États-Unis via l’Amérique du Sud et le Vatican dans le cadre du PROJET TROMBONE.

L’un des plus éminents membre de ce projet était le général allemand Reinhard Gehlen le chef du renseignement contre la Russie dans l’allemagne nazi.

À son arrivée à Washington DC en 1945, Gehlen a rencontré longuement avec le Président Truman, le général William Bill Donovan, directeur de l’Office of Strategic Services (OSS) et Allen Dulles, qui allait plus tard devenir le fidèle directeur de la CIA.

L’objectif de leurs séances de remue-méninges a été de réorganiser le fonctionnement nominal des renseignements américains, la transformant en une très efficace organisation clandestine.

L’aboutissement de leurs efforts a produit le Central Intelligence Group en 1946, le nom de la Central Intelligence Agency (CIA) en 1947.

Reinhard Gehlen a aussi profonde influence en aidant à créer le Conseil de sécurité nationale, dont la loi sur la sécurité nationale de 1947 a été dressée.

Ce projet de loi a été mis en œuvre pour protéger les activités du gouvernement, y compris le contrôle de l’esprit et des programmes clandestins

La première phase de développement du projet MK ULTRA a augmenté le contrôle de l’esprit des anciennes techniques occultes qui exige à la victime d’être exposés à des massifs traumatismes psychologiques et physiques, en général dès l’enfance, afin de provoquer la psyché, de la briser en mille morceaux afin de modifier les personnalités qui peuvent ensuite être programmé séparément pour exécuter une fonction (ou un emploi) que le programmeur souhaite « installer ».

Chaque création va modifier la personnalité distincte de la personnalité.

Les personnalités peuvent être ramenés à la surface par des programmeurs ou des gestionnaires en utilisant des codes spéciaux, généralement stockées dans un ordinateur.

La victime peut également être influencé par des sons, des mots, des actions, comme des clefs « déclencheurs ».

Les assassins, les tortionnaires, ont été tenus discrètement à l’abri des regards, des États-Unis, dans des installations militaires souterraines, la maison de milliers d’enfants américains arrachés à la rue (environ un million par an), et mis dans des cages empilées dans le cadre de la « formation ».

Ces enfants seraient utilisés pour affiner et perfectionner les technologies du Dr. Mengele.

Certains enfants deviendraient des esclaves qui pourraient être utilisés pour des milliers d’emplois différents, allant de quelques assassinats à l’esclavage sexuel.

Une partie importante de ces enfants, ont été intentionnellement abattus devant (et par) les autres enfants, afin de neutraliser les stagiaires sélectionnés dans le respect total et la soumission.

Il est difficile de savoir qui est l’inventeur de ce projet satanique, en raison de la quantité importante de désinformation.

Deux personnes sont connues sous le code couleur du nom de » MISTER GREEN « .

Un médecin juif nommé le Dr Gruenbaum, qui auraient collaboré avec les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, et le Dr Josef Mengele, dont la marque de commerce de sang froid et le calcul de la brutalité n’a pas seulement marqué les esprits des rescapés d’Auschwitz.

Sa recherche sans précédent, au détriment de milliers de vies, a été sans aucun doute un bonus aux intérêts des États-Unis.

Le Dr. D. Ewen Cameron, également connu comme le Dr White, a été l’ancien chef de la marine canadienne, américaine et mondiale de la » psychiatrie Associations « .

En raison de la vaste expérience de Cameron et de ses pouvoirs, Allen Dulles de la CIA a canalisé des millions de dollars dans des organisations comme la Société pour l’étude de l’écologie humaine, dont Cameron était le président.

Des expérimentations ont été menées à plusieurs endroits à Montréal, pour la plupart à l’Université McGill, St Mary’s Hospital et l’Institut Allan Memorial.

Outre les méthodes classiques de la tyrannie psychiatriques, tels que les injections de drogue, des électrochocs et des lobotomies, le Dr Cameron conçu la technique de la » conduite psychique « , où les patients qui ne se doutaient de rien ont été maintenus dans un coma induit par médicaments pendant plusieurs semaines ave un régime d’électrochocs, alors que les casques électroniques étaient attaché à la tête et des messages répétitifs auditif ont été transmis à des vitesses variables.

Le Dr Joseph Mengele a été le principe développeur du traumatisme sur le projet Monark et le contrôle de l’esprit de la CIA. Mengele et environ 5 000 autres nazis de haut rang ont été secrètement transféré vers les États-Unis et en Amérique du Sud, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale dans une opération désignée TROMBONE.

Les nazis ont poursuivi leurs travaux sur le contrôle de l’esprit de contrôle et des fusées dans les bases militaires souterraines secrètes.

La seule chose que nous a dit à propos des fusées a été le travail avec d’anciens nazis comme Warner Von Braun.

Beaucoup de ceux qui ont été exploitées furent exécuté.

Sans surprise, le Dr Cameron a été commodément exclus de la plupart des revues psychiatriques, quand le projet MKULTRA être exposés publiquement en 1970, par le biais de poursuites déposées par des survivants et de leurs familles.

La CIA (et le gouvernement canadien) a réglé l’affaire à l’amiable afin de ne pas être tenus de reconnaître officiellement tout acte répréhensible.

Un ancien lieutenant-colonel l’Armée et de la DIA du Psychological Warfare Division, Michael Aquino, est la dernière d’une série d’allégations, parrainé par le gouvernement des sadiques. Aquino, un génie excentrique, a fondé LE TEMPLE DE SET, une filiale de l’église de Satan du sorcier Anton LaVey.

Son obsession des rituels païens nazis et ses manipulations son hypnotiques sur les personnes ont fait de lui un candidat idéal pour le poste de » MASTER PROGRAMMER « .

Aquino a été accusé pour pédophilie.

À la grande consternation des jeunes victimes, des parents, toutes les accusations ont été rejetées.

Aquino développa la formation de bandes sur la façon de créer un MONARCH d’esclaves et a travaillé comme agent de liaison entre gouvernement, du renseignement militaire, de diverses organisations criminelles et de groupes occultes dans la distribution d’esclaves, ce projet avait le nom de code » MALCOM « .

Heinrich Mueller est un autre programmeur qui a pour nom de code » Dr. Blue » ou encore » Gog « .

Leo Wheeler était certainement le » Dr. Noir « , le neveu du défunt général Ear G. Wheeler, qui était le commandant en chefs de l’état-major pendant la guerre du Vietnam.

D’autres allégations sur des manipulateurs du projet MONARCH, passés et présents, sont: Dr. Sydney Gottlieb, le lieutenant-colonel John Alexander, Richard Anderson Dabney (USN), le Dr James Monroe, Dr. John Lilly, le lieutenant-Comdr. Thomas Narut, le Dr William Jennings Bryan, le Dr Bernard L. Diamond, M. Martin T. Orne, le Dr Louis J. West, le Dr Robert J. Lifton, M. Harris et le colonel Isbel Wilson Green.

Afin de maintenir MKULTRA secret le CLA segmente dans des sous-domaines spécialisés de recherche et de développement dans les universités, les prisons, les hôpitaux et laboratoires privés.

Bien sûr, ils ont été généreusement récompensés avec des subventions gouvernementales et divers fonds.

Des institutions sont donc impliquées dans l’expérimentation MONARCH : Cornell, Duke, Princeton, UCLA, Université de Rochester, MIT, Georgetown University Hospital, Maimonides Medical Center, St. Elizabeth’s Hospital (Washington DC), Bell Laboratories, Stanford Research Institute, l’amitié Laboratories Westinghouse, General Electric, ARCO et de l’humanité Research Unlimited, Le » produit final » a été créé sur des bases et installations militaires, où un maximum de sécurité est nécessaire.

Désigné sous le nom de (re) programmation des centres ou à proximité des centres de traumatologie de la mort, le plus fortement identifiés sont: China Lake Naval Weapons Center, le Presidio, Ft. Dietrick, Ft. Campbell, Ft. Lewis, Ft. Hood, Redstone Arsenal, Offutt AFB, Patrick AFB, McClellan AFB, MacGill AFB, Kirkland AFB, Nellis AFB, Homestead AFB, Grissom AFB, Maxwell AFB et Tinker AFB. D’autres endroits reconnus comme des sites de programmation sont Langley Research Center, Los Alamos National Laboratories, Tavistock Institute et dans les zones comme : Shasta, CA, Lampe, MO et de Las Vegas, NV.

AUTRES

Chaque jour, le matériel est construit et installé dans les pays a pour but un contrôle sur l’ensemble de la population.

Partout dans ces pays des tours de transmission micro-ondes sont en cours de construction.

Les antennes de MIND CONTROL sont installées en même temps et sur la même base que celles pour téléphone, ainsi impossible de voir la différence.

Les deux technologie sont certainement liées !

L’énergie est très peu utilisé par une véritable utilisation des téléphones cellulaires.

Pourtant, ces antennes sont sur des niveaux de fréquences qui dépassent les exigences des téléphones cellulaires.

Les technologies de contrôle de l’esprit ont été mis en place depuis longtemps.

Ce n’est pas un hasard que la bande de fréquence choisie pour l’utilisation du téléphone cellulaire soit celle de Wilhelm Reich, qui a découvert dans les années 1940 comment pour manipuler un esprit sans que la victime ne s’en apperçoit.

Reich a travaillé sur ce projet secret de la CIA pendant plus de 5 ans, à partir de 1947-1952, jusqu’à ce que la CIA utilise le contrôle de l’esprit sur le peuple américain. Wilhelm Reich était indigné de l’utilisation de sa découverte et a juré de ne jamais collaborer avec la CIA à nouveau.

Reich a été secrètement assassinés dans une prison fédérale en 1957, quelques semaines avant sa libération, après avoir été en prison pendant 2 ans pour un outrage au tribunal.

Deux semaines avant son audience de libération conditionnelle.

Officiellement Reich est mort d’une crise cardiaque, mais son dernier livre, écrit en prison, ne revint jamais à sa famille.

DES DICTATEURS PROGRAMMES

LES RÉGIMES TOTALITAIRES

FASCISME, NAZISME, STALINISME

Dans l’entre-deux guerres, de nouveaux régimes s’installent en Italie, en Allemagne et en URSS.

En Italie, Benito Mussolini prend le pouvoir en 1922 ( octobre 22 : marche sur Rome ).

Staline, après la mort de Lénine en janvier 1924, élimine tous ses adversaires potentiels et devient en 1928, le maître incontesté de l’URSS.

Dans une Allemagne ravagée par la grande dépression, la forte poussée électorale du parti nazi permet à son chef, Adolf Hitler, d’être nommé chancelier le 30 janvier 1933 par le vieux président Hidenburg.

Ces 3 hommes imposent à leur pays un État totalitaire.

Cet État entend non seulement exiger une totale obéissance de la population mais aussi diriger la vie privée et la conscience de chaque individu afin de modeler un homme nouveau, une société nouvelle.

→ Quelles sont les principales caractéristiques de ce nouveau type de dictature ?

I : Les idéologies totalitaires.

Ces 3 régimes ont en commun d’avoir voulu justifier leur action politique par une idéologie, c’est-à-dire un système absolu d’explication du monde.

1 : Le Fascisme : l’idéologie de l’État et de la Nation.

Le fascisme est obsédé par le mythe de la nation unitaire, par la nostalgie de la grandeur passée de l’Italie (volonté de faire renaître un empire romain).

Son ambition est de confier à un État tout puissant le contrôle de toutes les activités du pays et des individus.

C’est une doctrine nationaliste, impérialiste et qui fait l’apologie de la guerre.

2 : Le Nazisme : l’idéologie de la race.

L’idéologie nazie est fondamentalement raciste : pour les nazis, le peuple allemand s’identifie à une race prétendue supérieur, la race aryenne, qu’il faut « défendre » contre des éléments considérés comme impurs et inférieurs : juifs, tziganes, slaves.

Un État tout puissant doit laver l’Allemagne de l’humiliation du « Diktat » de Versailles et préparer son expansion en Europe : c’est la conquête de « l’espace vital » dont le Reich dit avoir besoin.

3 : Le Stalinisme : l’idéologie de la classe.

Dans l’idéologie marxiste-léniniste (codifiée par Staline), le parti communiste doit durcir la dictature du prolétariat pour détruire définitivement les vestiges du monde bourgeois.

Selon Staline, la « construction du socialisme dans un seul pays » passe nécessairement par un développement forcené de l’industrie, moyen d’affirmer la puissance soviétique face au monde capitaliste qui « assiège » l’URSS.

Dans ce cadre de pensée, l’activité des PC européens est réorientée vers le soutien inconditionnel à la « patrie du socialisme ».

II : L’État Totalitaire.

1 : Un État partisan et centralisé.

L’État passe sous la coupe d’un parti unique ; c’est le Parti qui commande à l’État : le Parti national fasciste en Italie, le NSDAP en Allemagne ( Parti national-socialiste des travailleurs allemands), le Parti communiste en URSS.

L’État totalitaire est aussi un État centralisé et unitaire ; par exemple, en URSS, derrière le fédéralisme et l’autonomie de façade des républiques, la centralisation se fait au profit du seul État russe.

2 : Un chef charismatique.

La clé de voûte de l’État totalitaire est le chef : le Duce en Italie, le Führer en Allemagne, le Vojd (ou le « génial Staline ») en URSS.

Un culte du chef s’est développé dans les 3 dictatures. Les 3 dictateurs sont présentés comme infaillibles.

3 : Un État qui contrôle l’économie.

En Italie, l’État crée pendant la crise économique des années 1930 l’Institut pour la Reconstruction Industrielle qui sauve du naufrage de nombreuse entreprises.

Il lance aussi une politique d’autarcie et de bonification de terres agricoles.

En Allemagne, l’État intervient pour résorber le chômage dû a la crise économique (politique de grand travaux) et à partir de 1936, les nazis orientent résolument l’économie vers la réalisation d’un vaste programme militaire de réarmement.

L’autarcie devient aussi un objectif prioritaire.

En URSS, la suppression de la propriété privée des moyens de productions et l’étatisation complète de l’économie doivent permettre le passage au socialisme.

La collectivisation forcée des campagnes, une planification autoritaire et centralisée, une industrialisation massive doivent faire de l’URSS une grande puissance.

Les 3 pays nient les conflits sociaux : la grève est partout interdite.

Les États fasciste et nazi interdisent aussi les syndicats et si le régime soviétique les maintient, ils sont dans une dépendance totale à l’égard du Parti.

III : La société totalitaire.

1 : Une société encadrée.

Le parti occupe tout l’espace de la vie publique, il prend en charge les loisirs des travailleurs : manifestations culturelles, voyages, associations sportives …

L’encadrement de la jeunesse est une des priorités absolues des régimes totalitaires : « Ballilas » en Italie, « Hitler jugend » en Allemagne, « Komsomols » en URSS.

Plus malléables, enfants et adolescents seront les « hommes nouveaux » programmés par l’idéologie.

Les principes à leur inculquer sont les mêmes : sens de la communauté nationale (ou raciale en Allemagne), esprit de sacrifice, mépris du faible, obéissance absolue au chef.

2 : Une société soumise a la propagande.

Les 3 régimes développent une propagande de masse et perfectionnent l’art de la désinformation et de la manipulation.

La propagande utilise tous les médias de communication : presse, affiche, radio, cinéma.

Elle simplifie toujours la doctrine en quelques slogans percutants répétés inlassablement, elle glorifie le chef.

Les régimes organisent aussi de grands rassemblements de foules, de parades, de cérémonies.

D’autre part, la vie intellectuelle et artistique doit être intégrée au projet de l’idéologie, la création est donc sévèrement contrôlée.

3 : Une société terrorisée.

Les dictateurs font régner une terreur de masse pour impressionner et éliminer les ennemis désignés de la communauté nationale ou de la classe.

Ils créent ainsi un appareil policier hypertrophié : l’OVRA en Italie, la Gestapo et la SS en Allemagne, le NKVD en URSS.

En Allemagne, les nazis exécutent ou déportent les opposants dans des camps de concentration, mènent aussi la persécution contre les juifs.

Ceux ci sont exclus de la société par les lois de Nuremberg en 1935 puis violemment persécutés à partir de 1938 ( nuit de cristal en novembre 1938) avant d’être exterminés à partir de 1941 (« solution final »).

En URSS, la 1ere vague de terreur de masse d’abat sur le monde paysan de 1929 à 1934.

Désignés comme « koulaks » (paysans riches) les paysans qui résistent a la collectivisations forcée des terres sont massacrés ou déportés par millions au Goulag.

Ces millions de prisonniers forment une main d’œuvre gratuite pour les grandes réalisations du régime soviétique.

La répression frappe aussi la Parti.

Plusieurs vagues de procès retentissants ( les procès de Moscou) se succèdent de 1936 à 1938.

On y voit les compagnons de Lénine, des hauts fonctionnaires du Parti et des chefs de l’armée s’accuser de crimes imaginaires.

Ces purges décapitent l’armée rouge.

4 : Résister à l’État totalitaire.

En URSS la résistance provient surtout du monde rural qui réagit à la collectivisation brutale et à la « dékoulakisation » par l’abbatage d’une parti du bétail, par des soulèvements dans un certain nombre de régions.

En Italie, l’Église dénonce la volonté du fascisme de s’approprier la jeunesse ; la résistance s’organisent surtout à l’étranger où les opposants trouvent refuge.

Malgré le réel culte du Duce, les mesures antisémites prise à partir de 1938 et la peur de la guerre détachent du régime une part importante de la population.

En Allemagne comme en URSS, la terreur ne permet guère aux oppositions de se manifester.

On peut relever quelques petits groupes clandestins, des membres et dignitaires des Églises (catholique et protestante) ainsi que quelques complots dans le haut commandement de l’armée suivis d’épurations violentes (pendant la 2eme GM), mais dans l’ensemble, la politique nazie a joui d’un large consensus dans la population.

Enfin, il faut souligner un fort courant d’émigration parmi les artistes, écrivains et savants (par exemple vers les États Unis).

Conclusion

Les régimes totalitaires sont donc l’antithèse de la démocratie libérale et se caractérisent par le culte du chef, l’État contrôlé par un parti unique, le contrôle de la totalité de la société par la terreur.

Par leur volonté d’embrigadement total de l’individu, de la naissance à la mort, ces régimes sont incompatibles avec la liberté.

Les historiens sont toutefois en désaccord sur les comparaisons entre les régimes de type fasciste et de type communiste, beaucoup insistent sur la singularité du racisme nazi .

DES LEADERS PROGRAMMES

Le projet MK-ULTRA un programme de contrôle de l’esprit.

Dans son empressement à contrôler l’esprit des gens, la CIA a développé le projet MK-ULTRA .

L’agence a réalisé des expériences cruelles avec des êtres humains, pour trouver les points vulnérables de l’esprit et ainsi contrôler et manipuler les gens.

Neuropédiatrie et développement de l’enfant.

La théorie du schéma de genre et des rôles dans la culture.

Naltrexone à faible dose : la panacée cachée ?

Les expériences nazies sur les êtres humains nous donnent encore la chair de poule.

Plusieurs d’entre elles visaient à trouver les mécanismes adéquats pour contrôler l’esprit humain.

Ce que tout le monde ne sait pas, c’est que des expériences similaires et encore plus sombres ont eu lieu aux États-Unis.

L’un d’eux était le projet MK-ULTRA .

La Seconde Guerre mondiale représente un changement important dans la stratégie militaire.

Jusque-là, l’espionnage n’avait jamais eu autant d’importance.

Cela s’est produit parce que les belligérants étaient conscients de l’importance des informations contrastées dans la planification des tactiques d’attaque.

Hitler lui-même a prouvé qu’il était possible de contrôler l’esprit humain et de manipuler des millions de personnes pour accomplir des actions qu’elles auraient autrement rejetées.

Par conséquent, à la fin de la confrontation, la question de l’obtention d’informations et de la manipulation de l’esprit était l’une des grandes préoccupations aux États-Unis.

C’est ainsi qu’est né le projet MK-ULTRA .

“Il n’est jamais utile de mal faire et, parce qu’il est toujours beau d’être un honnête homme, cela est toujours utile.”

En quoi consistait le projet MK-ULTRA ?

Il est en fait très difficile de savoir précisément en quoi consistait le projet MK-ULTRA .

Quand la presse l’a découvert, à la fin des années 1960 et dans une partie des années 1970, la CIA, qui dirigeait le programme, a donné l’ordre d’en détruire tous les dossiers.

La seule chose que l’on a pu sauver était un petit groupe de documents.

A partir de cette petite base de données, ce qui s’est passé a commencé à être reconstruit.

A cela s’ajoutent de nombreux témoignages de victimes.

Cependant, au sens strict du terme, on ne pourra jamais savoir avec certitude comment le projet MK-ULTRA s’est développé.

Il contenait 150 lignes d’action et nous n’en connaissons que deux ou trois.

Cependant, le peu de choses que l’on sait nous renseigne sur les expériences avec des médicaments psychoactifs et neurologiques, ainsi que sur d’autres méthodes.

Elles ont été effectuées sur des milliers d’êtres humains sans leur consentement.

Le but était d’observer l’effet de ces drogues sur les gens, de savoir si on les incitait à révéler ce qu’ils savaient ou de déterminer s’il était possible de changer leur avis à volonté.

Les expériences avec des êtres humains

Selon les données disponibles, les “chercheurs” du projet MK-ULTRA ont administré des médicaments, tels que le LSD, de différentes manières et à différentes doses pour déterminer le comportement des “personnes contaminées”.

On a aussi utilisé des méthodes telles que les chocs électriques et les thérapies d’hypnose.

Dans les années 1950, au début du projet, on parlait beaucoup de “lavage de cerveau”.

C’est-à-dire, une sorte de reprogrammation de l’esprit à partir de ces “traitements” spéciaux.

On sait aussi que la CIA a testé les effets de diverses techniques de torture.

Parfois, ils ont laissé les “volontaires” plusieurs jours sans dormir et, entre-temps, leur ont répété sans cesse des messages subliminaux.

D’autres fois, ils appliquaient systématiquement des électrochocs ou des drogues de synthèse en grandes quantités.

Les “volontaires” psychiatriques

La chose la plus exécrable à propos du projet MK-ULTRA est que des milliers de personnes ont été amenées à y participer.

Pour simplifier, ils ont eu accès à leurs cobayes par deux méthodes.

La première était appliquée dans les hôpitaux psychiatriques.

Au sein des institutions, les patients étaient informés que de nouvelles thérapies étaient mises à l’essai.

Aucun des patients de ces hôpitaux n’a été informé qu’il s’agissait d’une expérience dirigée par la CIA et que parmi les “experts” à leur tête se trouvaient plusieurs anciens nazis.

De fait, l’un des collaborateurs les plus actifs du projet MK-ULTRA a été le psychiatre Donald Ewen Cameron.

Cet homme a notamment été le premier président de l’Association mondiale de psychiatrie.

Mais aussi le président des associations psychiatriques américaine et canadienne.

Autres “volontaires”

Les expériences ont été menées non seulement sur des “malades mentaux”, mais aussi sur des milliers de citoyens considérés comme “normaux”.

Ils ont été recrutés dans l’armée, les universités, les hôpitaux publics, les maisons closes et les hospices.

Mais aussi dans d’autres secteurs de la société civile.

En échange de quelques dollars, ils ont accepté de participer à ces tests.

Cependant, ils n’ont jamais été informés de l’objectif réel.

Beaucoup d’entre eux n’ont pas survécu aux cruelles expériences.

D’autres ont subi des dommages permanents.

Le cas le plus médiatisé est celui de Frank Olson, aux États-Unis.

Au Canada, le gouvernement a fini par indemniser des centaines de personnes pour étouffer le scandale.

Une enquête de presse a révélé ce qui s’était passé.

Puis, au Congrès américain, une commission s’est formée pour enquêter sur les faits.

Une commission indépendante a également été créée.

Finalement, tout ce travail a permis de déclassifier les documents, en 1973, et c’est pourquoi la CIA a donné l’ordre de détruire les archives.

Le projet MK-ULTRA montre à quel point les agences de pouvoir sont capables d’obtenir ce qu’elles souhaitent.

Ce projet ne s’est pas déroulé dans une dictature, mais dans un pays qui se targue d’être le champion de la démocratie dans le monde.

Maintenant, pour ce qui est de la question troublante, a-t-il eu ou y aurait-il d’autres expériences semblables ailleurs dont nous ne sommes pas encore au courant ?

JOHN. F. KENNEDY

« J’ais tué JFK ! » James Files.

C’est le nom, prédestiné (Files=Dossiers), de l’homme qui prétend avoir abattu le président John Fitzgerald Kennedy.

Il a été déplacé il y a peu de sa prison de haute sécurité, vers une de moindre importance dans l’Illinois, en prévision de sa libération cet été, après 36 ans passé derrière les barreaux !

A 72 ans maintenant, l’homme prétend avoir tiré la balle qui a achevé le président JFK ce 22 Novembre 1963, mettant un terme définitif au rêve américain.

Il prétend avoir agit sur ordre d’une conspiration mené par la CIA et la mafia.

Files prétend que un des autres coups de feux fut tiré par son « boss », Charles Nicoletti, alias « la machine à écrire », connu pour avoir torturé un jeune gangster, responsable de la mort de deux de ses hommes, en lui plaçant la tête dans une presse industrielle à vis, serrant jusqu’à ce que ses yeux jaillissent hors de leurs orbites, tout en mangeant des spaghettis.

On lui attribue une vingtaine d’autres assassinats.

Sa voiture, surnommée la « hitmobile » pour hitman (tueur), était customisée pour accueillir fusils et mitraillettes dans des compartiments secrets.

Il fut retrouvé assassiné de 3 balles de calibre .38 derrière la tête dans sa oldsmobile, qui, le contact n’ayant pas été coupé par les enquêteurs sur place lors de leur départ, pris feux !

Il est inhumé dans le cimetière du Mont Carmel, Illinois, près de la tombe de Al Capone et d’autres figures notoires du crime organisé.

Files risque donc d’avoir à témoigner sous serment lors d’une éventuelle ré- ouverture du dossier à Washington.

Files est un vétéran de la guerre du Vietnam.

Il est notoirement connu pour avoir entraîné une milice dans la tristement célèbre opération de la baie des cochons.

Lorsque Kennedy demanda l’arrêt de l’opération, Files prétend que beaucoup à la CIA tournèrent le dos a JFK.

Files se retrouva saqué de l’armé et fut recruté comme bras droit du boss de la mafia Charles Nicoletti, lui même chef des tueurs à gages de l’organisation.

Selon lui, ce qui est quasiment prouvé aujourd’hui, Lee Oswald, le bouc émissaire donné en pâture aux médias et à la populace, et qui fut abattu avant son procès par un autre gangster membre de la mafia, Jacob Rubenstein alias « Jack Rubby », qui tenais une boite de nuit pour la mafia, n’aurais jamais tiré un seul coup de feux.

Files prétend qu’il se tenait déguisé en ouvrier sur la pelouse de grassy knoll et tira un seul coup de feux qui éclata la tête du président.

Il s’en alla tranquillement juste après, les officiers de police et gardes du corps mettant 10 bonnes secondes à réagir, avaient’ils été rencardés et corrompus ?

Beaucoup d’officiers de police et de gardes du corps de VIPS sont des Francs-Maçons, ainsi que beaucoup de membre de la mafia !

La pieuvre satanique étend ses tentacules à tous les milieux.

Files purge la fin d’une peine de 30 ans de prison, accusé d’avoir tenté de tuer un policier, David Ostertag, et vu le nom du flic ont peut supposer une accusation bidon issu de la Franc-Maçonnerie.

Files se trouvait dans une voiture avec un pote gangster, deux flics leurs firent signe de s’arrêter et commencèrent à ouvrir le feux, les deux truands répliquèrent, blessant l’un des flics dans la manœuvre.

L’assassinat de JFK fut un mega -rituel satanique orchestré dans chaque détail par la cabale satanique et ses différentes branches que sont la mafia, les agences de services secrets et la Franc-Maçonnerie pour cimenter le tout.

Je vous conseille de lire le livre de David Icke Le plus Grand Secret la dessus et sur l’assassinat de la princesse Diana.

Vous verrez, c’est édifiant et devant l’accumulation de preuves, il n’est plus possible de nier les faits.

Ce fut un rituel satanique dit de « sacrifice du roi ».

Le roi, frappé à la tête est mis à mort.

Certains prétendent que ce fut un sosie de JFK qui fut flingué ce jour là et que le vrai fut tué rituellement plusieurs mois après au cours d’une cérémonie occulte.

C’est fort probable.

Les Mérovingiens trépanaient le crâne de leurs morts, afin de laisser s’échapper l’âme plus vite du corps et qu’elle se réincarne plus vite ?

Ainsi les mêmes âmes démoniaques gouverneraient le monde depuis l’aube des temps, quand Satan fonda la lignée hybride satanique, migrant d’un corps vers un autre.

Nos corps humains, si précieux à nos yeux, ne sont que des portails biologiques dimensionnels, qui peuvent être utilisé par les démons pour intervenir dans notre dimension.

La lignée satanique est « possédable » à merci pour ses esprits malfaisants, d’ ou l’importance de garder le sang de la lignée pure qui les obsèdent.

Les Kennedy sont issus d’une famille royale Écossaise, les FitzPatrick, qui ne sont que des prêtes noms pour « lignée satanique ».

Leurs liens maritaux croisent ceux des Windsor, Rockfeller et autres bandes de tarés dégénérés consanguins.

Ne vous laissez pas attendrir par les miroirs aux alouettes sur JFK, c’était une grosse ordure, comme les autres !

Un pantin sous contrôle MK Ultra.

MARTIN LUTHER KING

Martin Luther King, sioniste, étit un proxénète partouzeur ( rapport du FBI ) voila le rapport du FBI basé sur les bandes sonores.

Martin Luther King, sioniste, était un proxénète partouzeur (rapport du FBI).

King a même passé la nuit avant son assassinat à copuler avec et à battre des prostituées blanches.

Sur les bandes de surveillance du FBI, le » Révérend King » peut être entendu pendant les rapports pour dire : » je suis pour Dieu ! » et » je ne suis pas un noir ce soir ! » les records du roi sont si accablants.

Les Cassettes et autres documents du FBI ont été scellés pendant 50 ans.

Malgré ces faits, les gardiens juifs du roi et leurs alliés dans les médias étaient inébranlables dans leur représentation élogieuse du roi.

NELSON MANDELA

Nelson Mandela, sa vrai face (de Satan).

Etant donné son récent décès, il est malvenu de tenir des propos un tant soit peu critiques sur Nelson Mandela.

De plus, ce qu’ il symbolise en Afrique du Sud et ailleurs est positif, puisqu’ il symbolise la réconciliation et un esprit de paix.

Cependant, si il est de bon ton de reconnaitre et de saluer ce qu’ il symbolise, il est utile (et nécessaire au vu de l’avalanche médiatique d’hommages évoquant un saint homme) de rappeler certaines réalités que la plupart ignorent.

Le veilleur /

Né le 18 juillet 1918 dans l’ancien Transkei, mort le 5 décembre 2013, Nelson Mandela ne ressemblait pas à la pieuse image que le politiquement correct planétaire donne aujourd’hui de lui.

Par delà les émois lénifiants et les hommages hypocrites, il importe de ne jamais perdre de vue les éléments suivants :

  1. Aristocrate xhosa issu de la lignée royale des Thembu, Nelson Mandela n’était pas un « pauvre noir opprimé ».

Eduqué à l’européenne par des missionnaires méthodistes, il commença ses études supérieures à Fort Hare, université destinée aux enfants des élites noires, avant de les achever à Witwatersrand, au Transvaal, au coeur de ce qui était alors le « pays boer ».

Il s’installa ensuite comme avocat à Johannesburg.

  1. Il n’était pas non plus ce gentil réformiste que la mièvrerie médiatique se plait à dépeindre en « archange de la paix » luttant pour les droits de l’homme, tel un nouveau Gandhi ou un nouveau Martin Luther King.

Nelson Mandela fut en effet et avant tout un révolutionnaire, un combattant, un militant qui mit « sa peau au bout de ses idées », n’hésitant pas à faire couler le sang des autres et à risquer le sien.

Il fut ainsi l’un des fondateurs de l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, qu’il co-dirigea avec le communiste Joe Slovo, planifiant et coordonnant plus de 200 attentats et sabotages pour lesquels il fut condamné à la prison à vie.

  1. Il n’était pas davantage l’homme qui permit une transmission pacifique du pouvoir de la « minorité blanche » à la « majorité noire », évitant ainsi un bain de sang à l’Afrique du Sud.

La vérité est qu’il fut hissé au pouvoir par un président De Klerk appliquant à la lettre le plan de règlement global de la question de l’Afrique australe décidé par Washington.

Trahissant toutes les promesses faites à son peuple, ce dernier :

• désintégra une armée sud-africaine que l’ANC n’était pas en mesure d’affronter,

• empêcha la réalisation d’un Etat multiracial décentralisé, alternative fédérale au jacobinisme marxiste et dogmatique de l’ANC,

• torpilla les négociations secrètes menées entre Thabo Mbeki et les généraux sud-africains, négociations qui portaient sur la reconnaissance par l’ANC d’un Volkstaat en échange de l’abandon de l’option militaire par le général Viljoen [2].

  1. Nelson Mandela n’a pas permis aux fontaines sud-africaines de laisser couler le lait et le miel car l’échec économique est aujourd’hui total.

Selon le Rapport Economique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud s’est ainsi classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland (page 29 du rapport).

Le chômage touchait selon les chiffres officiels 25,6% de la population active au second trimestre 2013, mais en réalité environ 40% des actifs.

Quant au revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40% des Sud-africains, il est aujourd’hui inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 .

En 2013, près de 17 millions de Noirs sur une population de 51 millions d’habitants, ne survécurent que grâce aux aides sociales, ou Social Grant, qui leur garantit le minimum vital.

  1. Nelson Mandela a également échoué politiquement car l’ANC connaît de graves tensions multiformes entre Xhosa et Zulu, entre doctrinaires post marxistes et « gestionnaires » capitalistes, entre africanistes et partisans d’une ligne « multiraciale ».

Un conflit de génération oppose également la vieille garde composée de « Black Englishmen », aux jeunes loups qui prônent une « libération raciale » et la spoliation des fermiers blancs, comme au Zimbabwe.

  1. Nelson Mandela n’a pas davantage pacifié l’Afrique du Sud, pays aujourd’hui livré à la loi de la jungle avec une moyenne de 43 meurtres quotidiens.
  2. Nelson Mandela n’a pas apaisé les rapports inter- raciaux.

Ainsi, entre 1970 et 1994, en 24 ans, alors que l’ANC était « en guerre » contre le « gouvernement blanc », une soixantaine de fermiers blancs furent tués.

Depuis avril 1994, date de l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, plus de 2000 fermiers blancs ont été massacrés dans l’indifférence la plus totale des médias européens.

  1. Enfin, le mythe de la « nation arc-en-ciel » s’est brisé sur les réalités régionales et ethno-raciales, le pays étant plus divisé et plus cloisonné que jamais, phénomène qui apparaît au grand jour lors de chaque élection à l’occasion desquelles le vote est clairement « racial », les Noirs votant pour l’ANC, les Blancs et les métis pour l’Alliance démocratique.

En moins de deux décennies, Nelson Mandela, président de la République du 10 mai 1994 au 14 juin 1999, puis ses successeurs, Thabo Mbeki (1999-2008) et Jacob Zuma (depuis 2009), ont transformé un pays qui fut un temps une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits, le plus souvent dirigés par des Blancs.

Pouvait-il en être autrement quand l’idéologie officielle repose sur ce refus du réel qu’est le mythe de la « nation arc-en-ciel » ?

Ce « miroir aux alouettes » destiné à la niaiserie occidentale interdit en effet de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation mais une mosaïque de peuples rassemblés par le colonisateur britannique, peuples dont les références culturelles sont étrangères, et même souvent irréductibles, les unes aux autres.

Le culte planétaire quasi religieux aujourd’hui rendu à Nelson Mandela, le dithyrambe outrancier chanté par des hommes politiques opportunistes et des journalistes incultes ou formatés ne changeront rien à cette réalité.

MAHATMAN GANDI

Dans l’article Gandhi lo sconosciuto (Gandhi, cet inconnu) [cf. disinformazione.it], Marcello Pamio écrit :

À l’âge de 18 ans, il est allé étudier en tant qu’avocat à Londres, où il s’est adapté aux habitudes malsaines des Britanniques, tombant malade.

Puis, un livre changea sa vie.

« Il y a quarante ans, alors que je traversais une grande crise de scepticisme et de doute, je suis tombé sur le livre de Tolstoï Le Royaume de Dieu est en vous , et j’en ai été profondément affecté.

A cette époque, je croyais à la violence.

La lecture du livre m’a guéri du scepticisme et m’a fait croire fermement en l’ahimsa (la non-violence).»

Léon Tolstòi a mis trois ans à écrire ce chef-d’œuvre inconnu, désormais très rare.

«Aucun travail ne m’a jamais coûté autant d’efforts », a confié Léon Tolstoï à son fidèle disciple et secrétaire Certkov.

Gandhi en a reçu une copie d’un ami en 1894.

Il fit de ce livre son vademecum, au point qu’il l’emporta avec lui en prison en 1908 et en remit une copie avec une dédicace à son geôlier !

Voici ce que Gandhi écrit de l’écrivain russe: « Il était l’homme le plus véridique de son temps.

Il était le plus grand apôtre de la non-violence que le monde actuel ait donné.

Personne en Occident, avant ou après lui, n’a parlé et écrit sur la non-violence si largement et avec persistance, et avec autant de pénétration et d’intuition.

La vie de Tolstoï, avec son amour aussi grand que l’océan, devrait servir de balise et de source d’inspiration inépuisable, pour inculquer en nous ce véritable et suprême type d’ahimsà. »

Dans son livre Great Soul: Mahatma Gandhi and his struggle with India (Une grande âme: Mahatma Gandhi et sa lutte en Inde) (cf. photographie de présentation), l’américain Joseph Lelyveld dévoile qu’il était bisexuel et avait tendance à la xénophobie et à la pédophilie.

Cet ancien journaliste en Inde pour le New York Times, et gagnant du prix Pulitzer de journalisme en 1986, a publié une biographie choc où il révèle la relation amoureuse du guide spirituel avec un architecte allemand, une idylle qui serait née en Afrique du Sud.

Les preuves : une correspondance torride entre les deux hommes où Gandhi dit penser à son amant en voyant de la vaseline et une photo du couple retrouvée sur la cheminée de Gandhi.

De cette même correspondance, on peut retrouver des insinuations racistes de la part de l’homme censé être le défenseur des opprimés : il qualifiait les sud-africains de « Cafres » peu civilisés, sales et vivant comme des animaux.

Le livre détaille également que lorsque le guide spirituel eu atteint ses 70 ans, il aurait eu des relations sexuelles fréquentes avec sa nièce, alors âgée de 17 ans.

C’est un contrôle très pointilleux de la presse et des médias qui aurait permis à Gandhi de dissimuler toutes ces informations au public : En effet, il refusait que les paroles qu’ils prononçaient soient diffusées sans son autorisation.

C’est donc à l’image des plus grandes stars de notre siècle que Gandhi gérait son image public, une image bien différente de la réalité.

Gioele Magaldi, qui devait succéder en 2014 à Gustavo Raffi, en tant que Grand-Maître du Grand-Orient d’Italie, affirme dans son livre La scoperta delle Ur-Lodges (La découverte des super-loges), publié en 2014, par la maison d’édition maçonne Chiarelettere, à partir des archives confidentielles des super-loges, que Gandhi était membre de la super-loges « Thomas Paine ».

LE DALAI LAMA

Un agent de la CIA

Le Dalaï Lama est exemplaire de la façon dont les moyens de subversion et de contrôle de la CIA sont passés de manifestes à secrets.

«J’ai le pressentiment qu’une fois que ce sera le tour de la Chine de goûter à la démocratie [selon le style novlangue de la Fondation NED, NdT], il se peut que le Dalaï Lama soit utilisé de nouveau.»

Dans une société où menteurs et escrocs nous sont présentés par les médias aux ordres comme le Saint Graal, j’ai décidé d’investiguer sur le Dalaï Lama.

Je me suis rappelé que le Dalaï Lama a admis qu’il émargeait aux effectifs de la CIA dans les années 1950 .

Je le soupçonne de l’être encore.

D’abord un peu d’histoire.

Le Tibet a fait partie de l’empire chinois jusqu’en 1913, date à laquelle il cessa de l’être et devint de facto indépendant.

Contrairement à l’image qu’on a du Dalaï Lama, beaucoup allèguent qu’il a dirigé un régime de style dictatorial et féodal, torturant et tuant des dissidents, écrasant la résistance et permettant d’autres brutalités méprisables.

Les Chinois ont finalement reconquis et annexé le Tibet en 1951.

Le Dalaï Lama s’est enfui en Inde où il a établi un gouvernement exilé avec l’aide financière de la CIA.

Celle-ci a soutenu les Tibétains radicaux pour isoler le communisme, leur offrant un entraînement sur le sol américain et les parachutant au Tibet.

Ceci, ainsi que d’autres activités semblables, a été accompli sous le nom de code Operation Saint Circus .

Le Dalaï Lama a aussi reçu des financements directs de la CIA.

Ces financements signifient, bien sûr, des dessous-de-table. Le soutien manifeste de la CIA a pris fin en 1974, après une publicité négative.

Le Dalaï Lama a alors créé l’Administration Tibétaine Centrale (CTA), qui lève des fonds importants, particulièrement depuis qu’il est devenu une célébrité très respectable.

Le département d’État étasunien fait des dons et je soupçonne la CIA d’en faire autant.

Michael Backman, un journaliste australien, a révélé que le Dalaï Lama a mis tous les postes importants du réseau dans les mains de sa famille.

La corruption semble être quelque chose de naturel.

Je soupçonne qu’une part importante de l’argent atterrit dans les grandes poches de sa robe.

Contrairement à la croyance populaire, il y a des Tibétains qui s’opposent au Dalaï Lama.

Comme la Société Shugden Occidentale (Western Shugden Society), qui a une manne d’informations incluant des documents déclassés sur les liens entre le Dalaï Lama et la CIA .

Soutien à la fondation

En utilisant le Dalaï Lama comme exemple, nous obtenons un aperçu de la manière dont l’élite a transféré ses mécanismes de contrôle manifestes vers des mécanismes cachés.

En 1989, le Dalaï Lama a reçu le Prix Nobel de la Paix.

Les médias continuent à lui donner de la crédibilité.

Il a été reçu par beaucoup de nations en Occident et a été décoré de médailles honorifiques, comme la médaille de l’honneur attribuée par la Fondation Nationale pour la Démocratie NDE.

Quand j’ai lu ceci, mon avis sur le Dalaï Lama a été confirmé.

À ce jour, je savais que la NDE avait participé au renversement démocratique de pays comme la Géorgie et l’Ukraine par de prétendues révolutions de couleur

Établie en 1984, la NED se présente officiellement comme une fondation faisant « la promotion de la démocratie dans le monde entier».

Le premier président de la NED, Allen Weinstein, tenait à dire ceci à propos de sa fondation : «Beaucoup de ce que nous faisons aujourd’hui a été fait secrètement il y a 25 ans par la CIA».

Cette déclaration révèle la psychologie derrière l’idéologie de la fondation et comment la CIA a changé son mode opératoire.

Leur but était de s’infiltrer dans un pays ciblé par les moyens de la persuasion douce, le soft power.

Quelques personnes ont fait valoir que les opérations menées par la CIA sont passées de mains publiques (la partie manifeste) à des mains privées (la partie secrète) par le truchement de la fondation.

Michael Barker, qui a étudié la NED et ses rapports avec le Dalaï Lama l’a légitimement appelé «l’impérialisme démocratique» «.

Cela explique pourquoi la Russie a passé une loi qui traite les ONG (organisations non gouvernementales) comme des agents étrangers – parce qu’elles ne sont pas gouvernementales, elles sont dans des mains privées.

Puisque le Dalaï Lama émarge au registre des effectifs de la CIA depuis de nombreuses années officiellement, je le soupçonne d’être toujours une marionnette de la CIA utilisée pour déstabiliser la Chine en utilisant la région du Tibet par procuration, tout comme l’Arabie Saoudite utilise les radicaux sunnites (par exemple al-Qaida) comme procuration pour déstabiliser le Moyen-Orient avec le soutien d’Israël et de l’Occident.

Si jamais ça va jusque-là, j’ai le pressentiment qu’une fois que ce sera le tour de la Chine de goûter à la démocratie selon le style – inimitable – de la Fondation (NED), il se peut que le Dalaï Lama retrouve un emploi.

Conclusion

Si nous regardons derrière le voile, nous voyons que les champions de la liberté et de la démocratie comme le Dalaï Lama ne sont rien d’autre que des imposteurs qui sont utilisés pour saper des pays opposés à l’hégémonie anglo-américaine, principalement la Russie et la Chine et ses alliés (par exemple : Iran/Syrie).

Le Dalaï Lama représente la dégénérescence occidentale, qui dupe les gens idéalistes pour poursuivre une cause qui est finalement usurpée et utilisée pour un mal plus grand.

Le Dalaï Lama n’est rien de plus qu’un narcissique malveillant avide d’argent qui aime duper les masses et qui jouit de son statut de célébrité en menant la grande vie.

Nous devons nous rendre compte que ces fournisseurs supposés de justice sont des escrocs fabriqués qui servent d’acolytes à l’élite mondiale.

HITLER

« Le bouddhisme tibétain n’est ni philanthropique ni tolérant, et son plus haut représentant, le Dalai Lama, n’est pas un saint.

Cette déclaration émane de deux anciens collaborateurs du Prix Nobel de la Paix.

[…] le Dalai Lama, au lieu d’être le véritable champion de la tolérance religieuse et de la co-existence des croyances, est le chef d’un système religieux dont le but est de conquérir le monde.»

La révélation du jour :

Ce P…. de Ringard n’a aucune retenue dans sa dénonciation du satanisme…

Qu’est que véhicule ce mage des Bonnets Noirs faussement reconverti en Jaune pour la publicité.

Qui finance ces projets et temples couverts d’Or ?

Pourquoi implanter des temples à la gloire du Kalachackra en notre douce France ?

Et beaucoup d’autres informations souvent occultés par les merdias et pour cause, cela ne ferait plus réver le consommateur.

Un manque à gagner (vision exotérique).

Le New Age n’aime pas que l’on dénonce la contre-initiation luciférienne (vision ésotérique).

Un Serviteur Inutile parmi tant d’autres.

La pratique de la méditation permet de mieux attraper les mouches avec ses mains

Dossier :

Le bouddhisme tibétain et le Dalaï Lama

« Hitler – Bouddha – Krishna » – Une alliance funeste, du Troisième Reich à aujourd’hui.

Les envoyés de Hitler au Tibet.

Le Dalaï Lama et le Waffen SS.

Le Dalai-Lama champion de la non-violence ?

Salut traditionnel Tibétain …

Palden Lhamo : Déesse protectrice du Dalaï Lama.

Protectrice du Dharma – protectrice courroucée du Tibet.

Palden Lhamo (dont le nom se traduit par « Glorieuse Déesse ») est la seule protectrice du Dharma commun aux quatre écoles du Bouddhisme tibétain.

Elle est très courroucée, et chevauche sa mule à travers une mer de sang, entourée du feu de la sagesse.

Elle est bleu nuit, avec un visage à trois yeux; elle porte un soleil à son nombril et une lune en couronne, et au-dessus d’elle se trouve une ombrelle en plumes de paon (un symbole traditionnel de protection).

Il existe associé à elle un système de divination utilisant des dés. On considère souvent qu’elle est apparentée à Sarasvati ou Tara.

Le bouddhisme tibétain et le Dalaï Lama

Dalaï-lama dirigeant le rituel du Kalachakra (d’hier et d’aujourd’hui)

Le bouddhisme tibétain n’est ni philanthropique ni tolérant, et son plus haut représentant, le Dalai Lama, n’est pas un saint.

Cette déclaration émane de deux anciens collaborateurs du Prix Nobel de la Paix.

Selon Herbert et Mariana ROETTGEN (de Munich), experts en études culturelles, le Dalai Lama, au lieu d’être le véritable champion de la tolérance religieuse et de la co-existence des croyances, est le chef d’un système religieux dont le but est de conquérir le monde.

Pendant les années 80, Herbert Roettgen faisait partie du groupe de soutien allemand au Dalai Lama.

Il publiait ses écrits et organisait ses meetings. Mariana Roettgen était activement engagée dans la promotion du dialogue inter-religieux.

Plus tard, ils décidèrent de réaliser une étude critique sur l’arrière-plan occulte et politique du bouddhisme tibétain. Les résultats de cette recherche furent publiés sous les pseudonymes de Victor et Victoria Trimondi sous le titre » L’ombre du Dalai Lama « .

Le Dalai Lama a récemment visité Munich et a été reçu par le Ministre de l’Intérieur allemand, Otto Schily du Parti Social Démocrate (SPD). Mariana et Herbert Roettgen, interrogés par Idea, ont critiqué le SPD pour avoir courtisé le chef d’une religion sans prendre garde à son contenu inhumain.

Le Tantra Kalachakra préféré du Dalai Lama contient » une manipulation consciente des croyants, l’usage flagrant d’images d’ennemis et d’une éthique de guerriers agressifs.

» Le Tantra prône également un » scénario apocalyptique qui est censé arriver en 2327 lorsqu’une ‘bouddhocratie’ sera établie après la destruction des tenants d’autres confessions.

» Il a inspiré des groupes fascistes aussi bien que le fameux gourou de la secte japonaise Shoka Ashara responsable de l’empoisonnement de foules au gaz sarin.

Le bouddhisme tibétain est centré sur la magie, la croyance aux esprits et les rituels de sacrifice dans lesquels l’invocation d’esprits impurs joue un rôle vital.

En fait, la » déesse protectrice personnelle » du Dalai Lama est un démon (nommé Palden Lhamo) dont le rôle est de détruire » les ennemis de la vraie doctrine « .

On dit que ce démon a tué son propre fils parce qu’il refusait d’adhérer au bouddhisme.

Des illustrations iconographiques dépeignent Palden Lhamo traversant un lac de sang.

» Comment un homme saint comme le Dalai Lama peut parler de tolérance religieuse s’il possède une déesse protectrice comme celle-là ? » demande Mariana Roettgen.

Selon M. et Mme Roettgen, les discours œcuméniques du Dalai Lama sont une farce à moins que les pratiques secrètes du Tantra Kalachacra soit dévoilées également.

Les théologiens en vue ne prennent pas assez au sérieux les propres affirmations du bouddhisme tibétain, plaident-ils.

Lors de réunions inter-religieuses, il est parfois affirmé que les bouddhistes sont des chrétiens en mieux.

Pour des raisons politiques et religieuses évidentes, les représentants officiels du bouddhisme tibétain et leurs disciples occidentaux ne tolèrent aucune critique sur le Dalai Lama et sur l’exploitation des femmes en leur sein.

Les contrevenants sont calomniés et reçoivent même des menaces de mort.

L’avis de 5 spécialistes des sectes

« Les renseignements fournis sont justes.

Un peu exagérés dans la forme, mais justes sur le fond. »

« Plusieurs documents en ma possession sur ce sujet vont dans le même sens. »

« Le bouddhisme tibétain est sans doute la philosophie la plus occulte du monde.

Le grand public ignore la doctrine souterraine du bouddhisme tibétain.

Les études que nous avons faites sur ce sujet confirment grosso modo les propos de Herbert et Mariana ROETTGEN.

Le bouddhisme tibétain est une évolution du bouddhisme primitif.

Il y a de nos jours plus types de bouddhismes qui sont de modérés à dangereux. »

« malgré l’image sympathique et tolérante offerte par le Dalai Lama à l’opinion publique occidentale, il nous faut garder en mémoire le fait qu’il est le successeur d’une dynastie moyen-ageuse, avec tout ce que cela comporte d’autoritarisme et de pouvoir divin.

Ceci n’excuse pas la Chine pour l’anéantissement de la culture Tibétaine et la violence faite à ce peuple. »

« Cet article est vrai.

On pourrait aussi mentionner la prostitution des enfants dans les temples du bouddhisme tibétain.

Les pires ennemis du Dalai Lama sont d’ailleurs les tibétains eux- même, qui l’accusent de faire de la politique avec la religion, et de la religion avec la politique. »

« Hitler – Bouddha – Krishna » Une alliance funeste, du Troisième Reich à aujourd’hui

L’intérêt général pour l’histoire du national-socialisme s’est fortement accru dans les dernières années.

A ce propos de nouveaux aspects sont apparus dans la recherche et l’interprétation.

L’environnement personnel d’Hitler et son rapport avec les femmes étaient et sont des thèmes permanents dans les médias.

Il est également digne d’attention que l’interprétation du national-socialisme comme « religion politique » et comme « mouvement de culte » ait suscité une attention toujours plus grande.

Il est probablement moins connu que dans la SS, en particulier dans l’Ahnenerbe SS, étaient ouvertement discutés le contenu et la forme que devait avoir une « religion NS » restant à créer.

Cette organisation SS avec Heinrich Himmler à sa tête se considérait selon ses propres mots comme la « troupe d’avant-garde de la recherche sur la religion allemande ».

Tous les membres dirigeants de ce « laboratoire religieux » partaient du principe que la croyance des hommes de pure race aryenne était pratiquée depuis les origines et qu’elle devait être redécouverte et restaurée.

Tablier de cérémonie Tantrique, en perles d’os humain et détail d’une perle.

Coupe d’offrandes rituelles Kapala

A l’aide de très nombreuses sources venant des archives, de la littérature de seconde main et des écrits SS, nous pouvons prouver que dans cette restauration d’une religion aryenne originelle, ses idées, philosophies, mythologies, visions, dogmes et pratiques sacrées sont avant tout venues des courants religieux de l’Orient.

Il se forma un milieu fasciste scientifique et culturel, qui proclama que le bouddhisme, les Védas, les Puranas, les Upanishads, la Bhagavad-Gîta, le yoga, et même le tantrisme étaient les fragments spirituels d’une religion originelle indo-aryenne et antisémite disparue.

En outre eurent lieu des emprunts aux milieux culturels tibétains, mais aussi à la tradition japonaise du Zen et des Samouraïs.

Dans l’héritage archaïque d’un Orient despotique et guerrier, les idéologues NS purent trouver des orientations et des théories :

– Pour l’apothéose du « Führer »

– Pour l’organisation de la société en castes raciales.

– Pour la sacralisation de la guerre et des guerriers

– Pour le contrôle absolu des sens

– Pour la manipulation de la conscience

– Pour le rapport de la politique de puissance avec les symboles et les rituels

– Pour la signification de la pratique archaïque des sacrifices

Le livre comprend deux parties.

La première partie se concentre sur l’activité politico- religieuse à l’intérieur de l’Ahnenerbe.

Là seront discutés et débattus les emprunts faits aux religions orientales, non seulement théoriques mais aussi ésotériques, car Himmler, chef de l’organisation, encourageait les deux sortes de pensée.

Nous arrivons là – de manière totalement surprenante – à une discussion

– Sur la question de la réincarnation

– Sur la loi du karma

– Sur les pratiques de méditation bouddhiques

– Sur l’éthique des Samouraïs

– Sur la mystique guerrière de la Bhagavad-Gîta

– Sur Hitler comme Roi du Monde divin (Chakravartin)

Il est vraiment sensationnel que de tels thèmes du brain-trust idéologique d’Himmler soient traités de manière intensive, variée, visionnaire et absolument « informée ».

Cette partie du livre examine également la connexion Nazisme-Tibet.

La deuxième partie du livre expose le testament funeste qui fut légué par l’Ahnenerbe et donne un aperçu du néo-fascisme religieux, de l’après-guerre jusqu’à nos jours.

Il s’agit d’un courant occulte de la sous-culture, déjà très puissant dans les mythes, les modèles religieux, les dogmes, le fantastique et la science-fiction, les théories du complot, les visions, l’imagination, les doctrines et les superstitions ésotériques, si étroitement associés à l’idéologie et à l’histoire NS qu’ils forment un tout.

En l’occurrence, l’élément culturel indo-tibétain est si marqué que l’on doit véritablement parler d’une « doctrine indienne au contenu national-socialiste ».

Hitler apparaît ici comme un avatar, comme l’incarnation du dieu hindou Krishna, comme bodhisattva et comme chakravartin (souverain sacré du monde).

Dans la deuxième partie est aussi présenté et débattu l’intérêt des milieux fascistes pour le rituel tibétain du tantra de Kalachakra.

Le livre « Hitler – Bouddha – Krishna » présente les biographies et les idées des idéologues nazis les plus importants, en prenant particulièrement en considération l’influence orientale et spécialement bouddhiste sur leur pensée et leur projets visionnaires.

Les protagonistes pour l’époque d’avant 1945 sont :

Heinrich Himmler, Reichsführer SS, architecte du meurtre de masse et admirateur de la philosophie orientale.

Citation de Himmler : « J’admire la sagesse des fondateurs de la religion hindoue ».

Himmler adhérait à la doctrine bouddhiste du karma et de la réincarnation.

Walther Wüst, Standartenführer SS, Administrateur de l’Ahnenerbe SS, recteur de l’Université de Munich et orientaliste.

Wüst doit être considéré comme le véritable élément moteur du « laboratoire religieux » de l’Ahnenerbe SS.

Il pensait que les fondements d’une religion NS à créer devaient se trouver dans les textes védiques et bouddhistes de l’Inde.

Le fondateur du « Mouvement de la Foi Allemande » et futur Hauptsturmführer SS, Jakob Wilhelm Hauer.

L’indologue et sanskritiste travailla sur la typologie d’un yogi guerrier invincible qu’il tira de la Bhagavad-Gîta et des écrits bouddhistes.

Le Brigadeführer SS Karl Maria Wiligut (le « Raspoutine de Himmler »), occultiste dans l’Ahnenerbe.

Il prétendait avoir des contacts mentaux avec les lamas des monastères tibétains.

Les chercheurs SS en tibétologie Ernst Schäfer et Bruno Beger considéraient le lamaïsme comme une véritable caverne au trésor, dans laquelle était conservée la connaissance aryenne originelle.

Le livre discute aussi des rapports de Sven Hedin avec le régime NS et avec Hitler.

Le spécialiste du Japon, géopoliticien et président de l’Académie allemande, Karl Haushofer.

Il considérait le fascisme d’Etat shintoïste comme un exemple digne d’être imité par le national-socialisme.

Les spécialistes allemands du bouddhisme Zen, Eugen Herrigel et Karlfried Dürckheim, tentèrent de relier le national-socialisme à la philosophie Zen.

Le philosophe fasciste Julius Evola, dont la pensée eut une influence durable sur la SS, et aussi jusqu’à nos jours.

L’édifice de la doctrine traditionaliste d’Evola était essentiellement basé sur les doctrines du bouddhisme et du tantrisme.

Le mystique SS du Graal Otto Rahn et les milieux néo-bouddhistes en France, avec lesquels il était en relation.

Sous cette influence, Rahn prétendit que le « Graal des Cathares » devait être un « symbole spirituel issu du bouddhisme [ !] ».

L’orientaliste français, chef de la police secrète française (S.S.S.) et collaborateur des SS, Jean Marquès-Rivière.

Il passe pour être un des chercheurs occidentaux les plus importants sur le tantra tibétain de Kalachakra.

La première partie du livre examine aussi les groupuscules anti-bouddhistes dans le Troisième Reich et, dans le chapitre « Collaborateurs, opportunistes ou persécutés ? », le rôle des bouddhistes à l’époque nazie.

Sera également examinée chez les protagonistes du néo-nazisme religieux l’importante influence indo-tibétaine sur leur pensée
La « prêtresse d’Hitler », Savitri Devi.

Cette convertie à l’hindouisme a contribué de manière décisive après la guerre à la sacralisation d’Hitler et à établir le national-socialisme comme une religion sectaire quasi-hindoue.

Les inventeurs des « mystères nazis », les deux occultistes français Jacques Bergier et Louis Pauwels, ainsi que l’anglais Trevor Ravenscroft. Les trois auteurs ont lié le national-socialisme au mythe indo-tibétain de Shambhala.

Les idéologues du « Soleil Noir », les deux viennois Wilhelm Landig et Rudolf J. Mund ainsi que l’auteur Jan van Helsing.

Ces auteurs pensent que le lamaïsme tibéto-mongol et la doctrine ésotérique du national-socialisme doivent avoir une source commune dans l’Atlantide.

Miguel Serrano, diplomate chilien et fondateur de l’« Hitlérisme ésotérique ».

Serrano est un connaisseur de la doctrine tantrique.

Les bases de son édifice doctrinal raciste sont d’origines indo-tibétaines.

Que signifie le titre du livre « Hitler – Bouddha – Krishna » ?

Avant la guerre mondiale plusieurs des idéologues nazis avaient déjà tenté de présenter Hitler comme le dernier maillon d’une chaîne indo-aryenne de rois divins et de philosophes.

Des fondateurs de religion comme « Bouddha » et des dieux héroïques comme « Krishna » furent présentés comme des maîtres à penser et des précurseurs du dictateur.

Cette apothéose atteint son apogée dans l’œuvre du diplomate chilien Miguel Serrano, qui vénère Hitler comme le 10ème avatar du dieu Krishna/Vishnou.

Pour cette raison le dictateur allemand est immortel pour Serrano et réapparaîtra comme « Vengeur » lors de l’apocalyptique Guerre Finale [Endkrieg] pour établir la domination mondiale de la race aryenne.

Qu’ont recherché et trouvé les idéologues nazis en Inde?

La culture indienne classique était pour eux une réserve, dans laquelle la sagesse d’une culture aryenne originelle devait avoir survécu.

Dans les textes indiens ils trouvèrent les fondements religieux d’une religion guerrière cruelle et d’une éthique guerrière inhumaine.

Dans le système hindou des castes ils virent un modèle d’orientation sociale qu’ils pourraient combiner avec leur idéologie raciale.

L’institution d’origine indienne du « Roi du Monde » fut associée par eux au « principe du chef » [Führerprinzip] et appliquée à Hitler.

A partir du tantrisme indo-tibétain ils élaborèrent une étrange théorie sexuelle fasciste.

Quel intérêt particulier avaient les idéologues nazis pour la Bhagavad-Gîta ?

Heinrich Himmler portait sur lui en permanence un exemplaire de la Bhagavad-Gîta.

Il comparait Hitler avec le dieu Krishna entrant en scène dans cette poésie doctrinale.

La Bhagavad-Gîta était considérée comme un catéchisme pour les SS.

C’est pourquoi beaucoup d’idéologues NS faisaient sans cesse référence aux textes guerriers hindous.

La philosophie de la Bhagavad-Gîta sera utilisée après la guerre par l’extrême-droite pour légitimer Auschwitz.

Quel intérêt particulier avaient les idéologues nazis pour le bouddhisme ?

Bouddha était pour eux un « Aryen » et le bouddhisme une « doctrine aryenne ».

Ils soulignaient les aspects guerriers et virils du bouddhisme.

Le bouddhisme était pour les idéologues nazis une pure doctrine de puissance.

Les doctrines du yoga et les pratiques de méditation du bouddhisme seront recommandées comme discipline spirituelle pour les « guerriers ».

Qu’ont recherché et trouvé les idéologues nazis au Tibet ?

Les idéologues nazis étaient convaincus qu’au Tibet avaient survécu les vestiges d’une race aryenne originelle et ils organisèrent une expédition pour les retrouver.

Ils pensaient que dans les textes du lamaïsme et dans les monastères tibétains était conservée la connaissance des anciens Aryens.

Les tibétologues de l’Ahnenerbe SS devaient décrypter cette connaissance par des traductions et par l’analyse des textes.

Les tibétologues SS étaient fascinés par le caractère magico-occulte de la culture lamaïste.

Certains occultistes à l’intérieur de l’Ahnenerbe SS croyaient même être en contact psychique avec les lamas tibétains.

Les deux chefs de l’expédition SS au Tibet, Ernst Schäfer et Bruno Beger, se sentaient particulièrement attirés par les aspects morbides et guerriers du bouddhisme tibétain.

L’Himalaya furent un objectif de conquête privilégié de l’alpinisme SS.

Qu’ont recherché et trouvé les idéologues nazis au Japon ?

La philosophie guerrière des Samouraïs (le Bushido) fascinait les SS. Himmler écrivit la préface d’une brochure sur les Samouraïs, laquelle fut distribuée en 52.000 exemplaires dans la Schutz Staffel.

Divers thèmes de la tradition samouraï seront débattus dans la SS.

Des nippologues allemands et des germanistes japonais effectuèrent une étude « théologique » comparée du « principe du chef » national-socialiste et de l’ « empereur divin » shintoïste.

Les spécialistes allemands du bouddhisme Zen, Eugen Herrigel et Karlfried Dürckheim, tentèrent de combiner la philosophie Zen et le national-socialisme.

Quel rapport le Tantra de Kalachakra et le mythe de Shambhala ont-ils avec le national-socialisme ?

Le Tantra de Kalachakra était un thème de recherche particulier dans l’Ahnenerbe SS.

La vision de Shambhala inscrite dans le Tantra de Kalachakra est devenue un thème mythologique central du néo-nazisme religieux.

Une grande partie des thèmes traités dans le Tantra de Kalachakra (vision cyclique du monde, Roi du Monde, utilisation d’armes miraculeuses, rituels magico-sexuels, etc.) sont des thèmes centraux du fascisme religieux.

Le Tantra de Kalachakra est dirigé contre les religions monothéistes, toutes trois d’origine sémitique, et fut pour cette raison utilisé par les milieux radicaux de droite et les milieux antisémites pour une propagande raciste.

Les contacts du XIVè Dalaï-Lama, en tant que Maître du Kalachakra du plus haut rang, avec des représentants du fascisme religieux et avec d’anciens SS.

Quels thèmes culturels et philosophiques seront-ils discutés dans ce livre ?

Le national-socialisme en tant que « religion politique ».La tentative de sacralisation du « Führer », de la « race » et de la « guerre ».

La création d’un « dieu guerrier » national-socialiste et la mythification de la SS.

Le sacrifice fondateur culturel d’une religion NS par la deuxième guerre mondiale et par Auschwitz.

Le fantasme du néo-fascisme religieux.

Une comparaison culturelle entre les projets religieux orientaux et la vision du monde NS.

Pourquoi ce livre est-il d’une actualité brûlante ?

Le néo-nazisme religieux, qui se rattache à la construction religieuse indo-aryenne de l’Ahnenerbe SS et qui la développe, se propage d’une manière effrayante au niveau international.

L’« importation culturelle » de systèmes religieux orientaux en Occident s’est puissamment accrue, sans que leur contenu inhumain, leurs pratiques ataviques, leurs visions de puissance politico-religieuse et leur histoire guerrière ne soient contestés.

Le fondamentalisme religieux et le totalitarisme fasciste ont beaucoup de similitudes et ont tendance à se combiner l’un à l’autre.

Des concepts hautement actuels comme ceux de « guerrier divin », d’« Etat de Dieu » et de « guerre des religions » sont aussi des modèles d’orientation dans le néo-nazisme.

Les sources d’inspiration de celui-ci se trouvent cependant moins dans les religions sémitiques (judaïsme, christianisme, islam) que dans les croyances orientales.

Du 11 au 22 octobre 2002, un méga-rituel du Tantra de Kalachakra a eût lieu à Graz/Autriche sous la direction du XIVe Dalaï-Lama, rituel qui est examiné en détail dans « Hitler – Bouddha – Krishna ».

La presse, la radio et la télévision autrichienne étaient pleine d’articles, d’émissions et de discussions acharnées concernant les rapports entre le fascisme religieux, les contenus guerriers et fondamentaliste du rituel du Kalachakra ainsi que la contribution idéologique fatale du rituel du Dalai Lama pour la « guerre des religions ».

A quel public s’adresse ce livre ?

Tous ceux qui s’intéressent à « l’énigme hitlérienne » et à l’histoire du « Troisième Reich » en général trouveront ici une nouvelle interprétation du national-socialisme, reposant sur des faits jusqu’ici totalement négligés ou à peine connus.

Il s’adresse d’autre part à tous les lecteurs et lectrices qui étudient les thèmes des religions, du combat des cultures, du fondamentalisme, de la terreur religieuse, du « guerrier divin » et de la spiritualité orientale (lamaïsme, bouddhisme, tantrisme, zen, etc.), de la philosophie de la culture, de la politologie, de la psychologie, de l’ésotérisme, de la critique idéologique et des thèmes scientifico-culturels.

« Kalachakra » (sanskrit) signifie « roue du temps » et est aussi le nom du dieu du temps tibétain le plus puissant.

Le tantra du Kalachakra est considéré comme étant le plus récent des textes révélés (10e siècle) et est considéré par les lamas comme étant l’apogée de tous les systèmes bouddhistes.

Depuis plus de 25 ans, des centaines de milliers de personnes ont reçu une consécration à travers le tantra du Kalachakra par le 14e Dalaï-lama. Parmi elles, on compte de nombreux Indiens ne savant ni lire ni écrire.

Mais également en occident, les participants et participantes « instruit(e)s » savent à peine quel est l’enjeu réel de ce rite car en marge des éléments connus par le public il contient une partie gardée sévèrement secrète.

Seules, les sept premières étapes de l’initiation sont publiées ouvertement par le 14e Dalaï-lama ; les huit étapes supérieures restent top-secrètes.

Aucun prospectus, aucune brochure ou annonce, pas plus que les nombreuses déclarations du 14e Dalaï-lama lui-même ne parlent des rituels secrets pratiqués au cours de ces huit dernières étapes.

Pour le public, le tantra du Kalachakra apparaît comme une contribution à la paix mondiale digne et exaltante pour l’esprit (« Kalachakra for World Peace ») et stimulant la compassion envers tout être vivant, le dialogue inter-religieux, la tolérance entre les peuples et les races, une prise de conscience écologique, l’égalité des sexes, la paix des cœurs, l’épanouissement de l’âme et le bonheur suprême pour le troisième millénaire.

L’ensemble est couronné par une devise venant de la bouche du 14e Dalaï-lama: « Because we all share this small planet earth, we have to learn to live in harmony and peace with each other and with nature. »

(Etant donné que nous partageons tous ensemble cette petite planète, nous devons apprendre à vivre en harmonie et en paix ensemble et avec la nature).

Cette haute initiation tantrique au très spécifique lamaïsme tibétain est la consécration « d’une rencontre pour la paix mondiale déterminante pour les cultures et les religions ».

Vase Rituel Tantrique composé de deux crânes humains (Népal)

Vase Rituel Tantrique Bumpa en os humain

Cependant, le tantra du Kalachakra et le mythe du Shambhala sont-ils vraiment pacifiques ?

Encouragent-ils vraiment une cohabitation harmonieuse entre les êtres humains ?

Contribuent-ils réellement à la liberté et à la justice, à l’égalité des sexes, à la tolérance religieuse, à l’entente entre les peuples ?

Sont-ils un apport global politico-humaniste, démocratique et non-violent à la paix dans le monde ?

Depuis quelques années, le bouddhisme tibétain, l’histoire du lamaïsme, les conditions de vie parmi les Tibétains en exil et le 14e Dalaï-lama lui-même se retrouvent sous le feu des critiques qui ne viennent pourtant pas cette fois-ci du côté chinois.

En effet, des historiens américains remettent en question les louanges portées à l’histoire tibétaine (Melvin C. Goldstein, A. Tom Grundfeld).

Des tibétologues critiques accusent la tibétologie officielle de manipulations ciblées (Donald S. Lopez Jr.).

Des chercheurs spécialisés dans l’étude du bouddhisme tibétain examinent l’influence de l’idéologie s’étant développée fortement à travers le « mythe du Tibet » grâce à l’aide des lamas (Peter Bishop).

Des politiciennes réputées ont dû se rendre à l’évidence après avoir vu de leurs propres yeux qu’il n’existait pas de « génocide » provoqué par les Chinois contrairement à ce qu’affirment encore et toujours les Tibétains en exil (Antje Vollmar, Mary Robinson).

D’anciennes bouddhistes dénoncent, en toute connaissance de cause, l’oppression et l’abus systématiques et raffinés subis par les femmes dans le bouddhisme tibétain après l’avoir vécu elles-mêmes ce qui leur permet de posséder une connaissance profonde de la question (June Campbell).

Des psychologues et des psychanalystes examinent le côté agressif et morbide de la culture lamaïste (Robert A. Paul, Fokke Sierksma, Colin Goldner). Depuis 1997, des personnes appartenant à la suite personnelle du Dalaï-lama ont apporté des preuves accablantes de l’intolérance, de la superstition et de l’autocratie régnant au sein du bouddhisme tibétain (affaire Shugden).

L’univers des rites lamaïstes a également rencontré une critique sévère.

Les intentions humanistes, pacifiques, tolérantes et œcuméniques du tantra du Kalachakra et du mythe du Shambhala sont remises en question par une vaste étude (Victor et Victoria Trimondi).

Des émissions télévisées allemandes, suisses et autrichiennes ont également émis de fortes critiques à l’envers du 14e Dalaï-lama et de son système basé sur la magie (Panorama, 10 nach 10, Treffpunkt Kultur).

Lors de la visite du « prince de l’église » tibétaine à Munich (mai 2000), la décision des « pro- Dalaï-lama » d’inviter le « roi-dieu » tibétain à une manifestation de grande envergure provoqua même une division au sein du SPD (parti socialiste allemand) et partagea l’ensemble de la presse.

Les reproches suivants lui furent entre autres adressés : modèle de pouvoir non démocratique et autocratique ; oppression de toute opposition politique ; répression des minorités religieuses ; décisions politiques par décrets personnels sans dialogue ni discussion ; falsification consciente de l’histoire du Tibet ; relations non critiquables à ses yeux avec d’anciens SS et avec des néo-nazis ; diffamation des critiques ; rites antiféministes.

Un aperçu détaillé des critiques se trouvant dans la presse peut être consulté sous medien.html.

Voici quelques-uns des points abordés par les critiques du tantra du Kalachakra et du mythe du Shambhala :

Objets rituels :

Des objets fait à partir de crânes humains, de tibia et même de peau humaine.

Les non-initiés n’ont pas le droit d’être informés sur les rites secrets du tantra du Kalachakra sous peine de châtiments corporels et moraux dignes du Moyen-Âge.

Celui qui divulgue ces secrets occultes verra « sa tête et son cœur éclater » et grillera dans les enfers les plus profonds.

Cette manière de procéder est justifiée par le fait que dans les huit dernières étapes de l’initiation apparaissent des éléments qui sont contraires aux valeurs humanistes (Michael Henss – Kalachakra – ein tibetisches Einweihungsritual (un rite initiatique tibétain)– Zürich 1985, 46).

Le tantra du Kalachakra est tout sauf pacifiste car il prophétise et encourage de façon idéologique une guerre de religion sanglante entre bouddhistes et non-bouddhistes pour la domination du monde (mythe du Shambhala).

Le texte nomme explicitement les leaders des trois religions monothéistes (le judaïsme, le christianisme et l’islam) comme étant les adversaires du bouddhisme: « Adam, Hénoch, Abraham, Moïse, Jésus, celui en habit blanc (Mani), Mohamed et Mathani (le Mahdi) ».

Le tantra du Kalachakra les décrit comme « la famille des serpents démoniaques » (Shri-Kalachakra I. 154).

Ainsi le tantra du Kalachakra se positionne contre toutes les religions ayant des racines sémites et a été, pour cette raison, utilisé par des cercles antisémites radicaux de droite pour leur propagande raciste.

Le Tantra du Kalachakra jure une guerre totale entre le monde islamique et le monde non-islamique lors de laquelle les disciples de Mohamed seront présentés comme les ennemis principaux des bouddhistes.

Dans le texte original, la Mecque est décrite comme la résidence de « l’idole puissant et impitoyable des barbares », « l’incarnation du démon » (Shri Kalachakra I. 154).

Ainsi d’après l’adversaire principal du prochain roi du Shambhala, Rudra Chakrin « tourneur courroucé de la roue », nous apprenons qu’ils sont également nommés mleccha ce qui signifie « barbares » mais également « habitants de la Mecque ».

Un autre commentaire du Kalachakra appelle Rudra Chakrin le « meurtrier des Mlecchas ».

Sur de longues pages, le tantra du Kalachakra décrit avec énormément de détails les puissantes armes meurtrières dont dispose l’armée du Shambhala bouddhiste contre « les ennemis de la doctrine » (Shri Kalachakra I. 128-142).

Les lamas, commentateurs de ces équipements militaires imaginaires, s’adonnent à de spectaculaires comparaisons avec des armements du 20e et 21e siècle.

La conduite de la guerre dans les batailles du Shambhala ne s’aligne manifestement pas sur les droits des peuples mais compte d’après le texte original pour être « impitoyable » et « horrible ».

« Les combattants – bouddhistes – extrêmement brutaux terrasseront et élimineront les hordes barbares » (Shri Kalachakra I. 163-165).

Tous les participants à une initiation au rite du Kalachakra ont le « droit » douteux de se réincarner en « soldat du Shambhala » afin de combattre dans la bataille finale annoncée en tant que fantassin ou officier.

Les postes de commandement ont déjà été assignés aux réincarnations de lamas de haut rang (E. Bernbaum – Le Chemin vers Shambhala

– A la recherche du Merveilleux Royaume dans l’Himalaya – Hambourg 1982, 252, 35).

D’après une vision du lama tibétain Kamtrul Rinpoche, le Dalaï-lama lui-même réincarné conduira, en chef courroucé (Rudra Chakrin), les armées bouddhistes dans la bataille du Shambhala afin de prendre le pouvoir sur « tout le Mal de l’univers ».

Les propagandistes du tantra du Kalachakra défendent un culte primitif du martyr ressemblant au culte des combattants de la Djihad musulmane : L’entrée au paradis du Shambhala est garantie à celui se faisant tuer lors de la guerre du Shambhala (E. Berbaum – Le Chemin vers Shambhala

– A la recherche du Merveilleux Royaume dans l’Himalaya – Hambourg 1982, 253).

Le tantra du Kalachakra encourage à tous les niveaux une façon de penser et d’agir stimulée par la présentation d’ennemis et la propagation de la guerre entre le « Bien » et le « Mal », entre les « croyants » et les « non-croyants » contrairement à l’enseignement initial du Bouddha originel (Theravada) et des exigences éthiques du bouddhisme mahayana.

Le tantra du Kalachakra comprend une politique bouddhocratrique.

Cette politique est encore plus «théocratique» du point de vue des droits publics que celle suivit par les fondamentalistes musulmans car le ‘Chakravartin’ (roi du monde) est considéré comme « l’incarnation » ou « l’émanation » directe du Bouddha suprême (Adi-Bouddha) et est présenté comme un dieu-homme en voyage sur la terre alors que le calife n’est que le « représentant » de dieu (Allah) sur terre et n’a même pas droit au titre de prophète.

A la tête de l’état autoritaire et « bouddhocratrique » du Kalachakra siège sur le « trône du lion »un « roi-prêtre » aux pouvoirs religieux, politiques, juridiques et militaires absolus (Chakravartin). La « séparation des pouvoirs civils » est dans cet état une notion totalement inconnue.

Celui qui connaît les droits institutionnels liés à la position du Dalaï-lama du Tibet traditionnel (jusqu’en 1959) sait que cette fonction de « roi-dieu » est celle d’un Chakravartin en miniature.

Les réformes, bien que discutables, pour la démocratie mises en place par le 14e Dalaï-lama parmi les Tibétains en exil sont réduites à néant par les conséquences politiques et ‘bouddhocratiques’ découlant du tantra du Kalachakra.

La prétention à une domination mondiale „bouddhocratrique »est une exigence explicite du tantra du Kalachakra.

Là aussi, nous avons une correspondance fondamentale avec les prétentions de domination mondiale de l’Islam.

Si les deux systèmes devaient s’affronter dans un conflit final en tant qu’ennemis mortels, ce serait le résultat logique de leurs absolutismes autant théocratiques que „bouddhocratriques ».

Les visions « bouddhocratiques » modernes concernant l’ensemble de la planète et étant acceptées par le 14e Dalaï-lama reposent sur le tantra du Kalachakra.

Voir à ce sujet le livre de Robert A. Thurmans « La Révolution par l’Intérieur – Les Doctrines du Bouddhisme ou le Bonheur Parfait » paru en 1999 dans lequel l’auteur développe la théorie de l’univers bouddha (buddhaversum).

En 1979, Thurman, considéré par le Time-Magazine comme étant le « porte-parole du Dalaï-lama » aux USA, voyait dans un rêve le « prince de l’église » tibétaine en tant que « dieu du temps » trônant au sommet de l’hôtel Astoria Waldorf à New York pendant qu’ »une légion de notables – de maire, de sénateurs, de chefs d’entreprises et de rois, de cheiks et de sultans, de célébrité et de stars » tourbillonnaient autour de lui entraînés par 722 divinités dansantes – du tantra du Kalachakra– comme un essaim d’abeilles dans un énorme rayon de miel. »

Dans les sphères secrètes des étapes supérieures de l’initiation, le tantra du Kalachakra exige une soumission inconditionnelle et illimitée à la volonté du gourou (dans ce cas, au Dalaï-lama comme maître suprême du Kalachakra).

Le « moi conscient » et la personnalité de l’initié sont effacés progressivement afin de transformer celui-ci en un vase humain rempli en partie par des divinités guerrières et agressives tantriques et autres êtres de nature bouddhiste.

Dans le tantra du Kalachakra, on ne trouve donc ni « l’ennoblissement », ni la « sublimation » ou « l’intégration » de l’individu mais plutôt sa « destruction » au profit d’un modèle religieux codifié.

Dans les huit dernières étapes secrètes de l’initiation au tantra du Kalachakra, l’initié doit être transporté au-delà de la conscience du bien et du mal à l’aide d’un entraînement mental et physique extrême.

C’est pourquoi le texte original encourage des actes criminels et violents comme : tuer, mentir, voler, détruire des mariages, abuser de l’alcool, avoir des relations sexuelles avec des jeunes filles de classes inférieures.

Comme dans tous les autres tantras, cela peut être interprété aussi bien symboliquement que littéralement.

Même le 14e Dalaï-lama légitime le meurtre perpétré par un adepte du Kalachakra dans des circonstances précises contre « une personne qui porte préjudice à la doctrine bouddhiste » et qui se prépare à commettre des actes monstrueux et sinistres.

Il demande, cependant, que ce meurtre se fasse avec « compassion » (Dalaï-lama – The Kalachakra Tantra – Rite of initiation – London, 1985, pp. 348ss.).

Cette déclaration rompt avec l’interdiction absolue exprimée dans le bouddhisme originel.

Dans les plus hautes initiations magiques, on emploie des « substances » dites « malpropres ».

Le tantra du Kalachakra recommande la dégustation de viandes de diverses sortes d’animaux tabous.

Même la chair humaine (maha-mamsa) est employée comme substance pour le rite.

D’après les commentaires traditionnels du Kalachakra venant du grand maître tantrique et roi du Shambhala, Pundarika, cette viande humaine provient habituellement de personnes « étant mortes au combat à cause de leur mauvais karma ou ayant été tuées suite à des fautes personnelles » et il ajoute que la prise de ces substances sous forme de pilules est recommandée.

La chair d’innocents tombés en martyr, tués par crainte lors d’un culte des ancêtres, tués par envie (par l’appât du gain) ou pour un salaire est entachée d’un « indescriptible péché » et ne peut être utilisée pour le rite.

« Mais si une partie tombe non intentionnellement dans l’aumônier, ce n’est pas un péché indescriptible » – et peut, par conséquent, être utilisée (In : John Ronald Newman – The outer wheel of time: Vajrayana buddhist cosmology in the Kalacakra Tantra – Madison 1987, 266 s.).
Le tantra du Kalachakra possède de nombreuses facettes à caractère morbide.

Enormément d’objets utilisés lors des cérémonies rituelles proviennent de personnes décédées (comme des récipients fabriqués à partir de crânes humains, des trompettes en tibias, des chaînes en os).

Déjà un coup d’œil sur la grande Thangka Kalachakra (tapisserie) qui sera suspendue durant toute la cérémonie au-dessus du trône du Dalaï-lama peut convaincre du caractère furieux de ce rite.

Le dieu du temps « Kalachakra » et son épouse, la déesse du temps « Vishvamata », s’unissent debout dans l’acte sexuel et tiennent dans leurs 32 mains un total de 24 objets de nature agressive, morbide et guerrière (épée, hachoir, tambour et récipients fabriqués à partir de crânes humains, une sorte de sceptre dont la pointe est garnie de trois têtes de mort, etc.).

Lors des étapes supérieures et secrètes de l’initiation au tantra du Kalachakra, des rites sexuels magiques ont lieu dont le but est de transformer la « sexualité » en puissance temporelle et spirituelle.

Les femmes, réelles ou imaginaires (les deux sont possibles) représentent des formes d’énergies précises dans lesquelles l’âge joue un rôle prépondérant.

Le rite commence avec des fillettes âgées de dix ans.

Jusqu’à leur vingtième année, les partenaires sexuelles représentent des vertus positives. Au-delà, elles comptent comme porteuses d’énergies de colère, de haine, etc. et comme femmes-démons.

Dans les étapes initiatiques 8 à 11 du tantra du Kalachakra, l’expérimentation se fait avec une « seule » femme.

Pour les étapes 12 à 15 appelées le Ganachakra, dix femmes participent au rite aux côtés du maître.

L’élève a le devoir d’offrir les femmes comme « présent » à son lama.

Les « laïcs » se faisant initier doivent amener leurs parentes féminines (mère, sœur(s), épouse, fille(s), tante(s) etc.).

« Si l’élève n’offre pas ses compagnes au maître dans le but de les protéger, le maître n’est pas autorisé à pratiquer le rite »(cf. Mûlatantra Kalachakra).

En revanche, les moines ayant reçus la consécration ainsi que les novices peuvent utiliser des femmes de diverses castes qui ne sont pas leurs parentes.

Dans le rite secret lui-même, les participants font des expériences avec les semences masculines et féminines (sperme et menstruation). Dans le tantra du Kalachakra, les femmes ne sont pour l’initié masculin que des donneuses d’énergies et leur rôle cesse à la fin du rite (cf. Nâropâ – Iniziazione Kâlacakra – Roma 1994).

Le tantra du Kalachakra a un caractère particulièrement agressif et destructif dans l’ère actuelle qui, d’après l’enseignement du lamaïsme, se précipite vers son naufrage apocalyptique (Kali-Yuga).

Il contient des rites spéciaux destinés à accélérer la destruction du monde à l’aide d’actes symboliques et de certaines méditations.

« Qu’est-ce que le Kalachakrayana (le ‘chemin du Kalachakra’) ? » demanda l’Indien Shashi Bhusan Dasgupta, l’un des meilleurs spécialistes tantriques ; Il répondit aussitôt à sa question par cette phrase en disant long : « Le mot Kala signifie ‘temps’, ‘mort’ et ‘destruction’. Kala-chakra signifie roue de la destruction. »

Damura réalisé à partir de deux calôttes craniennes.

Voici seulement quelques-uns des problèmes soulevés par les critiques contre les tantras du kalachakra – et contre le mythe du Shambhala.

Ils devraient suffire pour remettre en question le caractère humaniste, tolérant, serein, libre et œcuménique étant encore mis en relation avec ce rite.

Un fait certain est que le mythe du Shambhala pour autant devenu significatif au niveau historique et idéologique a conduit à des comportements extrêmement agressifs, à des visions mégalomanes, à des théories de conspiration et à des actes de terrorisme.

Mais surtout, ces textes exercent une fascination particulière sur les groupes néonazies qui n’ont pas manqué de les exploiter.

Au début des années 20 pendant les guerres entre Russes blancs, bolchevistes et Mongoles, le mythe du Shambhala fut lié à l’image du réveil Dschinghis-Kahn.

Dans ce conflit, les Mongoles se sont identifiés aux « guerriers du Shambhala ».

Leurs actions militaires furent extrêmement sanglantes.

Julius Evola, le fasciste et philosophe italien de l’extrême droite, vis dans le royaume mythique du Shambhala le centre ésotérique d’une caste guerrière sacrée et crût y trouver le palais du roi du monde ayant la croix gammée comme marque d’autorité.

Il tenait ce genre de discours devant le « SS-Ahnenerbe ».

Dans la littérature occulte des « mystères nazis », certains « maîtres » du Shambhala sont présentés comme des acteurs travaillant dans l’ombre à la création « magique » du régime NS (national socialisme) (Trevor Ravenscroft, Louis Pauwels et Jacques Bergier).

Pour l’idéologie SS clandestine de l’après-guerre et dans le « mysticisme SS » des années 90, le royaume mythique du Shambhala sert de refuge à une « religion nazie » agressive et morbide (Wilhelm Landig, Jan van Helsing).

Le mythe du Shambhala constitue la pièce maîtresse de « l’hitlérisme ésotérique ».

Il s’agit là d’une doctrine occulte, mondialement répandue, du diplomate chilien Miguel Serrano et de l’Indienne Savitri Devi (« prêtresse d’Hitler »).

Le lama tibétain Chögyum Trungpa (1940-1987) fonda en Occident grâce à son concept du combattant du Shambhala les bases d’un « bouddhisme guerrier » potentiel tel qu’il est connu dans de grandes zones de l’Asie de l’Est.

Au lieu de vivre dans des monastères, les Shambhala Warriors de Trungpa vivent dans des camps militaires, ils ajoutent à leurs méditations des parades militaires, le bol du mendiant a été remplacé par une arme et la robe de moine par un uniforme militaire.

Le maître lui-même ne se déplace plus dans le style bouddhiste, avec une robe monastique jaune et rouge, un bâton de promenade et des sandales, mais chevauche sur un cheval blanc (en accord avec la prophétie apocalyptique du Tantra de Kalachakra) avec un bonnet pointu, une tunique et de hautes bottes.

Le blason de Shambhala peut être vu sur la selle du cheval avec une photo du Trungpa martial.

Le mythe du Shambhala constitua la base idéologique et terroriste du gourou japonais de la fin des temps Shoko Asahara.

Ses visions apocalyptiques s’inspirèrent des enseignements du tantra du Kalachakra.

Il envisagea d’accélérer les événements de l’avènement de la guerre du Shambhala et justifia de ce fait son attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo.

Asahara fut le premier chef de secte a dirigé ses meurtres contre des personnes étrangères à son organisation et ouvra ainsi la voie au terrorisme religieux international qui est devenu aujourd’hui le thème numéro un de toute la communauté mondiale.

Même si ces actes fascistes et terroristes sont issus d’interprétations erronées du mythe du Shambhala, cela devrait être du devoir du 14e Dalaï-lama et de ses adeptes de rendre public le rite du Kalachakra dans tous ces détails, de corriger les déformations, les projections, les abus du rite et de se distancer ouvertement des contenus posant problème ou même de les supprimer des textes traditionnels.

Au lieu de cela, on a pu observer dans le passé plusieurs rencontres amicales entre le « prince de l’église » tibétaine et d’anciens SS (Heinrich Harrer, Bruno Beger), avec le fondateur de « l’hitlérisme ésotérique », Miguel Serrano, ainsi qu’avec le terroriste Shoko Asahara que le Dalaï-lama a d’ailleurs, même après l’attentat de Tokyo, qualifié « d’ami, quoique imparfait ».

Ce n’est que plus tard qu’il prendra ses distances par rapport à lui.

En effet, au travers du charisme du Dalaï-lama, de ses démarches, de ses discours et de ses écrits, apparemment politico-humanistes, s’opère une gigantesque importation de la culture orientale en occident, le tout accepté sans réflexion approfondie.

Dans cette idéologie, on peut voir des courants ayant servi de base à des fondamentalistes de divers camps et pouvant encore servir comme tel dans le futur.

Le leader bouddhiste interpelle l’homme dans son profond besoin d’harmonie et de paix.

Cependant la propre histoire du lamaïsme, le contenu des tantras et la nature des rituels ainsi que les conditions parmi les Tibétains en exil sont tout sauf paisibles et harmonieux.

Dans le tantra du Kalachakra, certains passages appellent ouvertement à « la guerre de religion » et ont un caractère intolérant et agressif.

Le bouddhisme tibétain est un système religieux archaïque reposant sur la magie et que les occidentaux n’ont pas encore commencé à sonder, ni à expliquer.

C’est aussi la raison pour laquelle les mouvements d’extrême droite le trouvent tellement attrayant.

Des siècles durant, le système lamaïste a conduit à une injustice sociale que tout citoyen attaché à la liberté est en devoir de rejeter.

L’égalité des sexes, la volonté de démocratie et la rencontre œcuménique sont des notions étrangères au bouddhisme tantrique, même si, en apparence, le 14e Dalaï-lama propage les idées contraires.

Comme réaction aux événements du 11 septembre 2001, le journal ‘Der Spiegel’ a dénoncé dans un article intitulé « Le fanatisme religieux : le retour au Moyen-Âge » le contenu agressif et le courant fondamentaliste des trois religions monothéistes.

Comme si souvent lors de critiques culturelles, la religion bouddhiste est restée épargnée, à tort étant donné que tous les thèmes critiqués dans l’article (la lutte contre les incroyants et les dissidents, les guerres de religion, le délire des armes, la vision de puissance théocratique, les prévisions apocalyptiques, l’antiféminisme, etc.) se retrouvent dans le tantra du Kalachakra avec une force beaucoup plus puissante.

Les envoyés de Hitler au Tibet

Ce que cherchaient les nazis dans l’Himalaya …

Aucune expédition de l’Ahnenerbe n’a autant fait parler d’elle que celle qu’entreprit, avant le commencement de la guerre mondiale, un groupe de cinq chercheurs allemands, accompagnés de 20 volontaires des SS.

Pour certains prétendus « spécialistes » de l’ésotérisme il n’y aurait aucun doute que les SS auraient été à la recherche d’un contact avec le « Roi du Monde », d’autres prétendent qu’ils faisaient des recherches sur la « porte secrète de l’Agartha » …

Tenue de danse sacrée tibétaine

OBJECTIF ARCHEOLOGIQUE OU ESOTERIQUE ?

L’expédition en question semble aussi avoir attiré l’attention des autorités alliées, qui, au procès de Nuremberg, posèrent des questions, en diverses occasions, sur cette affaire.

Elles ne purent la tirer au clair.

Effectuée dans le cadre des activités de l’Ahnenerbe, elle fut dirigée par le Standartenführer Schaeffer et, comme l’écrivirent quelques chercheurs, il s’agissait d’« étudier les origines de la race nordique ».

Le même Julius Evola qui connaissait parfaitement le monde ésotérique à la périphérie du nazisme, se faisait une piètre idée de cette expédition.

Il écrivit : « Les SS organisèrent une expédition au Tibet, avec des alpinistes et des ethnologues chevronnés, et une expédition dans l’Antarctique, à des fins, semble-t-il, d’exploration et aussi pour étudier l’éventuelle création de bases militaires.

Selon des interprétations fantaisistes, la première expédition aurait cherché à entrer en contact avec un centre secret de la Tradition, l’autre aurait recherché un contact avec la Thulé hyperboréenne occulte ».

Evola se réfère à l’expédition au Pôle Sud qui a déchaîné l’imagination fiévreuse de certains auteurs ; cette expédition étant toujours associée à la théorie prétendument défendue par les nazis, selon laquelle la terre serait une planète creuse et que nous habiterions à l’intérieur…

Dans les documents officiels du régime et dans les travaux de recherche effectués avec sérieux, on ne rencontre jamais aucune allusion sur cette supposée croyance nazie.

Les nazis pouvaient être fanatiques, racistes, irrationnels, mais ils n’étaient pas des idiots.

Toutefois, en ce qui concerne l’expédition au Tibet, les choses sont sensiblement différentes et l’explication nous semble moins simple que ne le croyait Evola.

Dans l’expédition au Tibet il existait un intérêt archéologique et anthropologique, mais n’oublions pas qu’une partie des activités de l’Ahnenerbe était centrée sur l’étude des légendes et des traditions et qu’un déplacement de cinq scientifiques SS au Tibet, secondés par une escorte, pouvait seulement être intéressé par les mythes et les légendes tibétains, le plus important d’entre eux concernant le « Roi du Monde », le « chakravarti » ou « Seigneur de la Roue ».

Quinze années avant l’expédition, un Occidental chassé par les péripéties de la révolution russe, Ferdinand Ossendowsky, raconta ses aventures dans un livre remarquable intitulé « Bêtes, Hommes et dieux », dans lequel il faisait explicitement référence au Roi du Monde et certifiait que le baron Ungern Khan von Sternberg avait reçu des émissaires de ce dernier et affirmait que le Dalaï Lama avait des contacts similaires.

Nous pouvons interpoler ici l’information recueillie personnellement auprès d’une communauté bouddhiste européenne dont l’instructeur, un lama tibétain aujourd’hui décédé et assez connu dans les milieux bouddhistes occidentaux, était en possession d’une fleur de Shambala.

Où tout cela nous mène-t-il ?

A démontrer que c’était au Tibet que la tradition du Roi du Monde était la plus vivante, ce qui revient à dire que la tradition tibétaine était en mesure de renouveler les contacts de l’Occident avec ce centre suprême, occulté depuis la fin du Moyen Age (quand s’éteignirent les derniers échos de la légende du Prêtre Jean et que les Rose-Croix se retirèrent en Orient).

LE BOUDDHISME EN ALLEMAGNE

Du reste, dans l’Allemagne de l’entre-deux-guerres le bouddhisme n’était pas une excentricité, ni quelque chose d’inconnu : depuis 1924 existait à Berlin le groupe bouddhiste pratiquant de Paul Dalke.

A la même époque Heinrich Walter comparait le Vedânta à l’œuvre de maître Eckhart dans un ouvrage paru en 1928. Walter, collaborateur d’Othmar Spann, était un Allemand des Sudètes.

Quelques années auparavant, en 1921, ils avaient lu et abondamment commenté le livre de la tradition tibétaine « La voie vers Shamballa », édité à Berlin.

Toujours à la même époque, Karl Friedrich von Dürkheim, aujourd’hui mondialement connu pour ses livres sur le bouddhisme, le Zen et la méditation pour les Occidentaux, combattait dans les corps francs de la Baltique alors qu’il connaissait déjà assez bien le bouddhisme, tandis qu’Eugen Herrigel et son épouse, auteurs respectivement de « Le Zen dans le Tir à l’Arc » et « La Voie des Fleurs », préparaient leurs valises pour partir au Japon.

Des années plus tard, un juif, Gershom Scholem, rappellera que Herrigel était affilié au NSDAP… Les doctrines bouddhistes étaient vivantes et agissantes dans l’Allemagne pré-hitlérienne et, d’une manière ou d’une autre, influencèrent le mouvement et certaines de ses orientations ultérieures ; nous faisons allusion aux travaux de l’Ahnenerbe.

Dans l’Ahnenerbe « héritage ancestral » passèrent les plus brillants chercheurs et intellectuels allemands qui décidèrent de collaborer avec le régime national-socialiste, nous avons vu qu’une bonne partie d’entre eux était familiarisés avec les doctrines bouddhistes et que celui-ci n’était pas inconnu à l’époque de Weimar.

La thématique étudiée par certains départements de l’Ahnenerbe devait inévitablement conduire à une conclusion : alors que la Tradition était morte en Europe et que ne subsistaient d’elle que des vestiges anthropologiques et archéologiques, elle vivait encore en Orient et au Tibet plus que dans tout autre lieu.

N’importe quel étudiant de première année d’anthropologie est capable de remarquer les similitudes surprenantes entre les plus vieilles légendes nordiques et les croyances qui se maintiennent encore aujourd’hui au Tibet, l’une d’entre elles étant l’existence réelle du « chakravarti », le « Seigneur de la roue », également présent dans la tradition européenne sous le nom de « Roi Pêcheur » ou « Roi du Monde » (Imperator Mundi). Si on voulait effectuer une recherche sérieuse sur les légendes européennes, il fallait forcément aller là où elles étaient les plus vivantes.

Mais ce n’est pas tout. Savitri Devi – néo-nazie européenne mariée à un brahmane – rappelle que cette expédition au Tibet ne fut pas la seule chose que les scientifiques nazis effectuèrent en Extrême-Orient.

Ils multiplièrent aussi, nous dit-elle, les contacts en Inde avec les représentants des hautes castes, contacts dans lesquels son propre conjoint eut un rôle prépondérant, par le truchement de l’ambassadeur [d’Allemagne] von Salzman.

Dans « Souvenirs d’une Aryenne », Savitri Devi écrivit : « … l’aspiration de Hitler était de renouer le contact avec la tradition à laquelle l’Inde était fidèle ».

La question est donc : est-ce un hasard si un secteur du régime nazi (les SS) eut l’intention d’obtenir une légitimation qui serait supérieure à la légitimation populaire et plébiscitaire ?

Est-ce un hasard si ces mêmes secteurs recherchaient la légitimation du « Roi du Monde » ?

Ou autrement dit : conscients que la tradition aryenne avait été perdue en Occident, allèrent-ils au Tibet pour tenter d’injecter dans le tronc desséché de la tradition occidentale la sève vive qui existait encore dans l’Orient lointain ?

Est-ce possible ?

CE MONDE DE MENSONGE ET DE CORRUPTION

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE ET AUTRES

Organisation mondiale de la santé est une institution qui est corrompue par l’argent de ses donateurs privés qu’elle défend au détriment de l’intérêt général et ce avec des conséquences qui sont criminels sur la population.

CORRUPTION : MEDECINS, OMS, PSYCHIATRES, VACCINS, ANSM…

Corruption : « L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux »
France.

« Le système est complètement pourri, les laboratoires pharmaceutiques achètent tout le monde »

Ce que les labos donnent à nos médecins :

2 527 854 cadeaux soit 244 572 645 € entre janvier 2012 et juin 20.

La face cachée de l’industrie pharmaceutique : remèdes mortels et crime organisé.

L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux : médecins, instituts de recherche, publications scientifiques prestigieuses de même que les agences gouvernementales comme la FDA.

Très peu de gens tirent avantage des médicaments qu’ils consomment.

En fait, les médicaments seraient la troisième cause de décès dans les pays riches.

« Cette industrie ne se contente pas seulement de corrompre des ministres, ou des personnes des instances européenne du médicament, elle ne se contente pas seulement de soudoyer des présidents d’ordre de médecin, elle ne se contente pas de faire des tests sur des orphelins pour qu’aucuns parents ne crient au scandale.

C’est tout au long de la chaîne que la moisissure morale, l’état mentale MAFIEUX qui fait de cette industrie une usine pire que les cheminées des camps de concentration, car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes..

La pile de cadavres est bien supérieur au camps de la mort, même si cela vous semble impossible. »

Montants versés aux médecins par les fabricants de dispositifs médicaux et de produits pharmaceutiques.

La plupart des médecins reçoivent des cadeaux de Big Pharma près de trois médecins sur quatre avaient des liens financiers avec Big Pharma.

Plus de 11,5 millions d’enregistrements entre août 2013 et décembre 2017, représentant des dons et des paiements d’une valeur de 8,4 milliards de dollars.

Plus de 75 pour cent des scientifiques de premier plan dans le domaine de la médecine sont payés par l’industrie pharmaceutique

Tout en travaillant pour Eli Lilly, John Virapen engagée dans le développement de stratégies de marketing agressives, qui comprenait à la corruption massive dans plus d’une occasion.

Il a participé à la distribution de médicaments résolue, qui provoquent des effets secondaires énormes et dangereuses comme la mort du patient.

Les sociétés pharmaceutiques investissent la somme considérable de 35 000 euros par an et le médecin pour obtenir les médecins à prescrire leurs produits.

John Virapen dit que plus de 75 pour cent des scientifiques de premier plan dans le domaine de la médecine sont payés par l’industrie pharmaceutique.

Dans certains cas, la corruption régnait dans l’approbation et la commercialisation des médicaments.

John Virapen écrit que les maladies sont constitués par l’industrie pharmaceutique et en particulier commercialisés pour améliorer les ventes et les parts de marché pour les entreprises en question.

Les compagnies pharmaceutiques ciblent de plus en plus les enfants.

Les laboratoires pharmaceutiques arrosent tous les médecins, toutes spécialités confondues, à travers tout le pays.

Pas d’exception, l’influence quasi systématique est devenue une règle de fonctionnement.

Corruptions et crédulité en médecine.

Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays.

Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau.

Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.

La Main dans le sac – Médecine + affaires = danger pour la santé

Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs.

II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance.

Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.

Les sources d’informations médicales «faisant autorité» sont corrompues.

les deux tiers des éditeurs de revues médicales de «haut niveau» reçoivent des pots-de-vin des fabricants de médicaments / vaccins.

Que rapporte un essai clinique aux médecins :« Le cancer, un moyen de gagner de l’argent » chimiothérapie : chaque malade inclus rapporte 7.000 € antidépresseurs : 12 300 euros pour chaque malade suivi (soit 193000 euros)

Corruption, les départements d’oncologie sont les secteurs les plus corrompus du système parce que les patients paniqués sont prêts à prendre et à faire n’importe quoi, même avec des taux de succès de 3 % à la clé.

« J’ai eu à régler un cas où la CSST obligeait un patient à subir une chimio qu’il refusait, mentionne l’éthicienne clinique.

S’il la refusait, c’est qu’il n’était pas malade, donc, on lui coupait ses prestations… »

Laboratoires pharmaceutiques : je rémunérais des médecins pour vendre des médicaments.

Rémunération d’experts, mise sous silence des effets secondaires de certains médicaments…

Dans son livre « Omerta dans les labos pharmaceutiques« , le médecin Bernard Dalbergue raconte les manipulations dont il a été témoin pour faire passer en force des médicaments.

Il dénonce un système aux dérives abjectes, et parfois mortelles.

À mon avis, les relations entre les médecins et l’industrie se sont scandaleuses. [1]

De nombreux universitaires et leaders d’opinion de la communauté sont payés des sommes importantes pour les produits de l’industrie du marché en devenant membres de bureaux de conférenciers, en élaborant du matériel de marketing déguisés en information scolaire, par les articles signataires écrites par nègres, et en favorisant l’utilisation hors AMM de produits.

Ces activités peuvent bénéficier les actionnaires des entreprises, mais ils n’ont pas bénéfique pour les patients, et parce que les produits promus sont généralement le plus récent et le plus cher, ils gonfler le coût des soins.

Comment la complicité des médecins avec les grandes entreprises peut mettre en danger votre santé.

Nous savons tous que les médecins acceptent des dons de compagnies pharmaceutiques, allant des stylos et des tasses de café a des vacances gratuites dans les stations de luxe.

Mais comme l’ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine révèle dans cette choquant expose, ces dons anodins en apparence ne sont que la partie émergée d’un iceberg qui déforme la pratique de la médecine et qui mettent en péril la santé de millions d’Américains d’aujourd’hui .

La médecine est prisonnière du lobby de l’industrie pharmaceutique.

L’industrie pharmaceutique reverse chaque année 57 milliard de dollars au « Top Médecins » afin qu’ils influencent leur collègues (page 127)

Médicaments meurtriers et crime organisé. Comment Big Pharma a corrompu la Santé.

Corruption systématique L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments.

En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide.

Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption.

Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens.

Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.

Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme.

En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée.

Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom.

Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés.

Ce sont les « mercenaires » de l’industrie.

Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….

Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia

Rapport mondiale sur la corruption dans la santé : Aucun pays n’est épargné par la gangrène qui vérole le secteur de la santé.

Et cela, à des niveaux divers, selon le degré de contrôle des réseaux de soins, de distribution des produits pharmaceutiques ou d’assurances maladie, mais toujours au mépris des patients et des contribuables qui financent les services publics télécharger le rapport

« En santé comme en d’autres domaines : Nos représentants élus DEVRAIENT NOUS PROTÉGER contre l’appétit des industriels… mais ils préfèrent se remplir les poches ! ».

Des conflits d’intérêts manifestes à la Haute autorité de santé : Jean-Jacques Baldauf, dans sa déclaration de conflits d’intérêts, mentionne qu’il est « investigateur principal » sur le Gardasil pour Sanofi Pasteur ; sa consœur Brigitte Letombe, outre des missions ponctuelles pour les laboratoires fabricant ce vaccin, signale à la rubrique « autre » de la longue liste des conflits d’intérêts, qu’elle travaille pour la communication de Sanofi depuis janvier 2009.

Tactiques d’intimidation et de corruption du genre mafieux.

Merck montre une compagnie dirigée par des assassins, qui s’occupent d’opinion en cherchant à détruire la vie et la carrière des universitaires qui osent dire la vérité sur ses dangereuses spécialités.

Les facs de médecine sous l’influence des labos ?

Les avantages concédés aux professeurs de médecine par les laboratoires pharmaceutiques sont nombreux.

La corruption qui tue la grande criminalité internationale aussi bien que les fraudeurs de moindre envergure, infirmiers, médecins, administrateurs…

La médecine moderne est devenue l’ennemie de la santé.

L’esprit de tromperie et de fraude qui imprègne la médecine ordinaire.

Tout ce que l’on ne vous dit pas sur les médicaments.

A la seule école de l’industrie pharmaceutique; l’invention de maladies imaginaires pour l’unique profit d’entreprises florissantes; la partialité des experts; le laxisme d’autorités sanitaires bienveillantes; la force d’un lobby mieux organisé que jamais…

Fraude dans les essais cliniques date de parution: 10-1991.

L’ancien big-boss de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) a profité de son poste pour créer une société de lobbying au service… des industries pharmaceutiques.

A défaut de patients, le Doc’ Lönngren soignait son avenir…

Les compagnies pharmaceutiques et les médecins : une histoire de Corruption.

Beaucoup de médicaments qui est censés pour être efficaces est probablement peu mieux que le placebo, mais il n’y a aucun moyen de savoir parce que des résultats négatifs sont cachés.

Quinze des chirurgiens ont obtenu au moins $ 62 millions de la société au cours de la dernière décennie, indique le journal, citant une analyse des documents et des informations sur Medtronic site de la société.

Une nouvelle étude publiée dans le Journal Spine a déclaré complications graves telles que le cancer, la stérilité, les infections, la dissolution des os et aggravé dos et de douleurs, est survenue chez 10 à 50 pour cent des patients qui ont été administrés infuser un produit ou soeur dans 13 essais cliniques financés par Medtronic et réalisée par les chirurgiens entre 2000 et 2010, le Wall Street Journal.

Les sommes considérables versées par les industriels à des médecins « prescripteurs » doté d’une aura importante.

En 2008, plusieurs articles du « New York Times » rapportaient que l’Association américaine des psychiatres faisait l’objet d’une enquête sur les sommes considérables reçues par ses membres – lesquels omettaient de déclarer ce « détail » lorsqu’ils allaient vanter les mérites de tel ou tel médicament dans le traitement de maladies psychiatriques.

En mars 2009, le même « New York Times » racontait comment un Professeur de Harvard concevait des études « à la carte » sur des enfants pour donner des résultats positifs au laboratoire dont il testait les médicaments !

Lutte contre la corruption des médecins, une loi du 27 janvier 1993 punit sévèrement les formes déguisées de pots-de-vin que peuvent être les cadeaux, invitations et congrès exotiques offerts par les laboratoires aux médecins. Au nom du respect de la concurrence et de la déontologie

L’appel des 50 médecins généralistes contre la corruption.

31-10-2007-Cinquante généralistes écrivent une lettre à Nicolas Sarkozy pour lui demander de lutter contre la corruption du corps médical.

GSK condamné à 3 milliards de dollars d’amende pour avoir menti et survendu ses médocs.

Aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique est devenue la plus grosse source de fraudes organisées… devant l’industrie militaire ! La rançon du succès…

jean-luc Harousseau, nouveau patron de la Haute Autorité de santé, cet ancien président UMP du conseil égional des pays de la loire a touché 205 482 euros en 2008, 2009 et 2010 de la part de laboratoires et il lui a fallu un bon mois, pour tenir la promesse faite à la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale de récapituler l’ensemble des liens d’intérêts qu’il a entretenus avec l’industrie pharmaceutique au cours des trois années écoulées.

Ces pots-de-vin auraient été versés sous le nom de «frais à titre de recherche» à 503 médecins et 79 hôpitaux Sanofi avait versé «autour de novembre 2007» des pots-de-vin totalisant 1,69 million de yuans (207.000 euros)

Une gigantesque enquête de police, concernant 2 900 médecins.

Quand il s’agit des turpitudes du marigot politique, la presse adore monter à la « une » les affaires de pots-de-vin.

Pourtant, quand Glaxo SmithKline (GSK) fait l’objet, en Italie, d’une gigantesque enquête de police, concernant 2 900 médecins, c’est un silence médiatique quasi absolu : à l’exception du British Medical Journal (BMJ) et du Guardian de Londres (13 février 2003), on ne trouve à peu près rien sur cette énorme affaire.

Pourtant, 37 employés de GSK Italie et 35 médecins ont été inculpés pour « corruption » ; 80 visiteurs médicaux accusés de versements illégaux à des médecins pour qu’ils prescrivent les produits de cette firme plutôt que leurs équivalents génériques. Au cours de son enquête

Un système au mieux incompétent, au pire corrompu par l’industrie pharmaceutique liens financiers qui placent toujours les psychiatres en tête des médecins les plus payés pour faire marcher le commerce »…

« En deuxième position des plus corrompus arrivent les médecins spécialisés dans le traitement des affections cardio-vasculaires.

Deux d’entre eux se distinguent pour avoir reçu la coquette somme de 312.000 dollars.

Des dirigeants de GSK auraient versé 372 millions d’euros de pots-de-vin, à des médecins et officiels d’hôpitaux.

Aux enquêteurs chinois, Abbas Hussein, directeur international pour l’Europe et l’Asie chez GSK, a déclaré en ce début de semaine reconnaître la responsabilité de son entreprise dans une corruption massive de personnels hospitaliers, afin qu’ils prescrivent en priorité ses onéreux médicaments.

La réunion a été parrainée par les marchands de la mort.

Pourquoi est-il alors que la plupart des médecins acceptent volontiers la commandites de compagnies pharmaceutiques qui ont gagné une grande partie de leur argent illégalement tout en étant pleinement conscients que leurs activités criminelles ont tué des milliers de patients.

La rémunération annuelle moyenne pour les dirigeants de centres médicaux universitaires aux États-Unis quand ils siègent aux conseils de sociétés pharmaceutiques d’administration est énorme : $ 312 564.

Pfizer a corrompu des médecins à grande échelle pour qu’ils prescrivent n’importe quoi.

Un ancien délégué médical, John Kopchinski, sort vainqueur de 6 années de procédures judiciaires contre son ancien employeur, le géant pharmaceutique mondial Pfizer.

Via des commissions occultes, la firme encourageait des centaines de médecins à prescrire des médicaments surdosés ou à contre-emploi.

La justice cible des experts médicaux en plein conflit d’intérêts.

Charles Caulin est aujourd’hui mis en examen pour participation illégale d’un fonctionnaire dans une entreprise précédemment contrôlée ; Jean-Roger Claude, Michel Detilleux et Bernard Rouveix pour prise illégale d’intérêts.

May Garnier pour complicité de ce délit.Un autre consultant de Servier mis en examen est le professeur Jean-Michel Alexandre, personnage clé du système du médicament de 1985 à 2000.

Il a présidé la commission d’AMM de 1985 à 1993, puis a dirigé la commission d’évaluation de l’agence du médicament de 1993 à 2000, tout en exerçant la même responsabilité au niveau de l’agence européenne.Auditionné en 2011, par la mission d’information de l’Assemblée nationale sur le Mediator, Jean-Michel Alexandre avait déclaré d’emblée qu’il n’avait jamais « touché le moindre émolument de l’industrie pharmaceutique » pendant qu’il exerçait ses fonctions à l’Agence du médicament.

Mais après avoir pris sa retraite, il a perçu entre 2001 et 2009 un total de 1 163 188 € versés par le groupe Servier à la société CRIS, déjà citée, qui a joué le rôle d’intermédiaire.

Il semble que ce circuit indirect ait été choisi parce que du fait de ses fonctions antérieures, Alexandre ne pouvait pas travailler pour une firme pharmaceutique.

Entendu par les magistrats, Jean-Michel Alexandre a affirmé que la teneur de ses conseils était « scientifique » et n’avait « rien à voir avec (son) activité à l’Afssaps ».

Cela ne concorde pas avec les relevés d’honoraires qu’il a adressés à May Garnier.

Un relevé daté d’avril 2002 fait état de plusieurs réunions de travail, dont deux avec Alain Le Ridant, dirigeant de Servier qu’Alexandre connaît de longue date.

Au programme d’une de ces réunions : « Amélioration du dossier d’AMM de Vastarel, destiné à l’Allemagne ».

Une autre réunion mentionne, toujours à propos de Vastarel, « communication de résumé du dossier d’AMM, note technique et note économique ».

La facture se monte, pour cinq réunions, à 38 112 € hors taxes.

Une autre facture, datée du 20 octobre 2008, évoque les cas d’effets indésirables dus au Protelos et les réponses données au Comité européen des médicaments à propos du Valdoxan, et deux autres produits.

Montant pour cinq réunions : 35 000 €. Dans d’autres cas, la facture indique simplement « Préparation et tenue de réunions avec M. Alain Le Ridant et Mme Garnier ».

Les laboratoires pharmaceutiques qui arrosent le plus les médecins… et les médecins les plus arrosés.

Les laboratoires pharmaceutiques seraient très très généreux avec nos chers médecins !

Entre janvier 2012 et juin 2014, ils auraient ainsi versé par moins de 236 millions d’euros en cadeaux et autres petits avantages (repas, frais hôteliers, voyages, etc.) aux professionnels de santé, du chirurgien au généraliste, en passant par le pharmacien et la sage-femme.

Largement de quoi se payer le dernier modèle de l’Airbus A350 !

Pour mettre au jour un tel micmac, l’association Regards Citoyens a compilé depuis 2 ans et demi les données publiées par l’ordre des médecins, des pharmaciens, des dentistes, des infirmiers et des sages-femmes, mais aussi par le ministère de la Santé.

Au total, ce sont ainsi plus de 400.000 professionnels qui se feraient arroser par le lobby pharmaceutique.

« Il faut ajouter les internes, le personnel administratif dans les hôpitaux et les cliniques, les associations de praticiens et parfois même les associations de malades, qui ne sont pas insensibles aux présents des labos, mais n’apparaissent pas dans les statistiques officielles », précise Tangui Morlier, l’un des auteurs de ce travail de fourmi, aussi consultant en informatique.

Labos et experts : une mise en examen de plus dans l’affaire du Mediator.

Après nos révélations sur les liens cachés entre des présidents et des vice-présidents de commissions qui autorisent la vente de médicaments, déterminent leur remboursement et leur prix, Mediapart a appris qu’un autre ancien vice-président de la commission de la transparence a été mis en examen dans le cadre de l’affaire du Mediator, notamment pour « prise illégale d’intérêts »

Pétition, pour en finir avec les conflits d’intérêts dans la santé Pour réaliser 10 milliards d’euros d’économies par an en révisant la politique du médicament AIDEZ-NOUS A FAIRE PRESSION SUR LE MINISTERE DE LA SANTE.

La corruption médicale organisée, il y a un autre aspect de la fraude à très large échelle au sein de la quasi totalité d’industries pharmaceutiques, corruptrices jusqu’à la moelle.

Cette industrie ne se contente pas seulement de corrompre des ministres, ou des personnes des instances européenne du médicament, elle ne se contente pas seulement de soudoyer des présidents d’ordre de médecin, elle ne se contente pas de faire des tests sur des orphelins pour qu’aucun parent ne crie au scandale.

C’est tout au long de la chaîne que la moisissure morale, l’état mental mafieux qui fait de cette industrie une usine pire que les cheminées des camps de concentration, car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieure au camps de la mort, même si cela vous semble impossible.

Par exemple les essais de médicaments biaisés, trafiqués, truqués sont légions, ceci semble pas du tout connu par l’ensemble de la population qui continue à faire des dons pour des tas de recherches médicales “dites” scientifiques pour les rassurer mais mieux les plumer; ce qui semble de plus en plus scientifique: c’est l’opérandi mafieux de cette l’industrie, et là il est temps de dire stop.

Eli Lilly divulegue maintenant les paiements aux médecins dans son «registre de la faculté.

« Malgré une limite individuelle de 75 000 $, les paiements de Lilly aux médecins pour le premier trimestre de 2009 ont totalisé 22 millions $.

L’industrie pharmaceutique a offert aux médecins 244 millions d’euros de cadeaux.

244 millions d’euros : c’est ce qu’ont dépensé les laboratoires pharmaceutiques en cadeaux, voyages, repas et nuits d’hôtels pour les professionnels de santé français – médecins en tête – entre janvier 2012 et juin 2014.

Ces liens troublants entre fabricants de médicaments et prescripteurs ont été révélés par l’association Regards citoyens, qui a collecté pendant près de deux ans les données publiées sur les sites des Ordres de médecins et sur celui du ministère de la Santé.

Des médecins qui ont refusé un cadeau, j’en ai vu cinq en vingt-cinq ans.

«Les médecins sont manipulés par nous, et nous par les labos»

« Les labos versent de très grosses sommes aux leaders d’opinion ».

Les labos versent de très grosses sommes d’argent aux leaders d’opinion, des médecins hospitaliers qui en ont besoin pour poursuivre leurs recherches.

Ils doivent à tout prix en publier les résultats : « publish or perish » (publier ou périr), telle est leur devise. Plus ils publient, plus ils gagnent de points pour pouvoir devenir chef de service.

« Big Pharma » ou la corruption totale du système médical.

Ces derniers mois, deux livres d’exception ont secoué le monde de la santé.

Corruption, en fonction du nombre de patients placés sous tel ou tel produit, les praticiens reçoivent des cadeaux.

« La différence avec la mafia, dit le Dr Turcotte, c’est que les mafieux ne se tuent qu’entre eux. »

Corruption secteur santé

Certains médecins flirtent avec la ligne jaune.

L’enquête révèle qu’une partie des 10.000 médecins des hôpitaux de Paris flirte avec la ligne jaune en ce qui concerne leurs relations financières avec les industries pharmaceutiques.

Les conclusions de l’enquête sont accablantes, par exemple, les déplacements des médecins parisiens à des congrès professionnels seraient financés à hauteur de 40 millions d’euros par an par les laboratoires.

Certains médecins auraient par ailleurs des contrats avec des grands groupes, pour faire de la publicité déguisée pour leurs produits.

Corruption : amende record pour le géant pharmaceutique GSK.

La justice chinoise a condamné GlaxoSmithKline (GSK) à payer une amende record de 3 milliards de yuans pour des faits de corruption.

Plusieurs dirigeants du géant pharmaceutique britannique ont aussi écopé de peines de prison.

Les 25 médecins les plus gâtés par les laboratoires (la divulgation de leur nom est interdite)

Les associations de patients sont quasiment toutes financées si ce n’est créées par les firmes.

Vous citez des contrats entre les labos et les associations de patients…

Les associations de patients sont quasiment toutes financées si ce n’est créées par les firmes, sauf les associations de victimes de médicaments, bien sûr.

J’ai rencontré un ancien cadre de l’industrie Pharma dont le métier consistait justement à créer des associations de patients selon les pathologies ciblées par les labos.

Même quand des règles sont mises en place, les industriels les contournent, c’est comme des cambrioleurs qui s’adaptent aux antivols.

Ces associations de malades liées aux labos.

La Haute autorité de santé livre le nom des associations de malades les plus financées par les laboratoires pharmaceutiques.

convergence entre associations de patients et firmes pharmaceutiques.

À degrés divers, des associations de patients sont soutenues ou aidées financièrement par des firmes pharmaceutiques.

Des brochures d’associations de patients sont par exemple sponsorisées par des firmes pharmaceutiques.

Emprise financière de l’industrie sur la recherche et les soins.

« L’industrie pharmaceutique finance les associations de patients et les groupes d’entraide existants ou en crée d’autres pour les instrumentaliser dans la promotion de tel médicament. »

Les associations de patients sont elles aussi instrumentalisées à des fins de marketing, nous montre l’expert en corruption.

C’est au milieu des années 80 que l’industrie pharmaceutique a découvert le potentiel des organisations de malades à agir en agents publicitaires.

« Lorsqu’elles sont financées, elles remercient les financeurs par la publicité qu’elles font pour les produits de ces derniers », dit Schönhöfer.

« Beaucoup d’associations, mais pas toutes, ne sont rien d’autre qu’un prolongement de l’industrie pharmaceutique ».

Les associations de patients complices des Labos.

On sait depuis longtemps que les associations de patients ont besoin de disposer de moyens importants pour financer leur communication, leur démarches auprès des autorités de santé et, dans certains cas, des recherches ad hoc.

On sait aussi qu’en dehors de quelques grandes causes relayées par les médias (myopathie, sida), les dons individuels ne suffisent pas à assurer leur survie.

Pourtant, certaines d’entre elles mènent grand train dans des locaux somptueux, leurs dirigeants se baladent en voiture de fonction, parfois avec chauffeur.

Quant à leurs campagnes de recrutement de nouveaux adhérents, elles s’étalent en pleines pages dans les journaux, en affiches 4×4 dans le métro et en spots TV.

Tout cela coûte cher, très cher…

Alors d’où vient l’argent ?

On le sait maintenant – au moins partiellement – grâce au document publié il y a quelques jours par la Haute Autorité de Santé.

Ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui les financent… grassement.

Pour l’année 2011, la HAS a identifié des versements pour un montant global de 5,8 millions d’euros. Une paille…

Parmi les plus généreux donateurs on trouve le groupe Johnson & Johnson (650 000 euros), suivi parAbbott et GSK (300 000 euros chacun) et, plus loin, Bayer (150 000 euros).

Environ 350 associations de patients ont bénéficié de ces dons. En moyenne cela fait moins de 20 000 euros par association, cela paraît raisonnable.

Mais on se rend compte que certaines associations de patients s’en tirent mieux que d’autres : L’association française des diabétiques a ainsi perçu plus de 500 000 euros en 2011 L’association pour la lutte contre le psoriasis : 350 000 euros L’association Asthme & Allergies : 300 000 euros.

L’association française des hémophiles : 300 000 euros Bien entendu, les donateurs sont d’autant plus généreux qu’ils commercialisent des traitements contre les maladies concernées.

Pour l’Association française des diabétiques. Deux laboratoires/donateurs se distinguent : Sanofi (qui donne environ 100 000 euros) et Eli-Lilly (qui donne aussi 100 000 euros, mais cette fois à l’antenne parisienne de l’AFD).

Ces deux laboratoires commercialisent les principaux médicaments à base d’insuline ainsi que des dispositifs de mesure de la glycémie.

Asthme & Allergies reçoit la quasi-totalité de ses financements du laboratoire GlaxoSmithkline (250 000 euros sur 300 000 collectés).

Glaxo commercialise la Ventolin et le Relenza, deux des traitements les plus vendus pour lutter contre l’asthme.

L’Association pour la lutte contre le psoriasis reçoit 200 000 euros du laboratoire Johnson & Johnson (sur 350 000 euros) et 120 000 euros du laboratoire LEO Pharma.

Leo Pharma commercialise exclusivement des produits destinés au traitement du psoriasis. Johnson & Johnson est en plein boom avec le produit Stelara depuis que le Raptiva, jugé dangereux, a été retiré du marché.

L’Association française des hémophiles, enfin, reçoit 100 000 euros (sur 300 000) venant de Bayer Santé, acteur dominant du marché des médicaments anti-hémorragiques avec le Kogenate.

Ces donations directes ne représentent sans doute que la part immergée de l’iceberg.

Car la HAS a établi son rapport sur la base des déclarations sur l’honneur des laboratoires.

Son questionnaire portait également sur les aides monétaires indirectes et les aides en nature mais aucun laboratoire n’a rempli ces colonnes là…

Rappelons que ces associations, publient des magazines destinés à leurs adhérents dans lesquels elles vendent des pages de publicité aux laboratoires qui se laissent facilement convaincre (ce n’est pas une donation, c’est un achat d’espace…).

Elles organisent régulièrement des manifestations, des rencontres qui reçoivent le soutien « en nature » de leurs parrains (c’est alors du sponsoring).

Et, bien que je n’ai pas d’info précise sur ce point, on dit aussi que la prise en charge, par les laboratoires, des salaires de certains permanents des associations est une pratique courante…

Dans ces conditions, espérer que les associations de patients puissent s’intéresser sérieusement aux traitements alternatifs, financer des recherches dans ce domaine ou même simplement informer leurs adhérents sur leur existence… relève de la naïveté.

Médicaments « inutiles et dangereux » : « Les lobbys sont d’une puissance dramatique ».

… On voit par exemple que certaines associations de patients mettent toujours en avant la dernière nouveauté…

Et les laboratoires ne sont jamais loin derrière. »

les firmes pharmaceutiques financent encore les associations de patients, ou les créent.

Elles créent aussi des tests de dépistage elles-mêmes, utilisés par exemple lors de grandes « journées nationales de dépistage de la dépression », ou lors des campagnes de sensibilisation comme celle de l’année dernière en France, histoire que tout un chacun se sente concerné par « la dépression », ne serait-ce que par suggestion.

Tout cela, bien sûr, en occultant les effets secondaires et les risques de dépendance.

Ces médicaments qui coûtent des milliards à l’assurance-maladie et menacent notre système de santé la pression sociale exercée par les associations de malades, parfois financées par les entreprises pharmaceutiques, entraîne que le CEPS peut difficilement s’opposer aux exigences des laboratoires.

« TOUTES LES ASSOCIATIONS DE PATIENTS, QUI ONT PIGNON SUR RUE, SONT FINANCEES PAR L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE »

Corruption et psychiatrie, une autorité de régulation des produits médicaux, honnête quant aux risques des médicaments , à leur efficacité, et aux alternatives, n’aurait probablement jamais mis la plupart des médicaments psychotropes sur le marché.

Seroplex® : l’effarante histoire du médicament »inutile » qui a coûté 700 millions d’euros à la Sécu (vidéo).

Fin mars, le site Mediapart dénonçait l’existence de liens illicites entre d’anciens hauts membres de l’Agence du médicament (ANSM) et de la Haute autorité de santé (HAS).

Le journal en ligne a publié ce 14 avril une démonstration glaçante des conséquences de ces abus, révélant comment un antidépresseur, clone d’un médicament génériqué, est devenu l’un des médicaments les plus remboursés de la décennie.

Les chefs de la psychiatrie – souvent à la solde de l’industrie pharmaceutique.

Ont créé et promu de nombreux mythes pendant des décennies pour mieux cacher le fait que la psychiatrie biologique a été généralement un échec.

La psychiatrie biologique croit que les médicaments sont la » solution » à presque tous les problèmes, en contradiction marquée avec les opinions des patients, car plusieurs ne réagissent pas bien aux médicaments qu’ils reçoivent.

Histoire de la fraude de la psychiatrie biologique par le dr F. Baughman.

En 1948, la spécialité combinée de la « neuropsychiatrie » a été divisée en « neurologie, » traitant les maladies organiques ou physiques du cerveau, et de la « psychiatrie » traitant des problèmes émotifs et comportementaux dans les êtres humains normaux.

Le professeur Ollier de Sainte-Anne est interrogé sur Europe 1 et, sans aucune Déclaration Personnelle d’Intérêt (DPI), DPI qui montrerait, si elle était sincère, des liens avec des molécules qu’il prescrit tous les jours, enfile les perles des contre-vérités, voir ICI, notamment sur l »efficacité des molécules. »

36 psychiatres en infraction à la loi de plublication des liens d’intêret, Olié jean-pierre…

médecins : corrompus « liens financiers qui placent toujours les psychiatres en tête des médecins les plus payés pour faire marcher le commerce »…

« En deuxième position des plus corrompus arrivent les médecins spécialisés dans le traitement des affections cardio-vasculaires.

Deux d’entre eux se distinguent pour avoir reçu la coquette somme de 312.000 dollars »

Tout en travaillant pour Eli Lilly, John Virapen engagée dans le développement de stratégies de marketing agressives, qui comprenait à la corruption massive dans plus d’une occasion.

Il a participé à la distribution de médicaments résolue, qui provoquent des effets secondaires énormes et dangereuses comme la mort du patient.

Les sociétés pharmaceutiques investissent la somme considérable de 35 000 euros par an et le médecin pour obtenir les médecins à prescrire leurs produits.

John Virapen dit que plus de 75 pour cent des scientifiques de premier plan dans le domaine de la médecine sont payés par l’industrie pharmaceutique.

Dans certains cas, la corruption régnait dans l’approbation et la commercialisation des médicaments. John Virapen écrit que les maladies sont constitués par l’industrie pharmaceutique et en particulier commercialisés pour améliorer les ventes et les parts de marché pour les entreprises en question. Les compagnies pharmaceutiques ciblent de plus en plus les enfants.

Psychiatrie : parce qu’elle se révèle être la discipline médicale la plus corrompue.

Ce mois-ci, plusieurs articles dénoncent un pas supplémentaire dans le refus de la transparence quant à l’influence des intérêts pharmaceutiques privés sur les décisions

Crise de crédibilité de la pédopsychiatrie, due à la corruption par les firmes pharmaceutiques et à ses faibles bases scientifiques

Parmi les accusés figure le Dr Joseph Biederman, un célèbre pédopsychiatre de Harvard, dont la déclaration incomplète a passé sous silence plus d’un million de dollars reçus des firmes pharmaceutiques pour ses activités de consultant

Une récente enquête du Sénat américain a mis en évidence un scandale éthique concernant d’éminents psychiatres universitaires impliqués dans les recherches cliniques sur l’efficacité des médicaments psychiatriques.

Ces médecins ont omis de mentionner les millions de dollars qu’ils ont reçu des firmes pharmaceutiques commercialisant ces médicaments

Sectes, industrie pharmaceutique et psychiatrie : Ceux qui prétendent lutter contre les dérives sectaires semblent avoir d’autres intérêts à défendre que la sécurité de mes concitoyens et concitoyennes.

Des intérêts qui font certainement plus de morts que tous les thérapeutes libres confondus.

Dominique Versini, actuelle « Défenseure des enfants », prompte à militer pour l’entrée de plus de psychiatres et psychologues dans les écoles, dans les centres éducatifs fermés, etc…

Mais surtout ancienne Directrice internationale de la communication chez Servier, le médiatique laboratoire dont on a beaucoup parlé avec l’affaire du Médiator.

Le député Michel Zumkeller, qui dans son propre rapport « sur la prise en charge sanitaire, psychologique et psychiatrique des personnes mineures », fait la promotion d’expérimentations dans le sens d’une systématisation des « soins » psychiatriques pour les enfants difficiles dans les centres éducatifs fermés.

Bien entendu ces « soins psychiatriques » dès l’enfance sont une manne pour l’industrie pharmaceutique qui fabrique les antidépresseurs et antipsychotiques, puisque les traitements, quand ils sont commencés, ne peuvent plus s’interrompre et sont parfois pris à vie…

Docteur Irene Kahn Bensaude, Présidente de la section santé publique du Conseil national de l’ordre des médecins, grande défenseure de la psychiatrie et de l’augmentation du nombre de psychiatres dans le pays et le psychiatre

Le sénateur Nicolas About(centre)…ce sénateur n’est autre que l’ancien directeur des relations médicales aux Laboratoires Servier de 1981 à 1985, puis responsable de communication médicale dans le groupe Sanofi en 1988.

Psychiatre ou représentant de commerce ?

Daniel Carlat passer dans le camp des anti-corruption et dénonciateurs des combines par lesquelles les firmes influencent les médecins et en font des pantins du marketing.

Psychiatrie : discipline la plus payée par l’industrie.

La majorité des auteurs du DSM-IV (le DSM V est en préparation) ont des liens financiers non déclarés avec les laboratoires pharmaceutiques…

le Washington Post de révéler que certains instructeurs (médecins réputés payés par les firmes pour vanter les mérites de leurs médicaments et inciter leurs collègues à les prescrire) sont financés par au moins 12 laboratoires en même temps.

La psychiatrie et les firmes pharmaceutiques, cimentés par le DSM et l’argent.

Liens (financiers et autres) inextricables qui existent entre psychiatrie et industrie pharmaceutique.

Liens entre psychiatres et cies pharmaceutiques, l’exemple des antipsychotiques.

L’utilisation croissante d’antipsychotiques atypiques pour les jeunes en est un exemple argumente le journal qui montre que l’augmentation des prescriptions de ces médicaments a coïncidé, dans les dernières années, avec une augmentation des paiements faits par des compagnies pharmaceutiques aux psychiatres.

DSM4, la moitié des experts psychiatres, qui ont participé à la rédaction du plus célèbre manuel de classification diagnostique des maladies mentales, sont payés par l’industrie pharmaceutique.

médecins : Une histoire de la corruption.

Biederman a versé 1,6 million de dollars en honoraires de conseil et de langue entre 2000 et 2007.

Palazzo a ensuite falsifié des documents.

Un psychiatre à la solde de GlaxoSmithKline a été condamné à 13 mois de prison après avoir plaidé coupable d’avoir commis une fraude de recherche dans les essais d’antidépresseurs de l’entreprise Paxil aux enfants.

Maria Carmen Palazzo purge déjà une peine de 87 mois pour avoir fraudé Medicare et Medicaid.

Les psychiatres en tête de file pour les cadeaux de l’industrie pharmaceutique.

Plus les psychiatres ont gagné des compagnies pharmaceutiques, plus ils ont prescrit une nouvelle classe de médicaments puissants, les antipsychotiques atypiques, à des enfants pour qui ces médicaments sont spécialement risqués et ce, le plus souvent hors approbation
.
Pharmaceutique et psychiatrie.

Ce que je sais aujourd’hui, c’est que ceux qui prétendent lutter contre les dérives sectaires semblent avoir d’autres intérêts à défendre que la sécurité de mes concitoyens et concitoyennes.

Des intérêts qui font certainement plus de morts que tous les thérapeutes libres confondus (charlatans compris).

Liens entre l’American Psychiatric Association et l’industrie pharmaceutique.

En 2006, la dernière année pour laquelle les chiffres sont disponibles, l’industrie du médicament a fourni environ 30% du financement de $62.5 millions de l’organisation.

Corruption de l’état, la mafia pharmaceutique a pris le controle de l’état docteurs Delépine / TVL

Gouvernement mafieux, laboratoires gangster et médecins lobotomisés.

Le système de santé français a un très gros problème, il entretien les gens malades de façon réfléchie et organisé en France, le système mafieux de la santé est vraiment dramatique.

Gérard Delépine nous a brossé un tableau de la médecine moderne et notamment des liens avec les labos à dresser les cheveux sur la tête.

Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales?

Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias».

Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs.

« L’industrie pharmaceutique a financé tous les partis politiques, tous » a notamment déclaré l’ancien ministre du Budget. Jérôme Cahuzac

«On peut prétendre que certains membres de l’industrie couchent avec des politiciens, comme aux États-Unis».

«En 1988, deux ans après la venue des nouveaux antidépresseurs, 78% des gens qui en consommaient faisaient une rechute, contre 23% pour les gens qui suivaient une psychothérapie.

Alors oui, il existe des alternatives aux médicaments…»

La collusion criminelle des labos pharma et des gouvernements.

La corruption de big pharma et des gouvernements vendus, qui empoisonnent le public depuis des décennies…

Ces criminels en blouse et cols blancs doivent être traqués et jugés pour les crimes eugénistes commis passés, présents et a venir ».

SI la population toujours désinformée par les médias n’en a peut-être pas pris la mesure,

vous ne pouvez pas ignorer que l’affaire Cahuzac n’est que la face émergée de l’iceberg et que les rapports incestueux des décideurs sont fort partagés dans le milieu des premiers cercles du pouvoir.

Monsieur Cahuzac, loin d’être une exception représente le mode de fonctionnement de nombreux décideurs.

Nous vous le démontrerons si nécessaire, mais vous avez surement conscience comme moi qu’une grenade dégoupillée vous menace et qu’il serait plus raisonnable d’aborder tout de suite ce dossier brûlant avant qu’il n’explose.

A moins que vous ne le puissiez ?

La corruption pharmaceutique institutionnelle et politique.

Aujourd’hui, les objectifs de la politique pharmaceutique et la pratique médicale sont souvent compromise en raison de la corruption institutionnelle – qui est, de pratiques généralisées ou systémiques, habituellement juridiques, qui minent les objectifs ou l’intégrité de l’institution.

Dans ce colloque, 16 articles enquêter sur la corruption de la politique pharmaceutique, en prenant chacun un regard différent sur les sources de corruption, comment cela se produit, et ce qui est corrompu.

Nous verrons que les propres fins de l’industrie pharmaceutique sont souvent compromises.

En outre, le financement de l’industrie pharmaceutique des campagnes électorales et le lobbying biaise le processus législatif qui définit la politique pharmaceutique.

En outre, certaines pratiques ont corrompu la recherche médicale, la production de connaissances médicales, la pratique de la médecine, la sécurité des médicaments, la surveillance de la Food and Drug Administration du marché pharmaceutique, et la fiabilité des organisations de défense des patients.

Comment le Sénateur About a étouffé le scandale des collusions pharmaceutiques.

A l’époque, Xavier Bertrand est interrogé par la mission le 11 avril 2006.

Il est alors Ministre de la Santé. Il aura beau jeu de se dédouaner 4 ans et demi plus tard, espérant nous faire croire qu’il n’était au courant de rien.

Douste-Blazy était Ministre de la Santé ; sa campagne politique avait été financée par le laboratoire Becham : Nous vivons dans une république « bananière » !

A peine installé, avec l’argent de l’Etat, il passait commande d’un million cinq cent mille doses de vaccins hépatite B (sans aucun appel d’offre) à ce même laboratoire.

La collusion criminelle des labos pharma et des gouvernements.

Ceci est un coup de masse supplémentaire dans la destruction du mur du silence et de la corruption de big pharma et des gouvernements vendus, qui empoisonnent le public depuis des décennies…

Ces criminels en blouse et cols blancs doivent être traqués et jugés pour les crimes eugénistes commis passés, présents et a venir ».

Jérôme Cahuzac a été mis en examen.

Pour «blanchiment de fonds provenant d’avantages procurés par une entreprise dont les services ou produits sont pris en charge par la Sécurité sociale».

Pour faire simple: il s’agirait d’argent versé par l’industrie pharmaceutique.

Ministère de la Santé : la mascarade tombe.

« La démocratie dans le domaine de la santé n’est qu’une vaste mascarade montée par les politiques ».

Nous demandons la démission du Professeur Daniel Floret comme président du Comité technique des vaccinations (CTV), en France.

Il est en effet en situation de conflits d’intérêts avec les fabricants de vaccins : activités régulières avec Sanofi au sein du groupe « avancées vaccinales » ; participation à des travaux scientifiques avec Bio Mérieux / Fondation Mérieux, GSK et Sanofi ; interventions en formation continue organisées par les laboratoires GSK, Sanofi ; participation à des études cliniques pour Pfizer et GSK…

M. Floret travaille aussi avec l’’industrie pharmaceutique au sein du Réseau d’’investigation pédiatrique des produits de santé (RIPPS) et entretient des liens avec le LEEM (syndicat de l’’industrie pharmaceutique).

Il est aussi membre de l’’association ACTIV qui met en œœuvre des actions en lien avec le lobby pharmaceutique.

La longue histoire du financement des partis politiques

« Le financement de la politique par les laboratoires pharmaceutiques est un grand classique »

Politiques et industrie pharmaceutique : des liaisons inavouables qui dépassent le cas Cahuzac.

En 1995, les laboratoires Fournier avaient recruté comme directrice Elisabeth Hubert, éphémère ministre de la Santé.

Plus récemment, Michel Barnier, actuel commissaire européen au Marché intérieur, ancien ministre des Affaires étrangères et de l’Agriculture, a été vice-président de bioMérieux Alliance de 2006 à 2007.

Jacques Godfrain, ministre de la Coopération de 1995 à 1997, siège à la Fondation Pierre Fabre.

Claudie Haigneré, ministre de la Recherche et des Affaires européennes entre 2002 et 2005, est administratrice de Sanofi.

Enfin, Nora Berra, secrétaire d’Etat chargée de la Santé de 2010 à 2012, en pleine affaire Mediator, avait travaillé pendant dix ans dans les laboratoires Boehringer Ingelheim (1999-2001), Bristol-Myers Squibb (2001-2006) et Sanofi-Pasteur (2006-2009).

Un parcours qui avait incité le ministre Xavier Bertrand à l’écarter pendant la crise du Mediator

Mais les laboratoires n’embauchent pas que des ex-ministres. Les anciens membres de cabinets s’y recasent eux aussi

Une vendue au ministère de la santé : Agnès Buzyn.

Agnes Buzyn, est dans l’imaginaire de tous une ministre vendue.

Lors de l’affaire Médiator elle aurait bien fermé les yeux… cette ayatollah du tout vaccinal est à l’image des jésuite au XVI siècle, une croyance scientifique aussi brutale et aveugle d’une religion.

Aujourd’hui elle veut vacciner au frais de la sécurité sociale des gamins contre tout… et pour rien…

Corruptiion par l’industrie pharmaceutique : « Cahuzac n’est que l’arbre qui cache la forêt »

Corruption OMS.

OMS : le « pape de la grippe A » accusé de corruption.

On le surnomme « Dr Flu » (Docteur Grippe), le professeur Albert Osterhaus est le principal conseiller de l’Organisation mondiale de la Santé face à la pandémie de grippe H1N1.

Depuis plusieurs années, il prédit l’imminence d’une pandémie globale et ce qui se passe aujourd’hui semble lui donner raison.

Cependant, le scandale qui a éclaté aux Pays-Bas et fait l’objet d’un débat au Parlement a mis en évidence ses liens personnels avec les laboratoires fabriquant les vaccins qu’il fait prescrire par l’OMS. F.

William Engdhal relate comment un expert peu scrupuleux a pu manipuler l’opinion publique internationale, surévaluer l’impact de la grippe H1N1, et faire la fortune des laboratoires qui l’emploient.

Mega scandale de corruption à l’OMS.

Non seulement la personne Osterhaus connecter à un réseau international qui a été décrite comme la mafia Pharma, il est le principal conseiller de l’OMS sur la grippe…

Le laboratoire Servier aurait voulu faire taire plusieurs médecins qui ont mené des recherches sur l’Isoméride

Le professeur Abenhaim aurait reçu « des petits cercueils à son domicile », un haut responsable de l’Agence du médicament affirme « avoir été menacé de mort », un journaliste travaillant sur l’Isoméride « a été intimidé par des détectives qui ont enquêtés sur sa vie privée » et une avocate belge qui travaillait pour des victimes américaines « a reçu une photo de sa fille en train de se rendre à l’école »

L’OMS et l’Unicef viennent de stériliser des populations du tiers-monde sous couvert de vaccination.

Après les scandales qui ont déjà secoué le Mexique, le Nicaragua et les Philippines, l’OMS et l’Unicef sont à nouveau mis en cause au Kenya pour avoir administré des produits stérilisants à l’insu des patients qu’ils prétendaient vacciner contre le tétanos.

Scandale de l’OMS et Mafia Médicale éclate! Sylvie Simon

Corruption ansm / ex afssaps.

Les gendarmes du médicament faisaient affaire avec les laboratoires.

La mise sur le marché de médicaments et leur remboursement sont soumis à des commissions supposées indépendantes.

Or, plusieurs mois d’enquête ont permis à Mediapart de découvrir que, pendant des années, des membres éminents de ces commissions (dont un président) ont conseillé secrètement les laboratoires pharmaceutiques.

L’affaire, au-delà des questions déontologiques et de conflits d’intérêts, interroge la probité du système sanitaire français.

Médicaments : la Haute autorité de santé saisit le procureur.

Mardi 24 mars, nous révélions en effet que Gilles Bouvenot, président de la commission de la transparence jusqu’en 2014, ainsi que d’autres éminents membres de sa commission ou de la commission d’autorisation de mise sur le marché des médicaments, ont secrètement conseillécontre rétribution, pendant près de 20 ans, des laboratoires pharmaceutiques sur la meilleure façon de présenter leurs dossiers afin d’obtenir les autorisations et les remboursements recherchés.

Deux ex-cadres de l’Agence nationale de sécurité du médicament, Jean-Michel Alexandre et Éric Abadie.

Le 19 décembre 2011, Le Figaro avait révélé que Jean-Michel Alexandre avait touché 1,2 million d’euros de la part de Servier entre 2001 et 2009.

Les inspecteurs de l’Igas n’ont trouvé à cet expert émérite de biologie aucune circonstance atténuante.

Les gendarmes chargés de l’enquête ont passé au crible des documents qui concernent la société Cris, une entreprise de conseil écran, financée à 25 % par Servier, le reste venant de Sanofi ou Takeda par le truchement de ses filiales allemandes.

Elle a été créée par Marlène May Garnier, une ancienne salariée de Servier, recrutée par le laboratoire en 1977, et qui est également convoquée par la Justice dans le cadre du volet « tromperie et prise illégale d’intérêts » du dossier.

En effet, comme Cris était une société de conseil, elle a contourné l’interdiction en toute connaissance de cause, avec la complicité des autres accusés.!

Agence d’insécurité sanitaire.

Repas, stylo, voyage, invitations, etc. – tout cela crée un lien, une obligation, un devoir de réciprocité qui poussent le médecin en question à renvoyer l’ascenseur en prescrivant ce que veulent les firmes

Agences et Autorités de Santé, encore plus incompétentes que corrompues.

N’inventant plus de médicaments, l’industrie invente des maladies qui n’existent pas: préhypertension, préostéoporose, prédiabète, cholestérol, dépression courante et vingt autres, médicalisant toutes les tensions et ennuis normaux de la vie sociale, professionnelle ou émotionnelle.

Cet immense bourrage de crâne, elle ne peut y parvenir qu’avec la complicité active, intéressée et lourdement rémunérée d’experts universitaires corrompus, devenus ses porte-voix.

une autorité de régulation des produits médicaux, honnête quant aux risques des médicaments , à leur efficacité, et aux alternatives, n’aurait probablement jamais mis la plupart des médicaments psychotropes sur le marché.

Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparence et d’efficacité en pharmacovigilance comme en matière d’information du public et des médecins.

Or, nous avons pu constater la fiabilité de l’AMM que certains appellent à présent Autorisation de Mise à Mort, et l’intégrité de l’Afssaps, dépendante des laboratoires, même si elle a changé de nom, qui attend toujours qu’il y ait un nombre de morts conséquent pour retirer le produit du marché.

« Le travail de l’agence est une comédie, tout est décidé en amont ! ».

Sur les 429 membres inscrits en 1999 aux différentes commissions d’experts de l’Afssaps, 334 déclaraient entretenir un lien direct ou indirect avec un laboratoire

Sénat : » peut-on encore faire confiance aux agences qui ont pour mission d’évaluer la sécurité d’emploi, l’efficacité… »

« Comment dans ces conditions, s’étonne le Sénat, ne pas redouter que les agences ne soient devenues au fil des années les instruments dociles de ceux qui fournissent la majorité de leurs subsides … ? »

« Une agence du médicament en coma dépassé ».

AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, une agence du médicament en coma dépassé, un plan orchestré pour intimider un expert récalcitrant, des médecins sous influence du marketing…

Bienvenue dans le monde de BIG PHARMA.

« Certains représentants de l’Etat sont corrompus ».

la décision se prend sur la base d’un dossier préparé par l’industriel.

Laboratoires pharmaceutiques :les gouvernements, transformés en super-VRP, se chargent d’assurer la revente de leurs produits !
Scandale d’État(s).

L’ Afssaps, hypnotisée par Merck, a soutenu le Vioxx jusqu’au bout.

La France plus vigilante sur les plantes que sur le Vioxx.

L’AFSSAPS se tait, comme d’habitude.

L’agence française de sécurité sanitaire (AFSSAPS), chargée de la pharmacovigilance et de l’information sur les risques des médicaments, n’a pas (encore?) jugé bon d’avertir les patients français et leurs médecins.

« Mépris des laboratoires pour l’agence française du médicament. ».

Financée à environ 80% par l’industrie du médicament, elle fait appel à près de 2000 experts par an, la grande majorité travaillant pour les laboratoires privés.

Liens experts / firmes : pourquoi se gêner ?

Les révélations de Mediapart sur un système d’ententes entre des hauts responsables du médicament en France et des firmes appellent une réaction forte des autorités politiques et du monde médico-pharmaceutique.

Une première étape consiste à faire que le « sunshine act à la française » permette réellement de connaître les plus gros liens d’intérêts des soignants avec des firmes, tout autant que les plus petits.

Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparence.

Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparence et d’efficacité en pharmacovigilance comme en matière d’information du public et des médecins.

Les agences sanitaires bloquent l’accès aux informations.

Le travail des autorités de pharmacovigilance (Afssaps, HAS en France, EMEA en Europe) privilégie les intérêts des firmes pharmaceutiques,

« L’Afssaps est apparue comme une bureaucratie sanitaire, où personne n’a pu avoir un raisonnement pharmacologique clairvoyant. Une structure lourde, lente, peu réactive, figée».

C’est une affirmation de l’igas.

Sans mâcher ses mots, il dépeint la faillite d’un système.

Celui qui consiste normalement à autoriser et rembourser des médicaments utiles et pas dangereux, à surveiller ses effets secondaires et à les retirer si besoin.

Faut-il dissoudre l’AFSSAPS ?

Plus de 99% des membres experts travaillent ou ont travaillé pour des laboratoires…..

Conflits d’intérêts : la réforme du médicament ne règle rien.

Les experts de santé publique ne pourront participer aux décisions sur les médicaments que s’ils ont déclaré les liens d’intérêt qu’ils ont avec les labos.

Une déclaration pas à jour ou incomplète entrainera une amende de 30 000 euros,

Notre système de santé est il totalement corrompu ?

L’affaire du Mediator rebondit une nouvelle fois.

Un responsable et une ancienne employée des laboratoires Servier, ainsi que deux anciens responsables de L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) auraient été mis en examen entre le 12 et le 14 février.

Afssaps, miracles et imcompétence : Le Vioxx, cet anti-inflammatoire prescrit dans l’arthrose aurait fait des dizaines de milliers de victimes aux États-Unis. Et en France ?

Selon l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), notre pays aurait été miraculeusement épargné. Un peu comme quand le nuage de Tchernobyl s’est arrêté aux frontières…

Ce n’est pas sur France-Inter ou sur France 2 que les autorités sanitaires françaises sont accusées de lenteur ou d’incompétence.

C’est dans le Lancet, la revue médicale britannique, qui n’est pas forcément lu par vos voisins de palier.

Dommage.

« L’affaire du vioxx a eu aussi un énorme retentissement en France, ou le ministre de la santé lui avait remis lui-même solennellement, au sénat, le « prix médical de l’année » en 2002, et lui avait accordé un niveau de prix cinq fois supérieur à celui des anti- inflamatoire courants.

Une étude de l’Agence Française du médicament (par enquêtes téléphoniques) concluait en outre, seule au monde, en mai 2004, à l’absence de risques cardiaques des Coxibs. »extrait de La vérité sur les compagnies pharmaceutiques : Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer de dr Marcia Angell rapellons que : « Le Vioxx, ou rofecoxib, c’est ce médicament anti-inflammatoire de l’arthrose et de l’arthrite que le laboratoire Merck a retiré du marché le 30 septembre 2004 pour cause d’infarctus et de morts subites en série.

« Que « La FDA est responsable de 140000 crises cardiaques et 60000 morts Américains. »

AVC, infarctus, décès : l’ANSM s’offre un nouveau Mediator : Alertes de pharmacovigilance ignorées, décès passés sous silence, lobbying des firmes pharmaceutiques, articles de Prescrire enterrés, amphétamines cachées, AVC, infarctus, et décès imputables à des médicaments soignant une pathologie bénine, et même des addictions, les autorités de santé françaises réécrivent une variante de l’histoire tristement célèbre du Mediator, avec cette fois-ci avec les médicaments anti-rhume.

Corruption des hautes instances cardiologiques : Prenons le cas de la Société Française de Cardiologie, fin 2013 sur les 43 membres du conseil d’administration 2012-2016, 31 déclaraient des liens avec un ou plusieurs organismes pharmaceutiques (dont plusieurs commercialisent des statines) et 4 personnes n’apparaissaient tout simplement pas sur la liste.

Je n’ai pas examiné les autres personnes, mais pour les curieux voici le lien : SFC : Déclaration de Relations Professionnelles 2013

FDA / food and Drug Administration et MHRA (Angleterre).

La FDA est simplement une branche criminele d’un gouvernement fédéral.

la FDA est devenue la plus grande menace pour la santé et la sécurité du peuple américain et europeen.

MHRA corruption.

L’Agence de réglementation des médicaments et des soins de santé ou MHRA protège les monopoles des produits pharmaceutiques d’un milliard de dollars (qui paient, par exemple, 40 000 £ pour un cycle de poison de chimiothérapie) et ferme impitoyablement des traitements peu coûteux et efficaces partout où cela est possible.

Dix organismes publics affirment qu’ils sont corrompus (voir ci-dessous). La MHRA tue environ 200 000 Britanniques par an

La FDA appartient officiellement à la grande industrie pharmaceutique.

Califf, chancelier de la recherche clinique et translationnelle à l’Université Duke jusqu’à récemment, a reçu de l’argent de 23 compagnies pharmaceutiques comme Johnson & Johnson, Lilly, Merck, Schering Plough et GSK selon un communiqué publié sur le site de Duke Clinical Research Institute.

Le Racket de la FDA.

« Natural News » a appris que la FDA (Food and Drug Administration) réalise des extorsions d’argent auprès des sociétés de suppléments nutritionnels, afin de remplir les poches des responsables de la FDA.

Cette opération criminelle est en place depuis des années, et a été réalisée en toute impunité, car chaque société ciblée par cette arnaque se sent isolée et démunie, incapable de faire face aux frais de procès astronomiques nécessaires contre la FDA.

Médicamenteurs : l’agence du médicament US accusée de blanchiment de fraudes scientifiques.

« La FDA a, de façon répétée, caché les preuves de fraudes scientifiques, pas seulement au public, mais aussi à ses propres experts les plus fiables, y compris lorsque ceux-ci devaient décider si un médicament pouvait ou non être autorisé ».

« Cela signifie que les médecins du monde entier fondent des décisions vitales pour leurs patients sur des études que la FDA sait ne pas être crédibles ».

Charles Seife explique : « La FDA a, de façon répétée, caché les preuves de fraudes scientifiques, pas seulement au public, mais aussi à ses propres experts les plus fiables, y compris lorsque ceux-ci devaient décider si un médicament pouvait ou non être autorisé ».

« Cela signifie que les médecins du monde entier fondent des décisions vitales pour leurs patients sur des études que la FDA sait ne pas être crédibles ».

Est-ce que la principale Agence Sanitaire US (la FDA) couche avec l’industrie ?

C’est la question posée par un sondage mis sur Internet par une énorme agence de diffusion publicitaire américaine dévouée au business de la santé et appelée MEDPAGE TODAY.

Meurtres par les sociétés pharmaceutiques.

La FDA et la MHRA, le régulateur des sociétés pharmaceutiques aux États-Unis et en Grande-Bretagne, sont toutes deux contrôlées par les grandes sociétés pharmaceutiques.

La FDA et la MHRA ont de grands directeurs pharmaceutiques dans leurs conseils d’administration, et les grandes sociétés pharmaceutiques contrôlent leur propre réglemen

La FDA est au service de l’industrie pharmaceutique, pas au service du public.

Haute autorité de santé / HAS : corrompue.

Mauvaises pratiques des recommandations de la HAS.

La HAS ne parvient pas même à satisfaire à ses propres exigences, même régulièrement abaissées.

Ainsi, dans le cas de la recommandation dont nous demandons le retrait, la HAS a-t-elle désigné un groupe de travail aux nombreux conflits d’intérêts, majeurs selon les critères de l’agence.

Circonstance aggravante, la plupart des experts ont soumis une déclaration publique d’intérêts mensongère, déclarant l’absence de lien d’intérêts ou omettant des contrats (orateur, expert) passés avec des laboratoires concernés, parfois noués au cours même des travaux du groupe de travail.

HAS : commissions d’experts dont 50% sont rémunérés par l’industrie pharmaceutique

Corruption de l’agence eurpéenne du médicament (EMA) et de la commission européenne.

Le chef de l’Agence européenne du Médicament travaillait aussi pour les labos pharmaceutiques, thomas Lonngren directeur agence europeenne medicament.

L’ancien big-boss de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) a profité de son poste pour créer une société de lobbying au service… des industries pharmaceutiques.

L’Agence européenne du médicament (EMA) Agence européenne du médicament : conflit d’intérêts.

Que doit-on penser de cela ?

Pièce jointe n° 29.

L’EMA ne fera plus appel à des experts ayant travaillé pour l’industrie pharmaceutique Le Quotidien du Médecin.

Lobbies pharmaceutiques et Commission européenne : l’amour fou.

Les enquêtes journalistiques sur les scandales sanitaires au cours des dernières décennies (amiante, éthers de glycol, plombages au mercure, Vioxx, Mediator, etc.) ont beaucoup contribué à cette évolution car elles ont identifié chaque fois le poids des lobbies, tout particulièrement les lobbies de la chimie, du médicament et de certaines institutions littéralement phagocytées par les experts rémunérés par les producteurs, comme les agences du médicament.

Agence européenne du médicament : trop de conflits d’intérêts.

Un audit officiel a révélé une gestion irresponsable par l’Agence européenne du médicament des conflits d’intérêts de son personnel et des experts externes qu’elle sollicite pour prendre ses décisions.

Un exemple de tromperie institutionnelle est l’examen rigoureux de la sécurité du VPH par la «pharmacovigilance» de l’Agence européenne des médicaments (EMA).

L’EMA, en collusion avec les fabricants de vaccins contre le VPH, a ignoré de nombreux rapports regroupés de syndromes médicaux graves émergents (SDRC et POTS) après la vaccination contre le VPH.

Un examen critique des documents internes relatifs au processus d’évaluation EMA, par le Dr Tom Jefferson et le Dr Lars Jørgensen, suggère que « le résultat du processus d’examen de l’EMA a été décidé avant son lancement.»

Corruption du Centers for Disease Control (CDC).

On apprit que les Centers for Disease Control (CDC).

La Food and Drug Administration (FDA) et les principaux fabricants de vaccins avaient sciemment menti avec l’approbation des autorités et tenus des colloques où l’embargo avait été décrété sur toutes les informations discutées au cours des réunions !

Grâce au FOIA, on apprit que ces experts avaient oublié de dire que jusqu’en 2005, les vaccins contenaient du Thimerosal par exemple qui est un préservatif (antiseptique) contenant 49% de mercure …. »

Les essais cliniques sont falcifiés, biaisés, bidons.

La majorité des résultats des essais cliniques américains seraient biaisés : Ce sont les conclusions d’une étude publiée dans le Journal of American Medical Association.

Une analyse inquiétante, qui a pourtant été publiée dans le très sérieux Journal of American Medical Association ce mardi.

Selon cet article, la majorité des essais cliniques menés aux États-Unis présenteraient des résultats biaisés.

Read more at : Ce sont les conclusions d’une étude publiée dans le Journal of American Medical Association.

Médicaments : des falsifications massives d’essais cliniques !!

Et pas qu’un peu. Entre avril 2005 et juin 2009, les biologistes désignés comme responsables d’essais cliniques étaient tout simplement… absents de leur labo, au moment où ils étaient pourtant censés mener les tests.

Peut-être se doraient-ils la pilule sur une plage exotique (plutôt que de la tester) ?

Une étrange situation qui s’est reproduite 1900 fois !

En plus de cette « falsification généralisée », la FDA estime aussi que Cetero a modifié a posteriori les résultats de ses études pour parvenir à la bonne conclusion : que le médicament évalué était sacrément efficace et sans danger.

« Les fautes relevées sont suffisamment graves pour susciter des préoccupations quant à l’intégrité de toutes les données générées par Cetero sur cette période de cinq années » a affirmé mardi la FDA dans un communiqué, avertissant par là même les fabricants de médicaments qu’ils pourraient avoir à refaire les études de Cetero intervenues entre avril 2005 et Juin 2010.

Même conclusion du côté de l’auditeur indépendant mandaté par la FDA : « Si le laboratoire est corrompu, les données générées le seront aussi ».

Les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs.

« Un système au mieux incompétent, au pire corrompu par l’industrie pharmaceutique.

Les auteurs fustigent un système gangréné par « le laxisme, la démagogie, l’incompétence et la corruption ».

La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux –

Dr. Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet.

« Il n’est, tout simplement, plus possible de croire une grande partie des résultats des recherches cliniques qui sont publiés, ni de nous fier au jugement de médecins fiables ni aux recommandations médicales faisant autorité.

Cette conclusion ne me fait pas plaisir et c’est une conclusion que j’ai atteint lentement, après deux décennies en tant qu’éditrice en chef du New England Journal of Medicine ».

Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux…

En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique – et cancérologique en particulier :

1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer… sont bidons !

2/ L’Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique.

3/ Des médicaments contre le cancer… qui favorisent le cancer !

Les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées.

Les risques sont cachés par les laboratoires.

Des études cliniques biaisées.

Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs.

Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles.

Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique.

Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo.

Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients.

Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque.

Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo.

L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli.

Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti- arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux.

Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée.

Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.

Le grand mensonge des antidépresseurs.

En fouillant dans les dossiers d’autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis, ils sont tombés sur des études jamais rendues publiques qui montraient l’absence d’efficacité du médicament, excepté pour les malades atteints des dépressions les plus sévères.

Antidépresseurs, mensonges sur ordonnance.

Au terme dune enquête minutieuse, le journaliste Guy Hugnet livre ici toutes les preuves que la mise sur le marché des antidépresseurs (Prozac, Zoloft, Déroxat, Séropram, Effexor, Cymbalta…) est fondée sur des données biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque les véritables données scientifiques sont analysées, il ne reste pas grand-chose !

antidépresseurs, 89 % des études ayant révélé des résultats négatifs ou discutables n’ont pas été publiées dans la littérature scientifique Ce sont les conclusions d’une étude publiée dans le Journal of American Medical Association.

Vous exposez avec précision la façon dont les études sont biaisées, qu’en est-il exactement.

C’est le problème des essais pré-cliniques et cliniques.

Les premiers sont effectués dès lors qu’une molécule est mise au jour par un laboratoire universitaire et attire l’intérêt de l’industrie pharmaceutique.

Ce choix ne se fonde jamais sur des questions de santé publiques mais exclusivement sur l’ampleur du marché et la probabilité de développement rapide de la molécule.

L’industrie parle alors de molécule fertile ou mature.

Les recherches sur une molécule dont le créneau est trop mince ou dont le développement apparaît trop long, sont abandonnées.

Les dirigeants des grands laboratoires misent au «pif», à l’intuition.

Une fois sélectionnée, la molécule est soumise à des essais dits pré-cliniques pendant deux ou trois ans.

Au cours de cette phase, on observe sa toxicité et son efficacité chez l’animal. Environ 90% des molécules testées durant cette étape doivent être rejetées, car trop peu efficaces ou trop toxiques.

Les plus convaincantes vont être alors étudiées chez l’homme pendant quatre à huit ans par des essais cliniques.

J’affirme, avec beaucoup d’autres que tous sont biaisés, filtrés, interprétés, truqués.

Ce sont les laboratoires eux-mêmes qui définissent le nombre de malades à recruter, selon la confiance qu’ils accordent à l’efficacité de la molécule.

Moins la molécule leur semble efficace, plus ils sont contraints de recruter un nombre élevé de patients, pour espérer atteindre un niveau de signification statistique.

Mais même le choix de ces malades est biaisé.

Comment cela?

Les critères d’inclusion, définis par les laboratoires, visent à recruter des personnes plus jeunes et moins malades que dans la vie réelle.

Ensuite, des médecins sont rémunérés au nombre de malades qu’ils recrutent.

De cinq à dix mille dollars.

Ils leur arrivent de ne pas respecter les critères pour réunir le plus grand nombre de malades possible.

Comme les médecins des hôpitaux universitaires sont trop exigeants et très contrôlés par des comités d’éthiques, l’industrie s’adresse de plus en plus aux CRO (Clinical Research Organisation), organismes financés par des laboratoires et chargés de recruter pour elle les malades, de préférence dans des pays low-cost: Europe de l’Est, Afrique, Asie ou Amérique du Sud.

Plus le nombre de pays est important, plus le marché est internationalisé et in fine rentable.

Les essais peuvent se dérouler ainsi dans 5 à 30 pays différents, suivis par 100 à 500 médecins.

Les résultats bruts sont envoyés aux laboratoires. L’industrie pharmaceutique les façonne ensuite.

Et dans le plus grand secret.

Exactement. Les médecins de la firme s’attachent alors à mettre en exergue des résultats positifs, à les magnifier, quitte à masquer des effets secondaires qui pourraient faire de l’ombre à un marché lucratif.

Les accidents cardiaques du Vioxx en sont un bon exemple: ils étaient connus par la firme dès 1999.

Elle ne les a pas communiqués à l’agence du médicament américaine et trois ou quatre ans plus tard, les accidents cardiaques se sont multipliés.

C’est la firme elle-même qui retire alors le médicament en espérant qu’on ne parlerait plus de ces accidents.

Les victimes – on estime qu’il y a eu entre dix mille et quarante mille morts – ont alors porté plainte.

La firme a été condamnée à leur payer 4,7 milliards de dollars.

En France, trois malades seulement ont pu être indemnisés à hauteur de 400.000 mille euros au total.

Il est important que l’industrie pharmaceutique subventionne les recherches universitaires sur le médicament mais il est inacceptable que ceux qui ont menés les recherches soient, après coup, les évaluateurs du médicament.

Ils ne peuvent être juges et parties.

À la fois, experts sur la qualité du médicament et portes voix de l’industrie pharmaceutique.

Je ne vous donnerai pas les noms, mais parmi les universitaires, tout le monde les connaît.

Ce devrait être aujourd’hui l’heure d’un Grenelle du médicament pour remettre à plat toutes ces dérives et parvenir à faire travailler ensemble l’industrie et la recherche publique.

Il faut que l’Etat finance fortement cette démarche sur le CIR (crédit impôt recherche).

Sinon la France restera la lanterne rouge des découvertes de médicaments et entièrement dépendante de l’étranger pour soigner ses malades.

Médicaments rejetés lors des essais cliniques.

Le laboratoire commanditaire des essais cliniques est propriétaire des résultats, il peut décider ou non de les publier dans la presse médicale.

Les médecins investigateurs et les cobayes sont tenus au secret médical.

Malheureusement, ne publier que les résultats positifs ne fait pas avancer la sûreté des médicaments.

La quasi totalité des médicaments candidats sont rejetés pendant les essais cliniques pour cause d’inefficacité ou de toxicité mais on entend rarement parler des effets indésirables subis par les cobayes humains.

De par sa gravité, la tragédie du TGN1412 a fait couler de l’encre et sérieusement remis en question l’utilisation du modèle animal pour développer et tester les médicaments destinés à l’humain.

En mars 2006, six jeunes hommes ont frôlé la mort en participant à un essai clinique pour tester un nouveau médicament, l’anticorps monoclonal TGN1412.

Moins d’une heure après l’injection du médicament, les volontaires se sont plaints de maux de tête, d’une transpiration excessive et de sensations de brûlure.

Dans les heures qui ont suivi, les effets indésirables se sont aggravés avec vomissements et pertes de connaissance.

La tête d’un des jeunes hommes a tellement enflé qu’il avait l’impression qu’elle allait exploser (sa tête avait la largeur de son torse).

Le cou d’un autre volontaire a triplé de volume.

Ils ont tous été placés en soins intensifs et deux d’entre eux ont été plongés dans un coma artificiel.

Par la suite, un des volontaires a dû se faire amputer de trois doigts et tous ses orteils à cause d’une gangrène.

Les six hommes ont tous de graves défaillances d’organes (coeur, reins) et vont probablement développer des cancers d’après le Professeur Richard Powell, de l’Université de Nottingham.

Il dit que ce médicament qui était destiné à soigner les désordres auto immuns comme la sclérose en plaques et la leucémie, encourage au contraire le cancer et les maladies auto immunes chez les six hommes.

90% de non-reproductibilité.

C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.

Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien.

Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts.

Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes.

Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion.

Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité …

bad pharma le côté sombre de l’industrie pharmaceutique.

Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements.

C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé.

Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité.

Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités.

Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace.

Un pionnier de l’ »analgésie multimodale » se révèle être « Le Madoff de la recherche médicale », un pur produit du système…

Car l’anesthésiste Lyrica Pfizer.jpget algologue Scott S. Reuben n’est qu’un épiphénomène d’un domaine de la médecine – la recherche médicale financée par les laboratoires privés – structurellement encore plus vulnérable que les autres aux corruptions, mensonges, conflits d’intérêts et autres fraudes.

Une enquête du gouvernement chinois a révélé que plus de 80 pour cent des données utilisées dans les essais cliniques de nouveaux médicaments ont été «fabriqués».

Le rapport a découvert un comportement frauduleux à presque tous les niveaux

Plus de la moitié des résultats d’études sont faux !

Lors d’un projet baptisé «Reproducibility Project» une équipe de 270 jeunes chercheurs américains ont renouvelé la mise en place d’une centaine d’études afin de vérifier les résultats obtenus en première instance.

Protocoles identiques, échantillons similaires, mais des résultats différents, en gros, moins de la moitié de ces contre-études, à peine 40% des cas, sont arrivées aux mêmes conclusions que les premières recherches.

La revue britannique The Lancet, généralement reconnue comme une des meilleure publications médicales au monde, vient également confirmer ces conclusions :

PHARMA PAPERS : « liens d’intérêts : pas moins de 14 millions de liens ont été répertoriés en France depuis 2012, pour un montant total de plus de 3,5 milliards d’euros versés aux professionnels de « Pharma Papers ».

Influence, opacité, prix exorbitants de certains médicaments, liaisons dangereuses avec les députés et les médecins…

À travers des données inédites, des enquêtes et des reportages, les « Pharma Papers » mettent en lumière tout ce que les labos pharmaceutiques préféreraient que les patients et les citoyens ne sachent pas : les immenses profits qu’ils amassent chaque année aux dépens de la sécurité sociale et des budgets publics en instrumentalisant médecins et décideurs.

1,5 milliard d’euros dépensés par les labos au profit de professionnels de santé ; 100 millions de dépenses de lobbying en 2017 pour les dix plus gros laboratoires pharmaceutiques au monde…

Les chiffres inédits révélés par ce premier volet des « Pharma Papers » donnent le vertige, mais ils sont à la mesure des profits mirobolants accumulés par ces firmes aux dépens des budgets publics et des systèmes de sécurité sociale.

Corruption de l’ansm, commission de transparence…. : tous corrompus.

Les agences du médicaments sont corrompues.

LA FED UN PROJET DES ROTHSCHILD

FED (Réserve fédérale américaine)

La Réserve fédérale américaine (Fed) est la Banque centrale des Etats-Unis. Constituée de 12 banques régionales, les « Regional Reserve Banks », la Fed définit la politique monétaire des Etats-Unis : elle fixe le taux de réserve obligatoire, le taux d’escompte, et elle dirige les opérations d’open market (interventions sur les marchés financiers pour influencer le niveau des taux d’intérêt).

Les décisions prises par la Fed en matière de taux d’intérêt, tout comme les avis sur la conjoncture économique américaine exprimés publiquement par son président, ont un effet d’annonce déterminant sur l’orientation des marchés financiers mondiaux.

Comment la FED fut-elle créée et par qui ?

Ce document est certainement connu de plusieurs d’entre vous, mais il sera de fait certainement utile à plusieurs visiteurs pour mieux comprendre pourquoi la crise évolue aujourd’hui dans le sens d’un chaos de la société occidentale et de la fin du bail de la Réserve fédérale le 21 décembre 2012.

En 1913 un groupe de banquiers internationaux se réunit d’urgence sur l’île de Jekyll (Géorgie, Etats-Unis).

Pour cette réunion secrète, tous les habitants de l’île avaient été évacués.

Des gardes empêchèrent les non invités pour le temps que dura la Conférence.

Par la suite on apprit que, à cette occasion, le “Gouvernement Invisible” du monde occidental avait décidé l’institution du Fédéral Reserve Bank (l’actuelle Banque centrale américaine) qui devait enlever au gouvernement américain et au Congrès leur pouvoir sur l’émission de la monnaie et du crédit ; en cette même occasion, l’orientation de la guerre déjà décidée (1914-1918) avait été aussi arrêtée ».

(Unité National de Montréal – Juin Juillet 1957).

Parmi les objectifs de cette guerre figurait, bien évidemment, la destruction de l’Autriche-Hongrie, puissance catholique, l’élimination de la dynastie des Hohenzollern, mais aussi la création de nouveaux Etats en Europe centrale, ainsi que la révolution russe.

Des centaines de millions d’hommes allaient payer un lourd tribu humain et financier à la suite de cette réunion.

Et ce n’est pas fini puisqu’après avoir contraint les nations à s’engager dans deux guerres mondiales pour accaparer le Pouvoir mondial, les descendants de ces personnages, complotent aujourd’hui le chaos qui doit maintenant être généré « à partir » de l’attentat du 11 septembre 2001, comme nous l’analysions dans l’ouvrage Attentats du 11 septembre 2001 –

A qui profite le crime ?

Mais, pour le moment, revenons à ce qui s’est passé et voyons la portée de cette réunion sur les événements du XXème siècle.

Et pour cela, nous citerons Edward Griffin, auteur d’un livre très intéressant La créature de l’île de Jekyll.

« Le titre du livre, La créature de l’île Jekyll, en dit long sur le contenu de ma présentation.

L’île Jekyll existe vraiment.

Elle se situe au large de la côte de la Géorgie.

Le système de la Réserve fédérale fut conçu sur cette île, en 1910, lors d’une réunion ultra-secrète.

Lorsqu’on opère en secret, on cache habituellement quelque chose.

Tout ce dont je vous entretiendrai fut mis par écrit.

En 1910, un petit groupe de millionnaires de New-York, dont J.P. Morgan, William Rockefeller et leurs associés, possédait l’île Jekyll en totalité.

Leurs familles venaient y passer les mois d’hiver.

L’île servait de lieu de vacances et on l’appelait le Club de l’île Jekyll.

Depuis, l’Etat de la Géorgie a acheté l’île.

On y trouve un pavillon où se trouve une pièce spéciale.

Sur la plaque de laiton fixée à la porte de cette salle, on peut lire : “ le système de la Réserve fédérale fut créé dans cette pièce ”.

On peut accéder à ces informations dans les bibliothèques.

En novembre 1910, le sénateur Nelson Aldrich envoya son train privé à une station de chemin de fer du New-Jersey, tard le soir.

Le train était prêt à le recevoir ainsi que six autres hommes qui venaient à la condition ultime de n’en souffler mot à personne. […]

Le train privé voyagea pendant deux nuits et une journée, parcourant mille milles, jusqu’à une voie d’évitement située à Brunswick, Géorgie.

A partir de là, nos voyageurs prirent un traversier jusqu’à l’île Jekyll.

Pendant neuf jours, ils restèrent autour de la table du pavillon et éclaircirent tous les points importants de ce qui allait devenir le système de la Réserve fédérale.

Lorsqu’ils eurent terminé, ils retournèrent à New York et nièrent une telle réunion pendant un certain nombre d’années. […]

[…] Qui étaient ces hommes ?

Le sénateur Nelson Aldrich, chef de file républicain du Sénat (membre de la Commission monétaire nationale -ce comité spécial du Congrès, créé dans le but d’émettre des recommandations relatives à la réforme législative des opérations bancaires d’Amérique).

Même à cette époque, les Américains s’inquiétaient de laisser tout le pouvoir financier entre les mains d’un petit groupe de banques et de sociétés de placement new-yorkaises.

Ils l’appelaient la Fiducie monétaire (le Money Trust).

Les citoyens voulaient mettre un terme à l’empire de cette dernière. […]

Toutefois, le sénateur entretenait une relation commerciale avec l’homme d’affaires J.P. Morgan.

Ce dernier était le beau-père de John D. Rockefeller fils et devint par conséquent, le grand-père de Nelson Rockefeller, ancien vice-président des Etats-Unis.

Le deuxième homme présent à la réunion se nommait Abraham Piat Andrews, le secrétaire-assistant du Trésor américain.

Plus tard, il devint un membre du Congrès et fut, tout au long de sa carrière, un homme très influent au niveau des milieux bancaires.

Le troisième homme s’appelait Frank Vanderlip, le président de la National Bank de New York.

Benjamin Strong, le directeur général de la J. P. Morgan’s Bankers Trust Company, y assitait également.

Il était probablement l’homme le plus important en ces lieux grâce à ses connaissances bancaires européennes.

Allemand de souche, il se fit naturaliser citoyen américain.

En plus, il entretenait des liens étroits avec son frère Max, le directeur en chef du consortium bancaire Warburg en Allemagne et aux Pays-Bas. Paul Warburg était l’un des hommes les plus riches du monde.

Ces sept hommes qui se trouvaient sur l’île Jekyll, représentaient à eux seuls en ce temps, directement et indirectement, approximative-ment un quart de la richesse planétaire globale.

Voici comment tout cela s’est vraiment déroulé. Frank Vanderlip affirma dans un article du Saturday Evening Post du 9 février 1935 : “Je ne crois pas exagérer en considérant notre expédition secrète sur l’île Jekyll comme une occasion en or de créer ce qui devint le système de la Réserve fédérale, et ce, même si le mot d’ordre voulait que l’on garde ce fait le plus secret possible. […]

Nos noms réunis auraient pu à eux seuls donner une toute autre portée à notre expédition, tant à Washington, qu’à la Bourse de New-York ou même à Londres. Il ne fallait tout simplement pas que l’on nous découvre.”

Pourquoi ?

Vanderlip donne une réponse à cette question dans le même article : “Eventer le secret du rassemblement de notre groupe en particulier et de nos travaux, équivalait à anéantir toutes chances que le Congrès vote la Loi sur le comportement des banques.

” Pourquoi ?

Parce que le but de cette loi consistait à mettre un terme à l’empire de la Fiducie monétaire et croyez-le ou non, cette loi avait été écrite par les membres mêmes de la Fiducie monétaire.

C’est aussi simple que cela.

Si le public avait eu connaissance de cette réunion, le système de la Réserve fédérale n’aurait jamais vu le jour. […]

[…] Ici, nous avons les Morgan, les Rockefeller, les Warburg et ainsi de suite, tous assis à discuter autour d’une table.

[…] Cette transition se produisit à cette période de l’histoire.

Pendant les quinze années qui ont précédé le rassemblement sur l’île Jekyll, les groupes financiers de toutes les industries s’étaient progressivement associés en joint-ventures au lieu de se concurrencer mutuellement.

Ils s’étaient rendu compte que cela fonctionnait. […]

Nous verrons d’ailleurs qu’il ne s’agit aucunement d’une organisation gouvernementale. Il s’agit d’un CARTEL

Ils ont créé un CARTEL bancaire et l’ont rendu légal, conformément à la loi.

Personne n’apprendra cela à l’école.

Un troisième élément s’ajoute à cette histoire : ce CARTEL s’est associé au gouvernement.

Lorsque l’on forme un partenariat, toutes les parties doivent profiter de certains avantages.

Qu’est-ce que le gouvernement gagne avec tout cela ?

Examinons ensemble par quel mécanisme le gouvernement fédéral crée l’argent.

Comment est-ce que l’argent voit le jour ? […]

[…] Le Congrès a besoin d’argent et en quantité beaucoup plus importante que ce qu’il perçoit en impôts.

Les impôts représentent une fraction de ce que le Congrès requiert pour fonctionner.

Comment peut-il dépenser plus que ce qu’il touche en impôts ?

Etudions son mode de fonctionnement…

Supposons que le Congrès ait besoin d’un milliard de dollars pour payer les dépenses du jour. […]

Puis, le Congrès passe par l’imprimerie non pas pour faire imprimer de l’argent, mais plutôt des certificats.

De beaux billets où apparaissent, dans la partie supérieure, un aigle et la mention : Bon du Trésor des Etats-Unis (billet ou promesse, suivant la date d’échéance).

En fait, ce sont des reconnaissances de dettes et le Congrès espère qu’elles inciteront les gens à emprunter au gouvernement en retour.

Plusieurs personnes le font parce qu’elles ont entendu dire qu’il s’agit de l’un des meilleurs investissements à faire. […]

Cela signifie que le gouvernement s’engage solennellement à vous rendre votre argent avec des intérêts, même s’il doit vous prendre tout ce que vous possédez en impôts pour y arriver.

Puis, les représentants du Congrès et du Trésor se rendent ensemble jusqu’à l’immeuble de la Réserve fédérale. La Fed les attend.

Elle rédige immédiatement un chèque d’un milliard de dollars au Trésor des Etats-Unis.

Qui a payé ce milliard de dollars ?

La réponse : il n’existe pas. Il n’y a même pas de compte de chèques, seulement un livret. De l’argent instantané. […]

Le gouvernement peut ainsi accéder instantanément au montant d’argent qu’il désire et au moment qu’il le souhaite, sans avoir besoin de demander l’approbation des contribuables sous forme d’impôt direct. […]

Le gouvernement fait partie de ce partenariat pour cette raison.

Toutefois, on peut se demander pourquoi le CARTEL bancaire y participe également.

Le CARTEL bancaire est impliqué dans ce partenariat parce que le trésorier-payeur général prendra le chèque d’un milliard de dollars et le déposera dans le compte de chèque du gouvernement qui se trouve à la Réserve fédérale.

A ce moment, l’ordinateur indiquera que le compte du gouvernement contient un milliard de dollars instantanés.

Cela signifie qu’à partir de cet instant, le gouvernement peut émettre des chèques gouvernementaux d’un montant égal.

Prenez l’exemple d’un chèque de 100$ libellé au nom d’un employé des postes.

Cette personne ne croirait pas que cet argent n’existait pas deux jours plus tôt. D’ailleurs, elle ne s’en soucierait pas puisqu’elle peut le dépenser.

L’argent se trouve maintenant ailleurs qu’à la Fed ou qu’entre les mains des partenaires du gouvernement, c’est-à-dire du côté bancaire commercial.

Le banquier se dirige alors vers la fenêtre des prêts et annonce : ”Puis-je avoir votre attention s.v.p.?

Nous avons de l’argent à prêter.”

Maintenant, tout le monde est heureux et pourtant, chacun d’entre eux ressent de l’inquiétude face au maigre montant de 100$.

Alors, le banquier les rassure en disant de ne pas s’inquiéter parce qu’il peut leur prêter 900$.

Comment est-ce possible?

Comment est-ce que les banques peuvent prêter un montant de 900$ alors que la somme déposée n’était que de 100$ ?

Voici la réponse.

Le système de la Réserve fédérale exige des banques qu’elles gardent en réserve au moins 10% des dépôts effectués.

Elles doivent conserver $10 par tranche de 100$ et prêter la différence, soit 90$.

Puis, dès qu’un citoyen emprunte ce 90$ et le dépose dans son compte de chèques, le même cercle vicieux recommence et ainsi de suite.

D’où venait tout cet argent ?

La réponse est la même : l’argent n’existait pas.

Il est apparu au moment précis où quelqu’un fit l’emprunt.

Rappelez-vous. L’argent créé à partir de rien et remis au gouvernement, a été dépensé par ce dernier pour réaliser ses projets.

D’autre part, les banques n’ont pas dépensé l’argent créé à partir de rien pour elles, elles nous l’ont plutôt prêté afin que nous réalisions nos projets.

Toutefois, elles perçoivent de l’intérêt sur les prêts !

C’est la raison pour laquelle le CARTEL bancaire est partenaire dans cette affaire.

Tout cela est légal.On charge de l’intérêt sur rien.

Cependant, le processus ne s’arrête pas là.

Quelles en sont les conséquences ?

Cet argent créé à partir de rien se retrouve dans le système économique et ces nouveaux dollars diminuent la valeur de ceux qui y circulent déjà.

On peut comparer ce phénomène au principe de délaiement de la soupe.

Lorsqu’une soupe est trop épaisse, on y ajoute de l’eau pour la diluer.

Les prix commencent alors à augmenter et l’inflation s’abat sur l’économie.

En fait, contre toute apparence, on a l’impression que les prix augmentent. Et le mot apparence est juste.

En théorie, les prix n’augmentent pas. En réalité, la valeur des dollars diminue.

Si l’argent des Américains valait le prix de l’or, de l’argent ou d’un tout autre effet de commerce tangible et qu’il n’ait pas été créé à partir de rien, les prix resteraient fixes. […]

[…] Depuis la création de la Réserve fédérale, nous vivons dans un cycle économique en dents de scie.

Si vous ne pouvez effectuer vos paiements, les banques vous prennent tout.

Ceux qui profitent de votre perte et qui achètent le pouvoir sont le gouvernement et les Cartels Bancaires.

Pour résumer la situation, voici la vérité au sujet de l’argent : soulignons et comprenons d’abord l’importance de certaines réalités fondamentales de notre système bancaire et monétaire.

Tout l’argent que les banques émettent et font circuler est produit sous forme de prêt.

Cet argent comporte donc un coût, c’est-à-dire de l’intérêt.

Lorsque les gouvernements permettent aux banques d’émettre la masse monétaire d’un pays, ils doivent percevoir des taxes afin que les banques puissent récolter de l’intérêt sur l’argent qu’elles ont créé.

Cela dévalorise automatique- ment les citoyens puisque les banques ne créent jamais d’argent pour payer l’intérêt imposé par l’utilisation de leur argent, mais seulement le principal.

En conséquence, pour acquitter l’intérêt, on puise inévitablement dans l’actif du pays et des citoyens par des mécanismes tels que la création de dettes, les faillites et les forclusions.

On prélève, de surcroît, des taxes à la source pour accélérer les processus.

Une société qui admet et qui accepte que l’on utilise l’argent des banques plutôt que sa propre devise créée librement par elle expose inéluctablement ses citoyens au cycle économique des dépressions et au désarroi de la population.

Je ne m’inquiète pas de ces marionnettes placées sur le trône d’Angleterre à la tête de l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais.

L’homme qui contrôle la masse monétaire de Grande-Bretagne contrôle l’Empire britannique et je contrôle la masse monétaire britannique.

Nathan Rothschild

[…] Ce modèle de partenariat fut conçu en Europe, au 16esiècle.

On l’expérimenta et le perfectionna éventuellement avec la formation de la Banque d’Angleterre en 1694.

A partir de cette date, tous les gouvernements européens ont utilisé ce mode de fonctionnement.

Bien entendu, ils ne l’ont pas appelé le mécanisme de Mandragore, mais plutôt la Banque centrale.

Amener ce mode de procédé en Amérique exigeait qu’on le nomme différemment.

Alors, après un long débat, ses créateurs, qui commencèrent par lui trouver le nom “Fédérale”, parce que cela évoquait une opération gouvernementale, optèrent ensuite pour le mot “Réserve” afin que l’on croie à l’existence de réserves en un certain endroit.

Enfin, ils ajoutèrent le mot “Système” parce qu’il semblait beaucoup plus important qu’il en a l’air aujourd’hui.

Souvenez-vous de la première concentration new-yorkaise du pouvoir – ils devaient convaincre les Américains qu’ils créaient un système réunissant plusieurs banques et non une seule.

Construire d’énormes édifices bancaires à travers le pays.

Nous savons maintenant que ce que nous avons obtenu n’a rien de fédéral, que les réserves n’existent pas, qu’en réalité, le système ne répartit pas ses pouvoirs et que les Réserves fédérales ne sont pas des banques.

Ils ont monté cette brillante manipulation de toute pièce puis l’ont vendue aux Américains.

La première ébauche du projet de loi sur la Réserve fédérale s’appelait la Loi Aldrich (the Aldridge Bill) parce que le sénateur Aldrich lui accordait son appui.

Paul Warburg lui déconseilla toutefois d’agir ainsi parce qu’à son avis, le Congrès voterait contre ce projet de loi étant donné qu’on identifiait trop souvent Aldrich à des grandes entreprises.

Toutefois, l’ego du sénateur Aldrich était tellement gonflé qu’il présenta tout de même le projet de loi Aldrich au Congrès.

Warburg avait raison.

Le Congrès refusa de l’accepter.

Ce fut un contre-temps mineur.

Ils retirèrent alors le nom d’Aldrich du projet de loi et trouvèrent quelques démocrates millionnaires (le parti ami des petits contribuables) afin que ceux-ci y apportent leur appui.

Ces hommes s’appelaient Carter Glass, de la Chambre des représentants, et le sénateur Owen, un banquier lui-même très respecté au sein du Sénat.

Puis, on changea le nom du projet de loi pour le Glass-Owen (the Glass-Owen Bill).

Aldrich et Vanderlip commencèrent alors à répondre à des entrevues pour condamner le projet de loi… qu’ils avaient eux-mêmes écrit.

Ils affirmaient que ce système ruinerait les banques et la nation. Le grand public se dit alors : “ si les grands banquiers ne sont pas en faveur de ce projet de loi, il doit alors s’agir d’un très bon système.

” Une grande déception planifiée !

Il va sans dire que l’on comprenait parfaitement le fonctionnement de la psychologie de masse.

Pendant ce temps, les mêmes individus finançaient secrètement des messages pour louanger le nouveau projet de loi sur la Réserve fédérale.

Ils donnèrent de l’argent aux universités.

Ils établirent de nouveaux départements d’économie.

Ils sélectionnèrent les professeurs et les directeurs de ces départements parmi leurs gens.

Ces professeurs commencèrent à vanter les mérites de ce nouveau et merveilleux système. […]

(…) La Loi fut adoptée majoritairement le 22 décembre 1913, avec l’appui du Congrès et du public.

La créature quitta finalement l’île Jekyll pour s’installer dans le district fédéral de Washington.

[…] Alan Greenspan, président de la Réserve fédérale affirme qu’ils font cela pour aider les gens, pour stabiliser l’économie, afin que le peuple américain n’ait pas à subir une inflation démesurée !

Depuis sa création, la Réserve fédérale a présidé les Krachs de 1921 et 1929, la Grande dépression de 1929-1939, les récessions des années 53, 57, 69, 75 et 81 et le lundi noir de 1987, où 22% des valeurs totales de la Bourse chutèrent en une journée.

Nous savons tous que la dette des entreprises monte en flèche, que les dettes personnelles s’accroissent démesurément.

Les faillites d’entreprises et personnelles n’ont jamais été si nombreuses.

Les banques et les sociétés de crédit immobilier n’ont jamais essuyé un si grand nombre d’échecs.

L’intérêt sur la dette nationale ronge la moitié de nos dollars imposés.

L’industrie lourde est maintenant presque entièrement remplacée par des compétiteurs outre-mer.

Pour la première fois dans l’histoire, nous faisons face à une balance commerciale internationale déficitaire.

Des étrangers possèdent maintenant 75% du quartier centre de Los Angeles et des autres régions métropolitaines.

Plus de la moitié de la nation est officiellement en récession.

Voici les résultats scolaires obtenus par le système de la Réserve fédérale après 80 années d’une prétendue stabilisation de notre économie.

La Fed n’a pas atteint ses objectifs.

Pourquoi ? Parce que ces derniers n’ont jamais été ses buts réels!

Quels sont les véritables objectifs de la Fed ?

Quels buts réels un CARTEL quelconque peut-il viser ?

Tous deux cherchent à accroître les marges bénéficiaires des membres et à stabiliser leur situation sur le marché.

En gardant cela à l’esprit, une image différente s’offre maintenant à nos yeux.

Ils remportent un grand succès.

Les banquiers de l’île Jekyll voulaient atteindre trois objectifs :

1- Mettre un terme à l’éparpillement de leur pouvoir pour le concentrer à New-York. (…)

2- Renverser la tendance de ce qu’ils appelaient la formation du capital privé.

Ils ne voulaient pas que les individus dépensent leur propre argent.

Ils désiraient que tout le monde aille à la Banque pour se procurer de l’argent.

En début de siècle, la formation de capital privé tendait à s’établir et plus particulièrement en affaires.

Les entreprises investissaient certains de leurs profits dans un fonds.

Ce capital prenait de la valeur, puis les dirigeants de ces entreprises utilisaient leur propre argent pour construire des usines, organiser la recherche et le développement ou pour faire quoi que ce soit d’autre.

Les banques n’appréciaient pas cette tendance.

Elles voulaient inciter les entreprises à recommencer à emprunter leur argent. […]

3- Transférer les pertes inévitables des banques aux contribuables au nom de la protection des gens.

Ceux- ci sont les véritables objectifs de la Réserve fédérale.

Quel fut le bilan de cette « opération » ?

1- Ont-ils réussi à garder le contrôle en ce qui a trait aux grandes banques new-yorkaises ?

Oui !

2- A-t-elle réussi à renverser la tendance à former du capital privé ?

Oui !

La réduction des taux d’intérêt durant certaines périodes allécha les individus et les entreprises à un point tel qu’il eût été fou de ne pas en tirer profit.

Pourquoi économi -ser votre argent ?

C’est stupide ! Alors, ces derniers se ruèrent dans les banques et empruntèrent considérablement.

Puis, l’économie vacilla.

Par conséquent, ils ne purent rembourser leurs dettes et durent déclarer faillite.(…)

Une fois encore, la Réserve fédérale obtient un “ A ” grâce à sa devise souple.

Elle est parvenue à renverser la tendance de la capitalisation privée.

3- Transférer les pertes inévitables des banques aux contribuables au nom de la protection des gens.[…]

Des entreprises majeures telles la Penn Central Railroad and Lockheed Corporation en 1970, laCommonwealth Bank of Detroit en 1972, la ville de New York en 1975, la Chrysler Corporation 1978, la First Pennsylvania Bank en 1980, la Continental Illinois, la plus importante banque à ce jour, en 1982 et de nombreux pays, qui n’arrivaient pas à effectuer les paiements auparavant, les font maintenant grâce à l’argent prêté par le Fonds monétaire international et la World Bank.

Ces derniers ont obtenu cet argent de la Réserve fédérale qui l’a, elle, obtenu de vous et moi à travers le mécanisme de Mandragore.

Comme dernier sujet de ce chapitre, nous aborderons le thème de l’usure. Qu’est-ce que l’usure ?

Un intérêt de taux excessif.

Autrefois (au temps biblique), on définissait l’usure comme un intérêt sur un prêt.

Aujourd’hui, cela signifie intérêt excessif sur un prêt.

Thomas Edison disait que les gens qui ne contribuaient en rien à un projet, en récoltaient plus d’argent que ceux qui y investissaient tout le travail et les matériaux.

Je me suis imaginé que sur le prix d’une maison de 100.000$, 30.000$ serviraient à payer les frais de l’architecte, le terrain, les permis, etc.

Le reste de l’argent, soit 70.000$, permettrait de payer les matériaux de construction et les travailleurs.

J’ai supposé que l’acheteur irait à la banque pour déposer 20% du montant total et faire un emprunt sur 30 ans à un taux d’intérêt de 10%.

En calculant tout cela, vous arriverez à la même conclusion que moi : l’acheteur payera plus de 172.741$ en intérêt à la banque, comparativement aux 70.000$ versés aux travailleurs.

En d’autres termes, la banque gagnera 2,5 fois plus que les autres.

Cet argent fut créé à partir de rien.

Charger 172.741$ d’intérêt sur rien est excessif.

Il est temps de donner une nouvelle définition au mot usure : tout intérêt chargé sur tout prêt d’argent créé à partir de rien.

Cet exemple de maison de 100.000$ ne représente qu’un infime petit grain de sable dans le désert du Sahara.

Vous devez multiplier ce procédé par toutes les maisons, tous les hôtels et les gratte-ciel, tous les avions à réaction, les automobiles, les usines, tous les entrepôts et sur toutes les fermes et leurs équipements de l’Amérique pour obtenir le montant récolté par les banques.

On parle ici d’une rivière de richesses non gagnées et flottant continuellement à l’intérieur du CARTEL bancaire qui est tellement éparpillé qu’il nous est impossible à imaginer.

La somme totale dépasse tout entendement. Cet argent devrait revenir à ceux qui travaillent pour le produire et non à ceux qui ont monté un extraordinaire racket !

Où va cet argent?

Lorsqu’on possède tout l’argent nécessaire pour s’offrir tous les petits plaisirs de la vie, que reste-t-il à acquérir ?

Le POUVOIR !

Les membres du CARTEL bancaire utilisent cette rivière de richesses pour se procurer le pouvoir à nos dépens.

Ils achètent le monde avec cet argent.

Ils contrôlent les sociétés et les institutions qui offrent leurs directions et leurs orientations à des gens qui dépendent, vivent et agissent en fonction de ces dernières.

Sur le plan technique et en termes sociologiques, on les appelle des centres de pouvoirs.

Ils achètent l’influence et le contrôle de leurs dirigeants.

Ce qui signifie qu’ils achètent politiciens, partis politiques, réseaux de télévision, réseaux câblés, journaux, magazines, agences de publicité, agences de presse, studios cinématographiques, universités, syndicats de travailleurs, organismes religieux, associations commerciales, institutions à but non lucratif, sociétés multinationales, mouvements de scoutisme pour garçons et filles, et ainsi de suite.

N’importe quel groupe qui exerce une influence constitue une cible parfaite pour accroître ce contrôle.

Et plus précisément, ceux qui s’opposent à eux.

Ce phénomène existe dans la plupart des pays industrialisés.

Il est absolu dans plusieurs pays en voie de développement.

Ils ont acheté ces pays. »

Voilà la cause profonde de la grande misère du monde… et l’une des raisons majeures pour laquelle l’attentat du 11 septembre 2001, à New York, devait servir d’événement catalyseur pour une Troisième Guerre mondiale, comme il en fut de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, en juin 1914, pour la Première Guerre mondiale.

Le système mis en place à l’issue de cette réunion sur l’île de Jekyll est en train de s’écrouler littéralement, comme l’a annoncé David Rockefeller en 1994… 2012 verra donc bien cette “bonne crise majeure”.

LA MONNAIE EUROPEEN

La grande arnaque européenne

Le modèle qui nous a été vendu comme un progrès immense et une source de richesses incalculables est en fait un édifice pourri et totalitaire.

Années après années les peuples européens se réveillent lentement comme après une nuit trop longue et le réveil est plus que douloureux, des millions d’européens otages de leurs gouvernements se rendent compte que l’union européenne est en réalité un vampire polyforme qui se nourrit de la productivité et de la force des individus au profits d’intérêts obscurs et étrangers.

Au départ, dans les années 1950 l’objectif était noble : empêcher de nouvelles guerres européennes en mettant en commun des ressources comme le charbon ou l’acier nécessaires à la production militaire.

Dans les années 1960 l’objectif était la simplification, le traité de fusion imposait que les pays membres soient dirigés par une entité basée à Bruxelles.

En 1987, le rôle du Parlement européen a été renforcé afin de devenir un parlement « supra- national » ayant un droit de regard sur les mesures législatives prises au sein de chaque état.

Puis les choses s’accélèrent ; 1992 : Traité de Maastricht, 1997 : traité d’Amsterdam, 2001 : traité de Nice.

La perte inacceptable de notre pouvoir de décision s’est opérée au fil des traités et des décrets en endormant à chaque fois l’électeur à coup de campagnes de propagandes et en faisant culpabiliser l’européen sur son passé: nous sommes (entre autre) les méchants blancs colonisateurs qui doivent expier pendant des milliers d’années.

L’euro mis en circulation le 1er janvier 2002 est sans doute la plus grande fumisterie de l’histoire de notre continent.

L’idée d’une monnaie unique n’est pas une mauvaise chose en soi, je me souviens que les arguments largement diffusés grâce à la machine de propagande d’état mise en branle étaient saisissants de bon sens, ainsi cette nouvelle monnaie allait nous permettre de voyager dans tous les pays membres de l’UE en utilisant les mêmes pièces et les mêmes billets, cette nouvelle monnaie allait également nous permettre de conclure des transactions plus facilement avec les états étrangers, et voir même de concurrencer le dieu-dollar sur les marchés financiers, bref, il fallait être irresponsable pour ne pas accepter.

Effectivement à l’époque tout semblait rose, et même les plus euro- sceptiques ne trouvaient que peu d’arguments à opposer à cette nouvelle monnaie européenne.

Bien des années après, le constat est glaçant.

Premièrement, il est indiscutable que l’euro a engendré une hausse des prix, et ce, dans tous les domaines de la vie courante, le fameux « pouvoir d’achat », notion pré- fabriquée devenue un argument électoral de plus : les politiciens promettent toujours de préserver le « pouvoir d’achat » avant une élection, mais c’est au « pouvoir de vendre » qu’ils pensent.

Les gouvernements français n’ont pas hésité à sacrifier l’emploi en permettant aux industriels de délocaliser en masse pour revendre les mêmes produits avec une marge délirante à ceux qu’ils avaient licenciés.

Quand ils prétendent protéger le pouvoir d’achat, ils protègent le formidable pouvoir des banques et organismes de crédit sur les individus, car en courant au pouvoir d’achat, devenu le saint Graal des ménages français, on court en fait à l’endettement et à l’extinction de notre réel pouvoir de décision, ceci est vérifiable à l’échelle humaine, mais également à l’échelle des entreprises, des collectivités et des états.

L’euro a participé à l’abaissement du niveau de vie des peuples et donc à l’enrichissement des banques, tout cela fait partie intégrante du plan de l’UE, la monnaie unique n’est que l’aboutissement du désir des institutions européennes d’asservir les peuples et les états, encore une fois l’état français est complice de la lente mise à mort de son peuple.

Un individu endetté est un individu docile, un individu endetté est un individu malléable, un individu endetté et sensible à des arguments électoraux liés au pouvoir d’achat !

Lorsqu’un état européen permet à ses entreprises de délocaliser des forces de production, il participe à l’appauvrissement de son peuple en créant du chômage, mais il contribue surtout à faire émerger des pays qui eux-mêmes se sont endettés auprès des banquiers internationaux.

La manœuvre vise à s’assurer que ces pays « émergents » règlent bien les intérêts de leurs emprunts faramineux (le capital n’a que peu d’importance): voilà la grande arnaque européenne dont nous, les peuples sommes les seules victimes.

Le modèle qui nous a été vendu comme un progrès immense et une source de richesses incalculables est en fait un édifice pourri et totalitaire.

Années après années les peuples européens se réveillent lentement comme après une nuit trop longue et le réveil est plus que douloureux, des millions d’européens otages de leurs gouvernements se rendent compte que l’union européenne est en réalité un vampire polyforme qui se nourrit de la productivité et de la force des individus au profits d’intérêts obscurs et étrangers.

Au départ, dans les années 1950 l’objectif était noble : empêcher de nouvelles guerres européennes en mettant en commun des ressources comme le charbon ou l’acier nécessaires à la production militaire.

Dans les années 1960 l’objectif était la simplification, le traité de fusion imposait que les pays membres soient dirigés par une entité basée à Bruxelles.

En 1987, le rôle du Parlement européen a été renforcé afin de devenir un parlement « supra- national » ayant un droit de regard sur les mesures législatives prises au sein de chaque état.

Puis les choses s’accélèrent ; 1992 : Traité de Maastricht, 1997 : traité d’Amsterdam, 2001 : traité de Nice.

La perte inacceptable de notre pouvoir de décision s’est opérée au fil des traités et des décrets en endormant à chaque fois l’électeur à coup de campagnes de propagandes et en faisant culpabiliser l’européen sur son passé.

L’euro mis en circulation le 1er janvier 2002 est sans doute la plus grande fumisterie de l’histoire de notre continent.

L’idée d’une monnaie unique n’est pas une mauvaise chose en soi, je me souviens que les arguments largement diffusés grâce à la machine de propagande d’état mise en branle étaient saisissants de bon sens, ainsi cette nouvelle monnaie allait nous permettre de voyager dans tous les pays membres de l’UE en utilisant les mêmes pièces et les mêmes billets, cette nouvelle monnaie allait également nous permettre de conclure des transactions plus facilement avec les états étrangers, et voir même de concurrencer le dieu-dollar sur les marchés financiers, bref, il fallait être irresponsable pour ne pas accepter.

Effectivement à l’époque tout semblait rose, et même les plus euro- sceptiques ne trouvaient que peu d’arguments à opposer à cette nouvelle monnaie européenne.

Bien des années après, le constat est glaçant.

Premièrement, il est indiscutable que l’euro a engendré une hausse des prix, et ce, dans tous les domaines de la vie courante, le fameux « pouvoir d’achat », notion pré- fabriquée devenue un argument électoral de plus : les politiciens promettent toujours de préserver le « pouvoir d’achat » avant une élection, mais c’est au « pouvoir de vendre » qu’ils pensent.

Les gouvernements français n’ont pas hésité à sacrifier l’emploi en permettant aux industriels de délocaliser en masse pour revendre les mêmes produits avec une marge délirante à ceux qu’ils avaient licenciés.

Quand ils prétendent protéger le pouvoir d’achat, ils protègent le formidable pouvoir des banques et organismes de crédit sur les individus, car en courant au pouvoir d’achat, devenu le saint

Graal des ménages français, on court en fait à l’endettement et à l’extinction de notre réel pouvoir de décision, ceci est vérifiable à l’échelle humaine, mais également à l’échelle des entreprises, des collectivités et des états.

L’euro a participé à l’abaissement du niveau de vie des peuples et donc à l’enrichissement des banques, tout cela fait partie intégrante du plan de l’UE, la monnaie unique n’est que l’aboutissement du désir des institutions européennes d’asservir les peuples et les états, encore une fois l’état français est complice de la lente mise à mort de son peuple.

Un individu endetté est un individu docile, un individu endetté est un individu malléable, un individu endetté et sensible à des arguments électoraux liés au pouvoir d’achat !

Lorsqu’un état européen permet à ses entreprises de délocaliser des forces de production, il participe à l’appauvrissement de son peuple en créant du chômage, mais il contribue surtout à faire émerger des pays qui eux-mêmes se sont endettés auprès des banquiers internationaux.

DETTE EUROPEENNE ARNAQUE ?

CAUSE DE LA CRISE FINANCIERE SYSTEMIQUE EUROPEENNE

Nous avons vu précédemment comment Rothschild et comparses ont créé la FED.

A présent, considérons ce que l’on pourrait nommer « suite logique » de cette opération financière en Europe :

En 1973, Georges Pompidou est Président de la République française, fonction qu’il exerce du 20 juin 1969, jusqu’à sa mort, le 2 avril 1974.

Un « détail » de son parcours précédent cette dernière fonction est assez significatif : Il entre avec l’appui d’un ami, René Fillon, à la banque …… Rothschild en 1954 jusqu’en 1958, en tant que Directeur-général et administrateur de nombreuses sociétés.

Ce fut pour lui l’occasion de participer à la vie économique du pays, d’accroître le champs de ses compétences et d’établir un éventail plus large de relations.

C’est tout de suite après qu’il entre en politique pour devenir Directeur de Cabinet du Président d’alors, Charles De Gaulle.

L’affaire devient pour le moins scabreuse quand, avec la complicité du ministre des finances, Valéry Giscard d’Estaing, il promulgue, sans pour autant consulter la population par referendum, l’article 25 de la loi 73-7, surnommée précisément, non sans une ironie pleine de lucidité par ses adversaires la « Loi Rotschild ».

(Elle fut abrogée dès l’application de son « européisation » :

L’Article en question, sous prétexte d’éviter l’inflation, fut élaborée à l’initiative conjointe du gouverneur de la Banque de France, Olivier Wormser, et du ministre de l’économie et des finances, Valéry Giscard d’Estaing.

Il interdit, désormais, à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la Banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt.

Ce qui signifie qu’avant cette « signature », l’État français avait le droit de battre monnaie, mais, depuis cette date fatidique, il perd ce droit, légué, désormais, aux banques privées, qui en profitent pour s’enrichir aux dépends de l’État en lui prêtant avec intérêt l’argent dont il a besoin.
Cette décision correspond à une privatisation de l’argent et ramène la nation au même rang que n’importe lequel de ses citoyens.

L’accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là.

Voici en effet un graphique représentant l’évolution de la dette, avec et sans intérêt.

La courbe rouge représente bien sûr la dette constatée, calculée avec les intérêts.

C’est ainsi que la dette à fin 1979 était de 239 milliards d’euros (en monnaie actuelle), déjà injustifiables ; la dette à fin 2008 s’établit à 1327 milliards d’euros.

Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts.

1327 – 1306 = 21 Milliards d’Euros : Si nous avions pu créer notre monnaie — faire exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées —, la dette publique serait quasiment inexistante aujourd’hui.

Cependant, l’histoire ne s’arrête pas là.

Ce qui fut amorcé avec la création de la FED et concrétisé en France (qui est à l’origine, rappelons-le, de « l’idée de créer l’Europe », car si Winston Churchill a proposé la création des Etats-Unis d’Europe lors d’un discours à l’Université de Zurich, le 19 septembre 1946, c’est le ministre français des affaires étrangères, Robert Schuman, qui rendit cette collaboration effective dans son discours du 9 mai 1950, au cours duquel il proposa de mettre les ressources en charbon et en acier sous une Haute Autorité commune à la France et à la République fédérale d’Allemagne, et à tout autre pays désirant y adhérer.)

Ce qui fut donc amorcé dans la création de la FED outre- atlantique et concrétisé en France dans l’article 25 de la loi 73-7 (ou « Loi Rothschild »), devait s’européaniser, pour ainsi dire.

C’est ainsi que, dans l’objectif de mise en conformité du statut de la banque de France avec les obligations issues du Traité de Maastricht, la loi a été abrogée par l’article 35 de la loi n°93-980 du 4 août 1993, relative au statut de la Banque de France et à l’activité et au contrôle des établissements de crédit, l’abrogation ayant pris effet à la date d’installation des nouveaux organes de l’institution, soit au plus tard le 1er janvier 1994.

l’ abrogation fut remplacée par son équivalent au format européen, c’est-à-dire :

L’Article 104 du Traité de Maastricht.

Intégration de la Banque de France
au système européen de banques centrales :

Voici la description de l’Article 104, européanisation de la « Loi Rothschild » :

Article 104

  1. Il est interdit à la BCE et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées “banques centrales nationales”, d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la BCE ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite.

Quelques années ensuite, le Traité de Lisbonne, signé le 13 décembre 2007 à Lisbonne entre les vingt-sept États membres de l’Union européenne, qui transforma l’architecture institutionnelle de l’Union vint substituer l’Article 104 en son équivalent (encore une fois) :

L’Article 123 :

Selon cet Article, il est toujours interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédits aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres.

L’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. »

L’article 123 reprend l’article 104 du traité de Maastricht, également identique à l’article 181 du traité constitutionnel européen.

En conclusion : L’abrogation radicale de l’Article 123 du Traité de Lisbonne est indispensable au recouvrement de la santé économique des pays européens.

IL FAUT L’EXIGER PAR TOUS LES MOYENS POSSIBLES….

De plus, si les « volontaires » arrivent par « tous les moyens » à cette abrogation, le refus de payer les intérêts des intérêts des intérêts des intérêts (à la façon islandaise) est indispensable.

Quand on pense que l’Espagne a payé trois fois sa « dette réelle » depuis longtemps…

MESURE DE L’INFLATION : L’ARNAQUE DU 21 EME SIECLE

Vous pensez que la hausse des prix ou l’évolution de votre niveau de vie n’a rien à voir avec les explications chiffrées et officielles relayées par les médias ?

Vous avez bien raison !

Selon les autorités, si vous ressentez que les prix montent plus que les mesures officielles d’inflation et les indices des prix, vous êtes victime d’hallucination.

« Les Français perçoivent une inflation légèrement plus forte que l’année dernière.

Ils estiment son taux annuel à 11,2 % contre 10,5 % en 2010.

Cette augmentation de l’inflation se confirme bien dans les faits, le taux d’inflation annuel étant passé de 1,6 % à 2,2 %.

Néanmoins (…) le décalage entre la perception et la réalité demeure fort ».

La perception et la réalité …

Voilà qui laisse rêveur

La perception statique des Français, grossière et excessive, amplifierait l’inflation ; en revanche, la perception dynamique des Français minimiserait l’augmentation de l’inflation.

Étrange, n’est-ce pas ?

Cette enquête nous apprend aussi que les femmes sont plus pessimistes que les hommes dans leur anticipation du taux annuel d’inflation (13,2 % contre 7,9 %) et que l’inflation est ressentie comme plus pesante parmi la population à faible revenu.

Le plus souvent ce sont les femmes qui tiennent le budget du ménage et font les courses.

À madame Michu et son panier de la ménagère, « on ne la fait pas ».

De même, les dépenses alimentaires et d’énergie pèsent plus lourd dans les foyers à revenus modestes.

N’en déplaise aux économistes, statisticiens et politiciens, et même si ça sent la soupe aux choux, la réalité est du côté de madame Michu !

Le reste n’est que manipulation chiffrée.

De la monnaie, de l’inflation et de sa mesure ….

Qui contrôle la monnaie ?

Les gouvernements, par l’intermédiaire de leur banque centrale.

Qui mesure l’inflation ?

Les gouvernements, par l’intermédiaire d’un bureau ou d’une agence dédiée aux statistiques publiques.

Qu’est-ce que l’inflation ?

Toujours et partout un phénomène monétaire – donc voulu par le gouvernement – : l’accroissement de la masse monétaire.

À quoi sert l’inflation ?

À calmer le bon peuple en distribuant de l’argent créé à partir de rien, qui ne repose sur aucune richesse, à éroder des dettes.

Ceci revient en fait à prélever un impôt sur l’épargne du bon peuple naïf.

L’inflation profite aux débiteurs (cigales) et nuit aux créditeurs (fourmis).

Aujourd’hui, les États sont des débiteurs chroniques, de monstrueuses cigales.

Vous connectez deux ou trois neurones avec quelques synapses … et hop !

Vous avez une révélation fulgurante …

Un gouvernement endetté se doit de :

Créer de l’inflation pour plumer les fourmis (financièrement, c’est possible, même si c’est biologiquement choquant).

Minimiser l’inflation pour rassurer sur la qualité de sa monnaie (il ne faut pas que la fourmi s’aperçoive qu’elle est plumée).

Cinq biais statistiques courants sont utilisés à cette fin :

L’inflation pour esprit pur (l’inflation mesurée hors alimentation et énergie).

L’effet qualité (le produit est plus cher, mais tellement meilleur que madame Michu en a « plus » pour son argent).

L’effet d’auto-ascèse (comme le produit est plus cher, madame Michu en met moins dans son panier).

L’effet pondération (le Nutella a augmenté, mais regardez comme l’iPad a baissé.

( L’indice va favoriser l’iPad par rapport au Nutella).

Maintenant vous voilà beaucoup mieux armé.

Mais il vous manque l’essentiel.

Comment mesurer un rendement ou un retour sur investissement de façon fiable, c’est-à-dire net d’inflation ?

Comment obtenir une vraie mesure réaliste de l’inflation ?

C’est impossible.

Tout au moins en France.

Aux États-Unis, il existe un organisme privé piloté par John Williams, qui commente les chiffres officiels et démonte les trucages statistiques.

Mesuré avec la méthode en vigueur dans les années 1980, l’inflation aux États-Unis dépasse 7 %.

Mesuré avec la méthode en vigueur avant Clinton, le chômage s’établit en fait à plus de 23 % (et non 9 % comme affiché avec la méthode courante).

On nous aurait menti ?

Pendant ce temps, de brillants économistes – qui n’ont jamais vu venir aucune crise – vous assurent que le chômage maintiendra les prix à la baisse !

Dans les années 1970 à 1980, vous avez eu la hausse des prix et des salaires.

Dans les années 2010 à 2020, vous connaîtrez, dans les pays surendettés, la hausse des prix et la baisse des salaires.

La plus grande arnaque de tous les temps se déroule sous nos yeux en ce moment.

L’escroquerie est tellement énorme qu’elle est encore peu visible.

On vous fait croire que la création monétaire actuelle, qu’elle soit en Dollar, en Euro, en Yen, en Livre Sterling ou même en Franc Suisse, n’a et n’aura aucune influence sur la hausse des prix.

L’arsenal statistique est distordu pour que la réalité colle à cette fiction.

Comme disait Mark Twain « les faits sont têtus.

Il est plus facile de s’arranger avec les statistiques ».

LES BANQUES

Cette semaine, les médias nous ont démontré par A + B que les banquiers étaient tous des voleurs.

Les banquiers ont une très mauvaise réputation.

Pour une raison toute simple.

Quand ils mettent de l’argent à notre disposition pour acheter une voiture, nous possédons immédiatement notre voiture et nous remboursons ensuite, mois après mois, notre emprunt.

Mais une fois le contrat terminé, nous avons donné au banquier bien plus d’argent que ce que valait la voiture neuve : nous avons en effet payé des intérêts en plus.

Tandis que la voiture que nous possédons vaut bien moins cher : c’est une voiture d’occasion.

Pour rédiger le contrat d’emprunt que nous avons passé, notre banquier a travaillé moins d’une heure.

Ensuite, sans rien faire, il met tous les mois de l’argent dans ses poches.

C’est l’argent qui travaille à sa place.

Il gagne de l’argent sans rien faire.

Comme le meunier qui dort, tandis que le vent fait tourner son moulin.

Pendant des siècles, la religion catholique a condamné le prêt à intérêt.

Ce qui a parfois mis en difficulté les rois de France.

Par contre, les religions protestantes ne l’ont pas fait.

Les rois d’Angleterre ont ainsi pu emprunter de l’argent pour disposer, avant les rois de France, de biens jugés utiles au royaume.

La religion juive n’a pas été opposée à la perception d’un intérêt.

Les Juifs ont ainsi eu en France le quasi-monopole des prêts avec intérêt.

Heureux prêteurs !

Puis, avec la Révolution, le prêt à intérêt est devenu légal en France.

Le gouvernement révolutionnaire a donc emprunté sans retenue, avec les assignats.

Les désordres économiques qu’il a ainsi déclenchés font que les Français n’ont pratiquement pas hésité à donner le pouvoir à un général corse appelé Napoléon Bonaparte…

Pratiquement tout le monde semble très satisfait d’avoir vu notre gouvernement imposer les fameux bonus.

Il punissait ainsi en leur nom les vilains banquiers.

Il y a certainement des banquiers voleurs et malhonnêtes.

Mais, comme pour les médecins, les salariés ou les députés, leur proportion ne dépasse probablement pas 10 %.

Dans une économie mondialisée comme la nôtre, les pays qui imposeront davantage leurs banquiers les chasseront.

Les banquiers suisses, ou surtout les banquiers par Internet, auront bien plus de clients.

Il y a certainement des banquiers qui ont su gagner honnêtement beaucoup d’argent du fait de la crise.

Mais ceux qui en ont souffert sont bien plus nombreux.

Malheureusement, depuis 1970, le mal qui introduit le chômage dans notre pays a pour nous une cause évidente.

C’est l’imposition des entreprises.

Car plus on impose les entreprises, plus les prix de ce qu’elles vendent augmentent.

Pour lutter contre cette inflation par les coûts, la banque centrale n’a qu’un moyen à sa disposition : rendre le crédit plus coûteux pour réduire la demande de crédit, donc le niveau de vie des consommateurs.

Ils achèteront moins de voitures.

D’autant plus que la prime à la casse va être fortement réduite en 2010.

Que l’entreprise soit celle du boulanger qui fabrique le pain, du constructeur qui nous vend à crédit une voiture ou du banquier qui nous prête de l’argent, toute augmentation de ses impôts est automatiquement reportée sur le prix de ce que nous achetons.

À moins que la concurrence étrangère ne s’y oppose et ne les pousse à délocaliser.

Imposer plus les banques françaises dans le dessein apparent de les punir apparaît donc comme une grave erreur.

Cela appauvrit finalement le peuple et augmente le chômage.

Mais, en France, on préfère l’enfer fiscal au paradis fiscal…

Car on est persuadé que c’est vraiment les vilains banquiers qui vont payer…

LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Le Professeur de Harvard, Robert Stavins a jeté, le mois passé, un pavé de plus dans la mare.

Une révélation de plus

Chaque jour des voix s’élèvent pour dénoncer les tripotages des gouvernements, des officines liées à l’ONU, du GIEC et des organisations écologiques diverses pour faire croire au réchauffement climatique et même aux « changements climatiques ».

Dernièrement dans un meeting sur le climat à Berlin, trois-quarts d’un document aurait été volontairement effacé pour dissimuler des vérités.

Ce professeur était l’un des deux coordinateurs d’un rapport clé qui devait être publié par l’ IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change).

Ce rapport était lié à la coopération entre les pays pour la réduction des émissions carbonées.

Il a été profondément affecté lorsqu’il était dans ce groupe de travail, où lui et un autre scientifique étaient entourés par une cinquantaine d’officiels gouvernementaux.

Les réunions sur le climat sont toutes noyautées par des politiciens de tous les pays.

La plupart d’entre eux lui ont dit que son texte n’était pas en ligne avec leurs intérêts et les négociations multilatérales qu’ils avaient menées par ailleurs.

En clair les conclusions des scientifiques dérangeaient leurs combines.

Beaucoup de ces politiques travaillent sur un nouveau traité qui remplacerait le protocole de Kyoto en 2015 (encore un traité opaque).

L’une des conclusions faites par ce Professeur est que le contenu de tous ces rapports est dicté par des politiques.

Nous n’avons malheureusement pas les détails de ce que les gouvernements ont dicté, ni quels pays était impliqués.

Nous avons compris que presque tous les pays importants étaient représentés.

Mais ceci démontre bien que les citoyens n’ont pas accès aux vraies informations.

Que tous les rapports qui sont publiés sur le climat ne valent rien.

Les motivations des États sont financières.

Les États menant des politiques de dilapidation de l’argent public, cherchent par tous les moyens de gonfler leurs recettes.

La trouvaille qui marche : faire peur aux citoyens avec les supposées catastrophes climatiques.

Ainsi de sombres tractations aboutissent à des propagandes alarmistes :

– La température du globe augmente.

C’est totalement faux.

La température moyenne de notre planète n’a plus bougé depuis 17 ans.

– C’est le CO2 qui est responsable du changement climatique.

Faux.

On sait qu’une grande partie de CO2 profite à la croissance végétale, et que les océans absorbent une partie du CO2, qui aboutit à la précipitation de carbonates.

Les vrais scientifiques savent que c’est le soleil qui détermine le climat.

– L’eau des océans monte.

Oui de quelques millimètres.

On est très loin des prévisions catastrophistes qui annonçaient pour la fin du siècle la disparition de pays entiers.

En réalité, la hauteur des océans a toujours fluctué au cours des ères.

Il faut revoir ses connaissances sur la tectonique des plaques et sur le volcanisme très actif.

La Terre est une planète tellurique, apparemment les politiciens ne le savent pas.

– Les glaciers fondent au Pôle nord.

Oui partiellement, mais ils s’agrandissent au Pôle Sud.

Nous pourrions continuer d’égrener encore beaucoup de fables que l’on nous raconte.

Toutes ces calamités supposées sont des prétextes pour vous taxer : votre chauffage, votre carburant, votre électricité… et tout le reste, puisque tout ce que nous consommons demande de l’énergie.

Que de mensonges on vous fait avaler, pour vous faire les poches !

LE BIG BANG ET LES TROUS NOIRS

Pour la Bible aussi, le cosmos a une histoire.

Ceci est tout à fait apparent dans le premier des deux récits dits de Création du livre de la Genèse (1).

On y rapporte que le cosmos n’est pas apparu tout armé d’un seul geste mais résulte d’un processus ordonné.

On y compte des jours où l’univers se met en place.

Premier jour : séparation de la lumière et des ténèbres ; deuxième jour : séparation des eaux du haut et de celles du bas par le firmament ; troisième jour : séparation de la mer et de la terre qui porte les plantes ; quatrième jour : création des “luminaires” dans le firmament ; cinquième jour : création du règne animal…

Le sixième jour, le décor est planté.

Dieu couronne son œuvre en créant l’homme à son image et à sa ressemblance.

Homme et femme, Il les crée.

Le second récit est plus ancien.

Là aussi, il y a une succession d’actes de “création” par étapes.

Dieu a commencé par le ciel et la terre.

Dieu crée alors l’homme mâle.

Puis la végétation apparaît.

Dieu crée ensuite la femme.

Et finalement le règne animal fait son entrée.

Il y a deux récits de la création dans la Bible

Notons tout de suite ce fait évident mais lourd de conséquences.

Il y a deux récits.

Ils divergent sur la séquence des événements.

Et ceci ne touche pas à un point de détail puisqu’il s’agit de l’apparition de ceux qui sont au sommet de toute la Création, l’homme et la femme.

Or un livre de la Bible n’est pas une juxtaposition de textes.

Il est certes composite mais avant tout composé.

Donc, la mise en parallèle de deux textes incohérents sur le scénario indique à l’évidence que ce n’est pas là que réside la question à laquelle ces textes veulent fournir une réponse.

En revanche, les points de convergence sont signifiants.

Il y a un processus de création et l’homme est à son sommet même si cela n’implique pas nécessairement qu’il soit au terme du processus de mise en place.

Une seconde remarque va préciser ce qui précède.

Ces textes et ceux qui suivront dans le livre de la Genèse, empruntent de façon claire et répétée des éléments folkloriques de cultures qui environnent les auteurs bibliques.

Mais leur agencement est mis au service d’une vision du monde totalement différente.

Par exemple, au lieu de dieux concurrents édifiant le monde sur les ruines de leurs conflits, la Bible nous propose un Dieu unique accomplissant pas à pas un dessein, suivant un plan bien établi.

Clairement, c’est à ce niveau-là qu’on a une chance de percevoir le but poursuivi par les auteurs et le compilateur.

Ces textes, de même que les textes analogues babyloniens par exemple, n’ont pas pour but de nous décrire la genèse de l’univers physique, ni même celle de l’homme.

Cette histoire naturelle sert d’arrière- plan à une histoire tout autre qui est d’ordre spirituel, en entendant par spirituel le lieu où on se pose les questions du bon, du beau ou du vrai.

Le problème du mal, en fait, en est le ressort principal.

Comme le résumera le livre de la Sagesse (1, 13-14) : « Dieu n’a pas fait la mort…

Il a tout créé pour l’être. »

Dieu est étranger au mal.

Il est innocent du mal.

Pour la Bible, l’histoire de l’univers est le cadre d’une histoire sainte, histoire d’un don total et définitif de Dieu, de refus répétés de l’homme, de reprises d’une Alliance toujours proposée, finalement d’un Salut acquis à jamais pour qui l’accueille.

S’il est vrai que les premiers chapitres du livre de la Genèse sont d’une importance capitale pour l’histoire du cosmos, ils ne sont pas pour autant les seuls qui traitent de la Création dans la Bible.

De nombreux textes touchent à ce domaine : dans les Psaumes (3) ou dans les livres de Sagesse (4) ou enfin dans la seconde partie du livre d’Isaïe (5).

Le Big Bang va-t-il détrôner Dieu ?

Un passage du livre de la Sagesse (7, 26-27) mérite d’être cité ici : « [La Sagesse] est un reflet de la lumière éternelle, un miroir sans tache de l’activité de Dieu, une image de sa bonté.

Bien qu’étant seule, elle peut tout, demeurant en elle-même, elle renouvelle l’univers. »

On trouve là, en effet, comme un condensé de ce qu’à la suite de l’Ancien Testament, la prédication apostolique (6), les Pères de l’Église, la grande tradition théologique médiévale et l’enseignement constant de l’Église ont formulé :

– Dieu est le seul créateur ;

– Il a créé le monde par amour ;

– la Création ne se résume pas à l’origine de l’univers, elle est continue.

Ce dernier point qui touche au temps et donc à l’histoire de l’univers est essentiel pour notre propos ici.

Comme saint Augustin l’a souligné,

Dieu crée le temps.

Il crée celui des origines, celui que je qualifie de temps présent et qui ne cesse de m’échapper, aussi bien que le futur.

Son éternité consiste précisément à ne pas se situer dans le temps mais en quelque sorte à rassembler tous les temps.

Il est donc complètement absurde de concevoir un avant ou un après de la Création, car sans Création il n’y a pas d’avant ou d’après, il n’y a pas de temps.

Donc enfermer, comme au siècle dit des Lumières, Dieu dans le rôle de celui qui d’une pichenette lance les créatures et puis passe à autre chose est une aberration.

De nos jours, ce même contresens fait prendre souvent le mot de création uniquement comme synonyme de début absolu.

C’est ainsi qu’un “grand” hebdomadaire français n’hésitait pas à titrer il y a quelques années en substance, le big bang va-t-il détrôner Dieu ?

Cela serait, ne nous le cachons pas, bien étonnant !

Au fil des siècles la philosophie et la théologie ont clarifié la nature du concept judéo-chrétien de Création.

Elle est moins un commencement qu’un fondement.

Elle est une dépendance dans l’être.

Mis à part Dieu, tout ce qui est, n’est comme il est que parce que Dieu lui donne d’être.

Dieu est la source de toute existence, de mon existence y compris.

La Création instaure donc une dépendance radicale de tout ce qui est créé par rapport à son Créateur.

Ce rapport subsiste du début de notre histoire jusqu’à maintenant et au-delà.

C’est la Création continuée des scolastiques et de Descartes (7).

Dieu est maintenant tout aussi créateur qu’il y a quinze milliards d’années environ.

Un dialogue détendu, respectueux et sérieux.

Arrivés à ce point de notre réflexion, confrontons les deux discours.

Tous deux nous parlent du cosmos, de l’apparition de l’homme et de sa place dans l’univers.

Ils sont différents mais doivent-ils être semblables ?

Les chrétiens ne peuvent pas faire l’impasse sur un minimum de réflexion par rapport à cette question, qui est une question notamment posée de façon répétitive par les incroyants.

Une confrontation des approches est donc inévitable.

Nous voudrions conclure en montrant que ce dialogue nécessaire présente trois caractéristiques.

Tout d’abord, il est détendu : notre foi nous donne confiance.

Il se doit d’être respectueux des spécificités des deux domaines concernés.

Ce respect est dû dans un sens comme dans l’autre.

Enfin, il doit être sérieux.

Il faut humblement reconnaître que ces sujets concernent des questions difficiles.

Ceci impose à ceux qui sont appelés à s’y pencher de le faire avec prudence et en sachant que le plus souvent cela demande un travail soutenu.

« Ne craignez pas ! »

Cette parole reflète une attitude de croyant.

Pour notre sujet, elle s’applique en plein.

En Dieu, il n’y a pas place pour une contradiction, nous l’avons rappelé en introduction.

C’est une chose de buter sur la solution d’un problème et une autre d’affirmer qu’il est sans solution.

Ce que nous révèle la Bible et que nous enseigne l’Église est parfois de l’ordre de l’inconnu.

Comment cela s’est-il fait, comment cela va-t-il se faire ?

On ne sait pas, mais pour autant, cela ne veut pas dire que ce n’est pas intelligible.

Cela peut vouloir seulement dire que nous ne savons pas encore.

Les scientifiques vivent bien avec des tas de questions ouvertes.

C’est leur lot commun.

En ce débat, le problème qu’engendre parfois notre peur de l’inconnu, va nous faire mettre Dieu à toutes les sauces.

Il est comme un bouche-trou, l’explication automatique de chaque problème non résolu.

Oui mais il arrive parfois qu’une explication purement naturelle s’impose.

Alors on est obligé de faire machine arrière.

Notre foi peut en souffrir et celle des autres également.

La plupart du temps, ces situations arrivent parce qu’on n’a pas suffisamment mesuré ce que sont spécifiquement les discours de foi et les discours de sciences.

Attention au concordisme

Les deux langages ont en effet des vocabulaires et des grammaires différents.

Leur style est aux antipodes.

Quand l’un s’efforce à limiter au maximum les glissements de sens, le second se complaît dans les jeux de miroir du langage poétique.

Dans les sciences, on feint d’affirmer des lois universelles, dont on n’est pas dupe d’ailleurs puisqu’on est prêt à en changer dès que possible.

C’est le langage de la conjecture.

Dans le langage révélé tout est dit, comme dans un “oui” d’amoureux qui a besoin de toute une vie pour qu’on essaye d’en faire le tour.

C’est le langage de l’alliance.

Mais il y a plus : les questions elles-mêmes sont différentes.

On l’a vu en ce qui concerne l’histoire du cosmos.

Les deux se servent du temps.

Pour l’un, c’est le paramètre d’une variation quantitative (8).

Pour l’autre c’est l’espace de l’appel, du refus, du retour, bref du Salut.

Alors les deux discours se doivent le respect.

Le concordisme (9) est une sorte de myopie issue d’une peur.

La peur vient souvent de l’ignorance, dont la pire espèce est de croire savoir ce qu’on ne sait pas.

L’enjeu est grave pour le croyant autant que pour son entourage.

Saint Augustin par exemple écrivait : « Un chrétien parle sur des sujets de science ; il croit en parler selon nos Saintes Écritures ; et l’incroyant peut l’entendre divaguer à un point tel qu’en présence d’erreurs aussi énormes, cet incroyant ne peut s’empêcher de rire ; et le vrai mal n’est pas que quelqu’un soit moqué pour ses erreurs, mais que nos auteurs [sacrés]… soient blâmés et méprisés pour leur prétendue ignorance. »(10)

Le fondamentalisme nord-américain opposant sur le plan descriptif le créationnisme, lecture au ras de la lettre de la Bible, aux approches du type Big Bang ou aux théories de l’évolution, est plus qu’une erreur intellectuelle c’est une faute.

Une forme plus subtile d’erreurs analogues consiste à plaquer tel ou tel passage de l’histoire naturelle du cosmos sur tel ou tel passage de la Bible.

La critique libre penseuse de l’époque moderne se gaussait de la création de la lumière préalable de trois jours à celle des luminaires.

L’astrophysique contemporaine leur a joué le tour d’expliquer que l’énergie primordiale était d’abord majoritairement sous forme non-massique de rayonnement avant que le rapport ne s’inverse.

Donc pour la physique, la lumière a bien précédé les étoiles.

Faut-il alors construire une apologétique là-dessus ?

Il faut résister à cette tentation, dans la mesure où pour une concordance mise en avant on se bouche les yeux sur des discordances majeures, comme par exemple dans le même récit l’apparition du règne végétal un jour avant celle des étoiles.

La foi pas plus que la compréhension physique de l’univers n’ont rien à gagner à de tels rapprochements fortuits.

Mutatis mutandis, la nécessité de ce respect vaut également pour la critique rationaliste.

Récemment un numéro d’une excellente revue de vulgarisation scientifique française incluait un article parlant des miracles pour affirmer, à juste titre, qu’ils se définissaient en dehors des lois naturelles qui sont du domaine des sciences.

Dans le même temps, il assignait aux sciences le rôle de prouver que les miracles n’étaient qu’un leurre.

C’est évidemment incohérent.

Distinguer le laboratoire et l’oratoire

Les rapports des sciences et des religions sont pourtant un peu plus complexes que des rapports de bon voisinage, d’autant meilleurs que chacun reste chez soi.

En effet la démarche scientifique dans sa partie la plus créative, celle de la conjecture, fait appel à bien plus qu’à la connaissance des phénomènes déjà observés et des théories imparfaites précédentes.

Entrent alors en jeu des considérations esthétiques (simplicité, symétrie), politiques (supériorité du marxisme chez Lyssenko), philosophiques (concept de finalité en biologie), théologiques (refus du Big Bang pour certains, tels Hoyle, par refus du miracle).

A priori, si on sait en mesurer l’impact sur le cours de la démarche qui va suivre, ce type de motivation de départ est absolument normal et même indispensable.

Qu’on réfléchisse seulement à ce simple fait qu’il n’y a pas de raisons scientifiques pour se lancer dans l’étude de tel domaine plutôt que de tel autre.

C’est une affaire de goût qui met en jeu toutes les dimensions de la personne.

Aussi, l’étude intellectuelle des rapports entre foi et sciences, suppose beaucoup d’humilité et de circonspection.

Ceci vaut singulièrement pour le sujet traité ici.

Le croyant, pour sa part, ne s’y départit pas de l’attitude de l’enfant qui sait bien qu’il ne sait pas grand-chose et qui attend avec confiance et parfois un peu d’impatience d’en savoir enfin un peu plus.

En tout cas, il n’y a rien dans l’histoire naturelle de l’univers qui sérieusement puisse remettre en cause dans son principe la foi chrétienne, même si demeurent de grandes zones d’ignorance de certaines modalités.

Quoi qu’il en soit, une chose est en revanche toujours possible pour l’homme : la louange pour Dieu créateur du cosmos et créateur de l’homme faisant face au cosmos en quête de compréhension.

Comme dit l’auteur du Livre de la Sagesse : « C’est Lui qui m’a donné la science vraie de ce qui est, qui m’a fait connaître la structure du monde et les propriétés des éléments, le début, la fin et le milieu des temps,… » (6, 17-18a).

Par la prière, nous sommes placés en Dieu au cœur de la compréhension du cosmos, de son histoire naturelle et de l’histoire de son salut.

Perchés sur les genoux de Dieu on voit plus loin, même si on ne voit pas encore tout.

LES SATELLITES EXISTENT, POUR BIEN NOUS CONTROLER

L’HOMME QUI MARCHA SUR LA LUNE

Une des plus grandes arnaques du siècle : (NEIL ARMSTRONG, né le 5 août 1930 à Wapakoneta, Ohio et décédé le 25 août 2012 à Cincinnati, Ohio, États-Unis), le premier homme qui a marché dans le désert du Nevada et qui nous a fait croire qu’il était sur la lune

Un homme sur la lune est une des plus grandes supercheries du XXIÈME siècle.

Les Russes avaient de l’avance sur les Américains, leurs succès dans l’espace étaient tel que les Américains étaient prêts à tout pour renverser la tendance et prouver leur suprématie dans la conquête spatiale au monde.

On inventa la blague Armstrong …

Prétendre que des hommes sont allés sur la lune en 1969 alors qu’ils n’ont ni les dispositions technologiques, ni les connaissances nécessaires pour le faire en toute sûreté en 2012 est décidément une bonne blague !

LE TELETHON UN HOLD – UP PLANIFIE

Pour autant, il est important de donner avec discernement, car donner à une mauvaise cause c’est faire preuve d’irresponsabilité.

Prenons par exemple le téléthon:

– la plupart des gens pensent qu’ils donnent des fonds pour guérir des enfants qui souffrent de « maladies » génétiques.

– la réalité est que les fonds servent essentiellement à financer des laboratoires de recherche privés, dont le but est justement d’éviter aux futurs parents de concevoir des enfants qui souffriraient de ces maladies.

En clair, les enfants qui « participent » au téléthon, aident en réalité au financement de techniques qui éviteront que ces mêmes enfants existent… lorsqu’on comprend cela on n’a plus franchement envie de le regarder ce téléthon…

C’est ce qu’on appelle de l’eugénisme.

On est loin de l’oeuvre caritative, qui aiderait ces enfants à avoir une meilleure vie.

Dans son rapport annuel 2013, l’AFM Téléthon, association chargée de gérer les fonds issus du téléthon, annonce son plan stratégique pour les 5 prochaines années:

Création d’un laboratoire de recherche clinique neuromusculaire pédiatrique.

Création d’un laboratoire de recherche clinique neuromusculaire pédiatrique (c’est bien la top priorité!).

Améliorer la qualité et l’exhaustivité des bases de données maladies neuromusculaires.

Concevoir et proposer un référentiel économique fixant les règles et mécanismes destinés à encadrer la fixation des prix des médicaments innovants et leurs modalités de prise en charge.

Concevoir un modèle de partenariat innovant avec les acteurs industriels et financiers, en cohérence avec les valeurs de l’Association.

Légitimer le directeur du Service régional dans sa fonction de référent régional pour le réseau des professionnels et institutions de santé.

Définir le modèle cible d’un Centre Régional de Ressources et d’Accompagnement des malades et de leur famille et identifier ses sources de financement.

Évaluer la possibilité d’une implantation Généthon / Genosafe aux états-Unis.

Mettre en place une université AFM-Téléthon.

Structuration et organisation de l’Institut des biothérapies des maladies rares.

Optimiser et renforcer ou créer des fonctions communes.

On voit bien où sont les objectifs de l’association:

Sur 11 objectifs, seul le 7e concerne l’accompagnement des malades et de leurs parents.

Pour le reste on dirait une liste digne d’un consultant Accenture…

Ceci est illustré par les résultats, d’après la présidente de l’AFM Téléthon, la thérapie génique a permis de guérir une soixantaine de bébés bulles à travers le monde…

Ouahhh, tous ces millions pour 60 bébés, impressionnant.

Depuis 1987, on doit pas être loin du milliard de dons pour le téléthon.

Pour quels résultats ?

Pour qui ?

Certains diront que l’essentiel du budget du téléthon sert à guérir, comme présenté dans le rapport de l’AFM Téléthon…

Mais voici ce que « guérir » veut dire:

Financer les instituts, des essais, faire des appels d’offres, financer des programmes internationaux et stratégiques…

Est-ce cela guérir ???

La question subsidiaire à 1000 francs, c’est de savoir si les profits générés par ces laboratoires seront redistribués aux généreux donateurs ?

vous connaissez évidemment la réponse.

Bref, si l’accompagnement des enfants touchés par les « maladies » génétiques est une cause noble, la réalité du téléthon est que cela sert surtout à financer des laboratoires de recherches, avec des fonds publics, et dont les bénéfices eux seront bien privés…

Au delà, les gènes étant le fondement même de l’existence d’un individu, il est audacieux de parler de « maladie génétique », car cela présuppose qu’il y aurait un modèle normal, et tout le reste serait du domaine de la maladie.

Je préfèrerais parler de singularités génétiques, qui peuvent entraîner des difficultés de vie pour ces individus.

A qui donner ?

Conclusion :

Je n’ai rien contre le fait que des laboratoires privés de recherche génétique fassent appel aux dons, mais je me demande pourquoi l’état, via ses chaines de télévision, fait un tel battage sur ce sujet.

Ne serait ce pas plutôt le rôle des entreprises pharmaceutiques ?

Ou le volume potentiel de médicaments n’est il pas assez élevé pour justifier que ces entreprises investissent ?

Ou est-ce tout simplement plus commode de pigeonner le citoyen pour financer ladite recherche ?

Ou y aurait-il d’autres objectifs ?

On pourrait lier cela à la marchandisation des corps, l’augmentation de la stérilité, qui aboutira à une marchandisation de la procréation…

Vendre des bébés vierges de tout défaut sera le nec plus ultra, et justifiera une facturation élevée à des futurs parents dans l’incapacité de procréer.

Obtenir des centaines de millions pour guérir au final 60 bébés, cela parait fort disproportionné, surtout comparé aux millions de personnes qui vivent dans la précarité et à la limite de la pauvreté en France.

Cela ressemble fort à un système de financement par les masses d’une recherche scientifique qui n’intéresse qu’une petite minorité.

La puissance des médias le permettant…

LE SIDA UN MENSONGE D’ETAT

Le sida existe-il ?

Nous a-t-on dit la vérité ?

le sida une vraie maladie ?

Le sida en tant que maladie n’existe pas.

Il n’y a jamais eu de virus isolé et retrouvé sur les malades.

L’annonce faite sur cette découverte en 1985, n’a jamais été faite par les scientifiques eux-mêmes, mais par Margaret Heckler, Secrétaire d’État à la santé qui a annoncé « un virus serait probablement la cause du SIDA ».

C’est une déclaration officielle gouvernementale américaine qui a déclenché le phénomène, mais ces propos ont été repris et alimentés par les médias, dans le monde entier dès le lendemain, en oubliant le mot ʺprobablementʺ.

Le test de dépistage du VIH utilisé pour vérifier une séropositivité éventuelle n’est pas là pour trouver un virus, mais pour déceler des anticorps, qui seraient censés s’opposer à la multiplication de ce ʺvirusʺ.

La spécificité de ces anticorps n’a jamais pu être démontrée.

Madame Christine Johnson a publié un article clé en 1998, qui démontre que 70 conditions médicales pourraient causer la séropositivité !

Mieux comprendre…

Parmi ces 70 possibilités, il y a la vaccination antigrippale, la grossesse (surtout gémellaire), l’alcoolisme, les hépatites, la malnutrition, la grippe et autres maladies infectieuses !

Mais également la malaria, la lèpre et la tuberculose…

Ce qui augmente considérablement le risque de séropositivité chez les Africains !

Il n’y a donc pas d’épidémie de Sida en Afrique.

Cette fausse épidémie a été créée pour contrôler la population trop importante du tiers-monde.

Ce test n’a aucune valeur, mais fait peur, permet d’augmenter les budgets et fait vendre des produits (l’AZT par exemple), dont la toxicité est énorme.

La notice de ce test indique en toutes lettres qu’il n’est pas fiable !

Les critères ne sont d’ailleurs pas analysés partout de la même manière.

Vous pouvez être séropositif en Afrique et être séronégatif à Marseille.

Ces critères sont plus sévères en Australie et pas du tout valables pour les Anglais…

L’AZT est une molécule chimique qui était destinée à traiter les cancers, mais mise de côté, car toutes les souris mourraient.

Cette molécule était refusée par ʺLa Food and Drug Administrationʺ (l’Agence de santé américaine), pour cause de grande toxicité.

De plus, elle a la particularité d’être immunosuppressive ! (elle diminue les défenses immunitaires).

Quand le faux virus du SIDA est arrivé, cette molécule a été mise sur le marché en quelques semaines seulement !

Donner un médicament dont la spécificité est de faire baisser les défenses immunitaires, à des personnes dont le système immunitaire est défaillant, est une démarche surprenante.

Cette molécule est encore utilisée…

Le Professeur Luc Montagné, co-découvreur du ʺvirus ʺ VIH (prix Nobel en 1983 pour cette découverte) peut difficilement revenir sur cette découverte, mais dit lui-même que notre système immunitaire est déficient à cause du stress oxydatif et pourrait être remonté en quelques semaines, si nous étions attentifs à notre alimentation.

Manger des aliments issus de l’agriculture intensive, des graisses saturées, des céréales raffinées, fait augmenter le stress oxydatif et diminue notre système immunitaire… la maladie peut alors s’installer.

Monsieur Montagné nous confirme que la solution n’est pas le vaccin (un vaccin rendrait par définition, tous les vaccinés séropositifs).

Elle serait d’après lui, d’avoir une bonne alimentation, de boire de l’eau de qualité, de prendre des antioxydants et d’avoir une bonne hygiène de vie.

Malheureusement, il n’y a aucun profit pour les laboratoires pharmaceutiques avec ces mesures conseillées par le Professeur Montagné. Elles passent donc inaperçues et combien d’entre vous pensent encore que ce syndrome est difficile à éradiquer ?

D’après les experts, ce que l’on nomme le SIDA, n’est pas contagieux !

Par ailleurs, la contagiosité du ʺSIDAʺ est totalement incompatible avec le fait que les prostituées n’aient pas le SIDA, sauf si elles utilisent des drogues dures, qui diminuent les défenses immunitaires.

D’autres études prouvent que les couples, dont l’un est séropositif et le second séronégatif, suivis pendant une période de dix ans, ne change rien à la séronégativité de celui qui n’est pas concerné par ce syndrome.

Ce syndrome qui englobe sous un même nom plusieurs maladies différentes, fit et fait encore l’objet d’une énorme propagande médiatique, pour récupérer de l’argent et faire peur.

La peur fait vendre.

BIG PHARMA LES PUISSANTS LABORATOIRES

» Big Pharma », ou la corruption ordinaire

A la suite d’une vague de fusions sans précédent, dix groupes pharmaceutiques se partagent 50 % du marché mondial des médicaments — pour le plus grand bénéfice de leurs actionnaires.

Ils soulagent la planète et financent la recherche avec le produit des ventes.

Voici le visage, lisse et souriant, que les « Big Pharma » présentent au monde.

Mais quelques rides commencent à se creuser.

On meurt, au Sud, faute de médicaments, souvent trop chers ; on souffre, au Nord, de surconsommation et d’effets secondaires longtemps passés inaperçus.

Pourtant, ces firmes semblent ne connaître aucun contre-pouvoir.

Quand il s’agit des turpitudes du marigot politique, la presse adore monter à la « une » les affaires de pots-de-vin.

Pourtant, quand Glaxo SmithKline (GSK) fait l’objet, en Italie, d’une gigantesque enquête de police, concernant 2 900 médecins, c’est un silence médiatique quasi absolu : à l’exception du British Medical Journal (BMJ) et du Guardian de Londres (13 février 2003), on ne trouve à peu près rien sur cette énorme affaire.

Et pourtant, 37 employés de GSK Italie et 35 médecins ont été inculpés pour « corruption » ; 80 visiteurs médicaux accusés de versements illégaux à des médecins pour qu’ils prescrivent les produits de cette firme plutôt que leurs équivalents génériques.

Au cours de son enquête, la police a mis au jour un système informatique élaboré, dénommé Giove (Jupiter), qui permettait aux représentants commerciaux de la firme de suivre, à travers les commandes en pharmacie, les prescriptions des médecins qu’elle avait payés.

Et, d’après le BMJ, 13 000 heures d’enregistrements téléphoniques montraient une relation étroite entre les prescriptions et le montant des cadeaux obtenus par les médecins : visites « médicales » au Grand Prix de Monte-Carlo ou aux Caraïbes, versements en liquide de sommes allant jusqu’à 1 500 euros, etc.

L’Italie, cas isolé ?

Des affaires similaires ont fait surface aux Etats-Unis et en Allemagne…


En avril 1993, le docteur Nancy Olivieri, de l’Hôpital des enfants malades de Toronto, signe avec la société Apotex Research Inc. un protocole de recherche sur une nouvelle molécule, la défériprone, qui promet d’aider les patients atteints de thalassémie (maladie du sang héréditaire) à éviter les accidents cardiaques dus à une surcharge en fer.

Elle est alors loin de se douter que son « cas » fera l’objet, huit ans plus tard, d’un rapport d’enquête de plus de 500 pages.

Deux ans après le début des essais thérapeutiques et la publication de premiers résultats encourageants, elle suspecte ce médicament d’aggraver la fibrose hépatique de certains de ses malades.

Elle décide alors de faire signer à ses patients une nouvelle lettre de consentement, afin qu’ils soient informés des risques potentiels d’effets secondaires, et soumet celle-ci à sa hiérarchie.

Aussitôt, le laboratoire met fin au contrat (sans annuler les recherches en cours dans d’autres hôpitaux) et menace le médecin de poursuites si elle enfreint la clause de confidentialité qu’elle avait imprudemment signée.

Ignorant les pressions, au nom de son devoir envers ses patients, elle présente ses résultats lors d’un colloque.

Elle ne sera soutenue, dans ses six années de déboires judiciaires et professionnels, que par l’Association canadienne des professeur(e)s d’université (Acppu).

Le directeur d’Apotex, l’un des « philanthropes » les plus influents de Toronto, avait, il est vrai, proposé un don de 20 millions de dollars à l’université de cette ville pour la construction d’un nouveau bâtiment…

A force de ténacité, le docteur Olivieri a toutefois fini par obtenir gain de cause.

Réintégrée dans son service, avec une compensation pour les années de recherche perdues, elle a également obtenu que la Commission européenne annule l’autorisation de mise sur le marché de la défériprone, en faisant valoir qu’aucune étude scientifique n’était venue lever les craintes qu’elle avait signalées.


Pour une otite fulgurante, un médecin a prescrit à Roselyne un antibiotique de troisième génération.

Deux jours plus tard, elle se traîne chez elle, la tension au plus bas.

Consulté, un autre généraliste lui dit avoir « déjà eu des problèmes avec cet antibiotique » et lui conseille de suspendre le traitement.

Le surlendemain, ses forces sont revenues.

L’incident est bénin, et rien ne prouve qu’il soit lié à ce médicament. Tant mieux !

Car le généraliste ne dispose, de toute façon, d’aucun moyen de le signaler.

Depuis l’avènement de la carte Sésame-Vitale, la Sécurité sociale lui impose pourtant à chaque prestation une connexion à Internet.

Mais aucun site ne recense ce type d’observations qui, mises en commun, permettraient aux épidémiologistes de détecter des risques passés inaperçus avant la procédure d’agrément.

Les appels du collectif Europe et médicament pour que l’on associe plus les patients à la pharmacovigilance n’ont, pour le moment, pas été entendus par la Commission européenne.

L’association de lutte contre le sida Act Up-Paris a longtemps déploré l’absence de financement pour affiner les posologies des trithérapies pour les femmes (les cohortes de patients suivis lors des essais thérapeutiques comprenaient principalement des hommes).

Il n’existe, après l’autorisation de mise sur le marché (AMM), aucune obligation légale de continuer à évaluer les produits ou d’assurer le suivi d’un certain nombre de personnes sous traitement.

Sans législation contraignante, les essais post-AMM, dits « de phase IV », ne se font donc qu’au bon vouloir des laboratoires.

Toujours à court de fonds publics, certains médecins et chercheurs s’enrôlent ainsi dans ce qu’on nomme parfois des « essais marketing ».


« Nous, on n’est pas trop embêtés par la pub ! confie en riant un rédacteur du magazine L’Infirmière.

Contrairement à la quasi-totalité des publications professionnelles du secteur médical, nous n’intéressons aucunement les laboratoires.

Nos lecteurs ne sont ni demandeurs ni prescripteurs de médicaments.

Au moins, nous sommes assez libres d’écrire sur les sujets qui nous intéressent : la relation avec le patient, l’état des hôpitaux dans le tiers-monde, les difficultés de la profession… » .

En dehors de quelques publications comme Pratiques (un trimestriel) ou Prescrire (qui offre un regard critique sur les médicaments mis sur le marché), les journaux destinés aux médecins, bien souvent unique outil d’information (et de formation !) au cours de leur carrière, sont, eux, saturés d’annonces publicitaires.


Suzanne, journaliste, avait quitté Paris pour le sud de l’Angleterre, où elle espérait vivre de piges — ce qui s’avère plus difficile que prévu.

Mais voilà qu’elle reçoit, par courriel, une proposition alléchante : « Nous souhaiterions que vous participiez à la rencontre médicale du 22 janvier à Londres, et que vous écriviez un article pour la presse française.

L’objectif est d’informer le public à propos d’une maladie prévalente mais relativement inconnue, et des nouvelles avancées thérapeutiques dans le domaine. »

Suit un descriptif détaillé de cette « maladie », et des excellents résultats du nouveau traitement.

« Conscients que vous ne pouvez garantir la publication de cet article, nous vous verserons la somme de 500 livres pour participer à cette journée, écrire l’article et le proposer à l’Agence France-Presse, au Monde ou au Quotidien du médecin, par exemple. »

Intriguée, Suzanne demande quelques précisions.

« Je vous rassure, c’est une pratique très courante : il y aura là dix journalistes britanniques et quatre viendront de Scandinavie. »

La copie d’un confrère est glissée en pièce jointe, à titre d’exemple… ou de modèle.

« Bien sûr, si vous réussissez à faire publier cet article, il sera plus facile pour moi de vous réinviter par la suite. »


Médecin généraliste et romancier, Martin Winckler donne, dans sa chronique radiophonique sur France-Inter, son avis sur tout.

Mais, le 15 mai 2003, il ose évoquer le dernier livre de Philippe Pignarre, ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, qui décrypte la « crise » vécue, selon lui, par les laboratoires : leurs perspectives de développement de nouveautés thérapeutiques majeures s’amenuisent, compromettant à terme la rentabilité financière — jusque-là exceptionnelle — du secteur.

Sur la chaîne de service public, cela ne fait pas bon ménage avec la publi-information du syndicat patronal des entreprises du médicament (LEEM), pour qui « la recherche avance, la vie progresse » (une campagne déclinée sur France-Info et Radio Classique ainsi que sur les trois chaînes de France Télévisions).

Le 4 juillet, la chronique est remplacée, sans explications, par un interlude musical.

Le 11, un « droit de réponse » du LEEM s’en prend aux « accusations sans fondements » de Winckler.

Depuis lors, face aux questions répétées des auditeurs, les explications des responsables de la chaîne paraissent bien embarrassées.


A la surprise générale, c’est M. Randall Tobias, l’ancien PDG d’Eli Lilly — heureux fabricant du Viagra ­—, que M. George Bush a désigné pour diriger le fonds américain de lutte contre le sida (15 milliards de dollars sur cinq ans).

« Ses connexions avec l’industrie pharmaceutique ont suscité des craintes : M. Tobias s’engagera-t-il à assurer l’accès aux médicaments génériques à bas coûts, s’interroge The Lancet, un des principaux journaux de recherche médicale, dans son éditorial du 12 juillet 2003, ou achètera- t-il des versions sous brevet, protégeant ainsi les intérêts des firmes des Etats-Unis ? »

Le formidable bras de fer commercial sur les brevets pharmaceutiques, qui oppose depuis plusieurs années certains pays du Sud à la triade Etats-Unis – Union européenne ­ Japon (88 % de la consommation totale de médicaments dans le monde), s’est achevé, à la veille de la réunion de l’Organisation mondiale du commerce à Cancun, par la victoire des « Big Pharma », emmenées par la firme américaine Pfizer ; le chapelet de contraintes qui entourera le commerce des génériques leur garantit un contrôle étroit sur ce marché.


A Washington, le vote du 23 juillet 2003 à la Chambre des représentants était très attendu : le projet de loi visant à autoriser l’importation de médicaments vendus moins cher à l’étranger qu’aux Etats-Unis transcendait l’habituel clivage politique.

Quatre-vingt-sept républicains s’étaient joints à 155 démocrates pour approuver ce qui constituait un défi aux laboratoires — des médicaments aussi courants que l’Augmentin pouvant coûter, aux Etats-Unis, le triple de leur prix en Europe.

Editeur de Capital Eye.org (une lettre spécialisée dans l’analyse des contributions électorales), Steven Weiss n’éprouve guère de difficultés à reconstituer les camps politiques : entre 1989 et 2002, les élus qui ont voté « non », conformément aux intérêts des firmes pharmaceutiques, avaient reçu de la part de celles-ci des contributions de campagne trois fois supérieures, en moyenne, à ceux qui ont voté « oui ».

En 2002, et si l’on regarde uniquement le camp démocrate, les élus qui votèrent « non » avaient reçu cinq fois plus de dons que les autres !

De qui sont-ils les représentants ?


Bombardés de slogans assimilant « la recherche » et « la vie », on s’interroge rarement sur le lien réel entre les besoins sociaux de santé et les priorités de développement de tel ou tel nouveau médicament.

Les maladies tropicales ne figurent plus sur le radar des laboratoires depuis la décolonisation.

Quelles recherches indispensables à la vie mais ne disposant pas en aval d’un marché suffisant sont-elles sacrifiées à la débauche de frais de promotion qui entourent les « blockbusters », ces médicaments à plus de 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires ?

La puissance publique, qui forme les médecins pour les abandonner ensuite à un travail souvent solitaire, sans guère d’outils indépendants pour maintenir à jour leurs connaissances, porte une lourde responsabilité dans cette dérive ; mais elle fait face à un lobby puissamment organisé, jouant sans hésiter du chantage (à l’emploi ou à l’arrivée des nouveautés thérapeutiques) et de l’intimidation.

Le patient, quant à lui, ne dispose d’aucun moyen pour se forger une opinion informée (en dehors de la publicité).

L’éventuelle légalisation, par l’Union européenne, de la publicité directe auprès du public risque d’accroître encore la confusion.

Cette mise à l’écart du politique (qui n’est que l’autre nom du « trou » de la Sécurité sociale) n’est pas irrémédiable : diverses propositions permettraient de réintégrer patients et médecins dans les choix de santé — comme l’ont fait, sans attendre d’invitation, les malades du sida.

Il faudra en premier lieu faire sauter les verrous intellectuels solidement mis en place par les laboratoires, qui assurent la carrière des chercheurs scientifiques leur ouvrant des marchés et répriment les autres, achètent la bienveillance ou la complicité de certains médias, flattent les « bons prescripteurs » et se défient des médecins « passéistes » qui se contentent de donner de bons vieux médicaments éprouvés…

L’industrie — mise en coupe réglée par la finance et disposant de fabuleuses réserves de cash — fait régner, sur l’ensemble des protagonistes, une effrayante police de la pensée.

La petite corruption ordinaire instillée par ces pratiques a fini par gangrener, à tous les échelons, le contrat social signé autour de la santé publique.

LES MANUSCRITS DE LA MER MORTE ETAIENT DES FAUX

Un musée américain a annoncé lundi que cinq fragments de parchemin décrits comme faisant partie des manuscrits de la mer Morte étaient en fait des faux et qu’ils ne seraient plus exposés.

Le Musée de la Bible à Washington, déjà au centre d’une controverse l’an dernier en raison de son financement par une riche famille de chrétiens militants, a fait cette annonce après qu’un centre de recherches allemand a conclu que les fragments n’étaient pas si anciens.

Transparence

« Bien que nous ayons espéré que les tests aboutissent à des résultats différents, c’est une occasion pour apprendre au public l’importance de vérifier l’authenticité de rares fragments bibliques, (pour l’informer du) processus compliqué de tests qui a été mené et de notre engagement à être transparents », a dit Jeffrey Kloha, conservateur du musée, dans un communiqué.

Manuscrits de la mer Morte

Les manuscrits de la mer Morte sont vieux de plus de 2.000 ans. Les 900 parchemins et papyrus, retrouvés entre 1947 et 1956 dans les grottes de Qumrân en Cisjordanie, sont considérés comme l’une des plus importantes découvertes archéologiques de tous les temps.

Ils comprennent des textes religieux en hébreu, en araméen et en grec, ainsi que le plus vieil Ancien Testament connu.

Exposés dans le doute

Les cinq faux fragments étaient exposés dans ce musée de Washington depuis son ouverture en novembre 2017, mais étaient accompagnés d’une note indiquant que des recherches sur leur authenticité étaient en cours.

Quelques mois auparavant, le musée avait en effet envoyé cinq de ses seize fragments de manuscrits en Allemagne, à l’Institut fédéral de recherche et de contrôle des matériaux (BAM).

Des tests lors de précédentes recherches avaient fait part de leurs doutes sur leur origine.

Le musée a retiré les cinq fragments testés en Allemagne et les a remplacés par trois autres, qui font eux aussi l’objet de tests.

Le musée, qui a coûté plus de 500 millions de dollars, raconte sur plusieurs étages l’histoire de la Bible, les récits contenus dans l’Ancien et le Nouveau Testament et leurs répercussions dans le monde.

LA VIERGE MARIE

Le culte de Marie vous conduira en enfer

Ce n’est pas parce que vos sentiments pour Marie sont intenses et viennent du plus profond de vous que ces sentiments viennent forcément de Dieu.

Les dévots de Mahomet ou de Krishna ressentent également des sentiments et des émotions dans leurs moments d’adoration.

Est-ce à dire que ces sentiments viennent de Dieu ?

Doivent-ils alors continuer à adorer leurs idoles parce qu’ils sont sincères dans leur culte et qu’ils débordent d’amour pour leur dieu ?

Certaines personnes tiennent le raisonnement suivant : Jésus est Dieu, Marie est la mère de Jésus, donc Marie est la mère de Dieu…

Mais bien qu’existant en forme de Dieu — selon les propres termes de Paul (Philipiens 2:6), Jésus n’est pas Dieu, Il est le Fils de Dieu.

Pour lire ces lignes, il faut adopter le comportement des premiers juifs qui recherchaient sincèrement la vérité, quelle qu’elle fut :

Actes 17:11

Ces Juifs avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique; ils reçurent la parole avec beaucoup d’empressement, et ils examinaient chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu’on leur disait était exact.

Ensuite, il faut rendre à César ce qui appartient à César : Marie est la mère de Jésus-Christ qu’elle a effectivement enfanté par l’intervention divine — ce qui ne fut cependant pas le cas ensuite pour Ses frères — et elle a effectivement vécu des moments terribles : elle a vu son Fils mourir sous ses yeux d’une mort atroce.

Mais… Mais les douleurs et les peines que Marie a pu vivre et subir ne font pas d’elle un être à part et unique, susceptible qu’on l’honore de manière spéciale.

Paul, Pierre et pratiquement tous les apôtres ont vécu eux-aussi jusque dans leur chair le témoignage de Jésus-Christ : doit-on dédier à Marie ou aux apôtres, ou aux anges (en particulier à l’archange Michel), des bougies, des rosaires, des suppliques et des récitations de prières ?

La réponse est catégoriquement et définitivement NON.

Tous ceux qui répondent « oui » font preuve du plus grand mépris quant au point de vue de la Bible, quant à la doctrine de Jésus-Christ Lui-même et à l’enseignement des apôtres.

Si le point de vue de la Bible, si la doctrine de Jésus-Christ et si l’enseignement des apôtres passent après les traditions, alors on peut effectivement comprendre pourquoi le culte marial a encore des adeptes, pour le plus grand plaisir de satan…

Vous rendez-vous compte que pour «honorer» et «invoquer» Marie, les saints ou les anges, il faut d’abord piétiner la Bible, puis piétiner la doctrine de Jésus-Christ, et enfin piétiner l’enseignement des apôtres ?

Le culte de la reine du ciel a toujours existé

Depuis toujours, les croyants de tous les pays n’ont eu de cesse de vénérer une figure maternelle.

En Egypte, on vénérait Isis et Horus, en Inde, c’est Devaki et Krishna, chez les «chrétiens», c’est Marie berçant «le petit Jésus»…

L’immaculée Marie n’est jamais que le dernier avatar satanique des croyances païennes ancestrales dans une déesse protégeant son petit enfant !

Evolution du culte marial aux fil des âges

La vénération, pardon, la dévotion des païens de Babylone n’était pas si différente puisque Semiramis — la mère de Nimrod qui est devenue sa propre femme — et son enfant Tammuz formaient déjà un duo de choc…

Semiramis (mère de Nimrod) et Tammuz

Et vous croyez vraiment plaire à Dieu lorsque vous priez / remerciez / honorez / vénérez / adorez cette idole ?

Vous croyez vraiment avoir les faveurs de Jésus-Christ lorsque vous récitez des rosaires et des chapelets destinés à cette représentation démoniaque ?

Vos sentiments pour Isis, Devaki, Semiramis ou Marie, appelez-la comme il vous plaira, qu’ils soient de nature amoureuse ou filiale, ne sont en aucune manière une excuse à votre idolatrie. La tradition n’est pas une excuse.

L’ignorance volontaire non plus.

Il vous appartient de vous réveiller de votre torpeur et de demander à Dieu ce qu’Il en pense.

Cessez de tourner autour du pot et posez-Lui la question sincèrement et directement :

«Seigneur Dieu, je te le demande au nom de Jésus-Christ : oui ou non, puis-je m’adresser à la « vierge Marie » ?

Est-ce une chose sainte et agréable à Tes yeux ?»

Vous priez bien pour que votre équipe de football l’emporte ou pour gagner au Loto ou pour trouver un travail.

Pourquoi ne pas prier pour savoir si la doctrine qu’on vous a enseignée est la bonne ?

Auriez-vous peur d’affronter la vérité ?

Le prophète Jérémie indiquait déjà que la vénération d’idoles avait le don d’irriter Dieu :

Jérémie 7:18

Les enfants ramassent du bois.

Les pères allument le feu

Et les femmes pétrissent la pâte.

Pour préparer des gâteaux à la reine du ciel.

Et pour faire des libations à d’autres dieux, Afin de m’irriter.

Est-ce cela que vous souhaitez faire ?

Irriter Dieu ?

Vous voulez perpétuer vos traditions comme vos pères avant vous ?

Vous croyez être différents de ceux que Jérémie dénonçait ?

Jérémie 44:17

Mais nous voulons agir comme l’a déclaré notre bouche, offrir de l’encens à la reine du ciel, et lui faire des libations, comme nous l’avons fait, nous et nos pères, nos rois et nos chefs, dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem.

Et les choses sont bien faites.

Marie n’est pas restée vierge.

Matthieu 1:18

Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent habité ensemble.

19 Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle […] il prit sa femme avec lui.

25 Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus.

Jusqu’à ce qu’elle eût enfanté un fils !

Ce qui signifie qu’il la connut après avoir enfanté l’enfant !

Dans la Bible, connaître sa femme signifie clairement avoir des rapports sexuels avec elle.

Marie n’est donc pas restée vierge après avoir donné naissance à Jésus !

Matthieu 13:55

55 N’est-ce pas le fils du charpentier ?

N’est-ce pas Marie qui est sa mère ?

Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères?

56 et ses soeurs ne sont-elles pas toutes parmi nous ?

D’où lui viennent donc toutes ces choses?

Il est donc écrit noir sur blanc que Jésus avait des frères et des soeurs !

Ce que confirme Marc également !

Marc 6:3

3 N’est-ce pas le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Joses, de Jude et de Simon ?

Et ses soeurs ne sont-elles pas ici parmi nous? Et il était pour eux une occasion de chute.

Mais certains d’entre vous objecteront que le mot « frère » peut parfois se référer aux disciples, — les frères de Jésus dans la foi…

Oui cela aurait pu être le cas, mais cette interprétation est niée totalement et absolument dans le verset suivant de Jean :

Jean 2:12

Après cela, il descendit à Capernaüm, avec sa mère, ses frères et ses disciples, et ils n’y demeurèrent que peu de jours.

Jean fait bien la distinction ici entre les frères et les disciples (les frères dans la foi)…

Mon propos ici n’est pas de critiquer Marie, qui demeure en tout état de cause la mère de Jésus sur cette terre !

Et pourquoi Paul, s’adressant aux chrétiens de Corinthe, prendrait-il la peine de faire une différence entre les apôtres et les frères de Jésus ?

1 Corinthiens 9:5

N’avons-nous pas le droit de mener avec nous une soeur qui soit notre femme, comme font les autres apôtres, et les frères du Seigneur, et Céphas?

Même réflexion pour la première réunion des apôtres immédiatement après l’ascension du Seigneur dans le ciel :

Actes des Apôtres 1:13

Quand ils furent arrivés, ils montèrent dans la chambre haute où ils se tenaient d’ordinaire; c’étaient Pierre, Jean, Jacques, André, Philippe, Thomas, Barthélemy, Matthieu, Jacques, fils d’Alphée, Simon le Zélote, et Jude, fils de Jacques. 14

Tous d’un commun accord persévéraient dans la prière, avec les femmes, et Marie, mère de Jésus, et avec les frères de Jésus.

De toute évidence, Jésus avait bien une mère mais aussi des frères. Marie n’a pas eu un fils unique !

Marie a été bénie dans la Bible !

Oui, Élisabeth bénit Marie :

Luc 1:42

Elle (Elisabeth) s’écria d’une voix forte: Tu es bénie entre les femmes, et le fruit de ton sein est béni.

C’est vrai mais outre le fait que de tous les apôtres ayant écrit un évangile, Luc est le seul à mentionner cela, on retrouve dans la Bible une autre femme qui reçut une (et même double) bénédiction exactement similaire :

Juges 5:24

Bénie soit entre les femmes Jaël, Femme de Héber, le Kénien!

Bénie soit-elle entre les femmes qui habitent sous les tentes !

Posons-nous alors la question : devons-nous aussi vénérer et nous prosterner devant Jaël parce qu’elle fut elle-aussi bénie (doublement !) entre les femmes ?

Qui même connaît Jaël ou qui perpétue sa mémoire de nos jours ?

Et David ou Salomon n’ont-ils pas été bénis eux-aussi ?

Pourquoi ne sont-ils donc pas honorés comme l’est Marie ?

Parce que ce sont des hommes !

Renseignez-vous sur l’origine du culte marial pour comprendre l’importance de la présence d’une figure féminine et matriarcale dans le panthéon pagano-chrétien.

Ni Pierre, ni Paul, ni Jean, ni aucun des apôtres ou disciples des premiers temps n’avaient imaginé que leurs «disciples» en viendraient à mettre en place cette idée satanique.

Marie ne peut pas intercéder pour nous

Comment une humaine pourrait-elle intercéder pour nous alors qu’elle a elle-même péché et qu’elle a besoin d’être sauvée elle-même ?

Marie le reconnait expressément elle-même :

Luc 1:47

Et mon esprit se réjouit en Dieu mon Sauveur;

Ni pour venir au Père…

Pour venir au Père, nous n’avons besoin que de Jésus Seul :

Jean 14:6

Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.

Ni pour venir au Fils…

Pour venir à Jésus, nous n’avons besoin de personne si ce n’est du Père Seul.

Qui peut oser contredire Jésus-Christ lui-même et affirmer que nous avons besoin de Marie pour aller à Jésus-Christ ?

Ce n’est pas Marie qui attire les hommes vers Jésus !

C’est le Père Lui-même !

Jean 6:44

Nul ne peut venir à moi, si le Père qui m’a envoyé ne l’attire; et je le ressusciterai au dernier jour.

Jean 6:65

Et il ajouta: C’est pourquoi je vous ai dit que nul ne peut venir à moi, si cela ne lui a été donné par le Père.

Jésus ne dit pas «Passez par Marie d’abord !» ou «Priez Marie pour accéder à Moi !»

Matthieu 16:24

Alors Jésus dit à ses disciples: Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive.

Je tiens également à mettre en garde les chrétiens qui seraient tentés d’en faire une idole « pure » et « immaculée » qui pourrait intercéder pour nous, une « médiatrice » comme ils se plaisent à l’appeler…

Pour rappel, nous avons déjà un médiateur…

Si on avait eu besoin ou s’il était même possible d’avoir un second médiateur entre le médiateur et Dieu, ou entre Jésus et nous, ne pensez-vous pas honnêtement que la Bible nous en aurait parlé plus longuement ?

Ne pensez-vous pas que Jésus-Christ Lui-même nous aurait alors encouragé ou incité à nous adresser à Sa mère ?

Mais peut-être pas Lui mais au moins Ses disciples ?

La réponse est pourtant non… Lisez ce que déclare Paul :

1 Timothéee 2:5

5 Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme

Il ne peut donc y avoir rien ni personne entre Dieu et les hommes, si ce n’est Jésus-Christ seul !

Le culte de Marie est une abomination

Appelez cela comme vous le voulez : culte, vénération, dévotion, dulie ou hyperdulie.

Le résultat est le même : vous provoquez la colère de Dieu et vous vous exposez à la fureur de Jésus-Christ !

Si vous pensez que je blasphème parce que je parle de la colère ou de la fureur de Dieu, c’est parce qu’on vous a enseigné que Dieu était le bon Dieu et qu’Il était un Dieu d’amour.

Certes Il est bien un Dieu d’amour mais Il est aussi un Dieu jaloux dont vous feriez bien de ne réveiller ni la jalousie ni la colère.

Pouvons-nous accorder une place — même toute petite — à Marie dans le plan de Dieu ?

«Non», répond Paul :

Galates 1:8-9

Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Évangile que celui que nous vous avons prêché, qu’il soit anathème!

Nous l’avons dit précédemment, et je le répète à cette heure: si quelqu’un vous annonce un autre Évangile que celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème!

Si quelqu’un annonce ou prêche autre chose que Jésus-Christ, il est maudit !

C’est très simple et très clair !

Il est maudit !

En prêchant Marie, vous préparez votre âme pour l’enfer.

Les apôtres ont-ils annoncé Marie ?

Non.

Les apôtres ont-ils prêché Marie ?

Non.

Mais qu’ont donc alors prêché les apôtres ?

Paul répond :

1 Corinthiens 2:2

Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié.

Il n’y a pas de plan caché intégrant Marie.

L’intégralité des apparitions mariales et tous les phénomènes, pseudo et vrais miracles liés à Marie n’ont qu’une et une seule origine : Satan le diable.

Devrions-nous en être étonnés ?

«Pas du tout», répond Paul. Pourquoi dit-il cela ?

2 Corinthiens 11:14

Et cela n’est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière.

Si vous croyez que Satan envoie ses démons avec des cornes sur la tête, une fourche dans la main et une lettre cachetée pour authentifier leur filiation démoniaque, vous vous leurrez !

Ne l’appelle-t-on pas le malin ?…

Bien au contraire, les apôtres nous ont prévenus longtemps à l’avance que Satan et ses anges se déguiseraient en ange de lumière.

Souvent en Marie.

Et parfois même en Jésus-Christ Lui-même !

«Mais ce n’est pas possible !

Je crois en Jésus-Christ.

Je ne peux pas aller en enfer parce que je crois aussi en Marie.

Marie a fait des miracles.

Beaucoup de chrétiens ont été guéris en récitant son rosaire ou son chapelet !»

Et pourtant…

Préférez-vous croire une manifestation démoniaque ou bien l’apôtre Jean qui affirmait et mettait en garde :

2 Jean 1:9

Quiconque va plus loin et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n’a point Dieu; celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils.

Dans la doctrine de Christ telle qu’enseignée par les apôtres, il n’y a pas de place, — pas la moindre — pour Marie.

Vous croyez que c’est un hasard qui a conduit cette femme à vouloir honorer Sa mère devant le Seigneur ?

Qu’a-t-Il répondu à cela ?

A-t-Il encouragé la foule à honorer Sa mère ?

Luc 11:27

Tandis que Jésus parlait ainsi, une femme, élevant la voix du milieu de la foule, lui dit: Heureux le sein qui t’a porté !

Heureuses les mamelles qui t’ont allaité !

Et il répondit: Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent !

Vous avez vraiment l’impression d’écouter et de garder la Parole de Dieu quand vous priez et honorez Marie ?

Toute l’Écriture se construit autour du Christ et seulement autour du Christ et vous pensez garder la Parole de Dieu en vous inclinant devant une statue de Marie et en lui récitant des chapelets !

Hypocrite !

Ci-dessous un exemple d’aberration mariale que l’on peut rencontrer sur l’internet…

C’est — paraît-il — l’archange Michel lui-même qui aurait indiqué la manière dont il souhaitait être honoré…

Je rappelle quand même — est-ce bien nécessaire mais il semble malheureusement que oui — que les vrais envoyés de Dieu ne veulent en aucun cas être honorés ni ne cherchent leur propre gloire mais la gloire du Dieu Véritable.

Les seuls êtres spirituels en contact avec les hommes qui veulent être honorés par les hommes sont les anges de satan !

Juges 13:16

L’ange de l’Éternel répondit à Manoach: Quand tu me retiendrais, je ne mangerais pas de ton mets; mais si tu veux faire un holocauste, tu l’offriras à l’Éternel.

Apocalypse 22:8

C’est moi Jean, qui ai entendu et vu ces choses.

Et quand j’eus entendu et vu, je tombai aux pieds de l’ange qui me les montrait, pour l’adorer.

Mais il me dit: Garde-toi de le faire !

Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères les prophètes, et de ceux qui gardent les paroles de ce livre.

Adore Dieu.

Jésus ne nous enseigne-t-Il pas que les miracles, les guérisons ou les prophéties même en Son nom ne sont PAS des preuves de notre appartenance à Dieu !

Matthieu 7:22
Plusieurs me diront en ce jour-là: Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ?

N’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ?

N’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ?

Alors je leur dirai ouvertement: Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité.

Voulez-vous prendre le risque d’entendre Jésus-Christ, notre Dieu, notre Roi, notre maître et Sauveur vous dire en face : « Je ne te connais pas ! » ?

Soyons donc humble et écoutons donc les apôtres :

Actes 4:12

Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.

Aucun autre nom, c’est aucun autre nom.

Jésus-Christ ne se laissera voler Sa gloire — pas même une miette — ni Son sacrifice — pas même une goutte de Son sang — par personne.

Note : est-il besoin de rappeler que ce qui est dit ici de Marie s’applique également aux saints, aux anges, aux archanges…

LE CHAPELET / LE ROSAIRE = MARIOLATRIE

» […] Jésus lui répondit : Il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul « . Luc 4:8

Le mot français « chapelet » est un dérivé du mot chapeau dont la forme ancienne était chapel.

À l’origine (v. 1200), il désigne une coiffe, une couronne de fleurs et devient un terme à usage religieux par analogie avec les couronnes de roses, dont on ornait la tête des statues mariales.

Les grains des chapelets sont généralement composés de bois sous nos latitudes, ou confectionnés à partir de pierres et à l’origine, en Extrême-Orient, avec les fruits d’un arbre connu sous le nom latin d’Elaeocarpus sphaericus pour être plus précis.

Un chapelet correspond à la méditation d’une série de cinq « Mystères », soit « Joyeux », « Douloureux » ou « Glorieux » équivalant à un tiers du Rosaire puisque celui-ci comprend trois chapelets : celui des « Mystères Joyeux », des « Mystères Douloureux et des « Mystères Glorieux ».

(A la fête mariale des lumières de Lyon, le 8 Décembre 2004, au passage de la procession aux luminaires, j’ai même entendu une évocation des « mystères lumineux »…).

Sur le site du Vatican, on peut lire: Invitation de Jean Paul II à prier le Rosaire: Jean Paul II a publié, le 16 octobre 2002, 24e anniversaire de son règne pontifical, une Lettre apostolique « Rosarium Virginis Mariae ».

Le « Saint Père » a ajouté aux 15 « mystères » qui ordonnent cette prière cinq autres « mystères » (lumineux) afin de mieux prendre en compte la vie publique du Christ.

Quatre diviseurs/séparateurs et une médaille ou cinq diviseurs/séparateurs séparent cinq décades sur un chapelet et quatorze diviseurs/séparateurs et une médaille ou quinze diviseurs/séparateurs discriminent 15 décades.

Le Rosaire forme donc une couronne, composée au complet, de 153 roses blanches (« Ave Maria ») et 16 roses rouges (« Pater Noster »).

153 + 16 = 169 ou 13 x 13, c’est à dire le nombre de la rébellion au carré.

Un « Salve Regina » ponctue parfois la prière totale du Rosaire prouvant ainsi qu’il s’adresse bien en priorité à la « Reine des cieux » Babylonienne.

Inutile d’évoquer le rapprochement qui peut se faire entre « Satan » et « Santa Maria » très présent au temps de Noël avec son « Santa » (Klaus) omniprésent dans les commerces.

La prière du Chapelet (Rosaire) comporte en fait deux parties, qui s’exécutent simultanément : d’une part, la récitation des prières et d’autre part, la méditation des Mystères du Rosaire, c’est-à-dire, en même temps que l’on récite « pieusement » les prières, on « médite » sur les événements de la vie de Jésus et/ou de Marie que sont les Mystères.

Les trois prières correspondent à peu près aux textes suivants:

Notre Père : Notre Père qui es aux cieux, que ton Nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta Volonté soit faite sur la terre comme au Ciel.

Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.

Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.

Et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du mal. Amen.

Je vous salue Marie : Je vous salue Marie, pleine de grâces, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.

Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen.

Gloire au Père: Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, comme Il était au commencement, maintenant et toujours et pour les siècles des siècles. Amen

Le « Je vous salue Marie », la « prière » la plus souvent formulée par les utilisateurs du chapelet est inconnue dans la Bible !

Sous de fausses apparences de piété, le chapelet et à fortiori le Rosaire relèvent de l’occultisme et ne sont que des abominations mises en place dans le cadre d’une séduction orchestrée par Rome comme un exemple parmi d’autres de la paganisation et la falsification du Christianisme originel.

A noter que le « Notre Père » a été peu à peu satanisé en transformant le « ne nous laisse pas succomber à la tentation » par le « Et ne nous soumets pas à la tentation » actuel !

Seul Satan peut tenter et jouer le rôle de tentateur !

Attribuer un pouvoir « magique » à une répétition de formules associées à des visualisations erronées, c’est inviter des puissances occultes à envahir l’esprit du pratiquant qui bien que sincère dans sa démarche de dévotion, fait acte de sorcellerie à son insu et surtout à ses dépens.

C’est d’autre part d’un point de vue Scripturaire nier de manière blasphématoire et criarde le caractère de sacrifice absolu et Unique de La Croix et un rejet de La Grâce et du salut offerts sur cette même croix.

La pratique du chapelet relève du satanisme, comme étant l’héritage de plusieurs coutumes païennes ancestrales issues du chamanisme (de plus en plus réactualisé avec les doctrines du Nouvel Age) selon lesquelles il était possible de communiquer avec les morts en conservant un morceau d’os qui ne risquait pas de disparaître par effet de putréfaction.

La manipulation occulte de ces reliques permettait de créer des » tolkus « , entités vampiriques, manipulées par leurs » maîtres « , lesquelles étaient apparentées aux » zombies « , les mort-vivants des rites du vaudou ou tout ce qui se rattache à la tradition attachée en Occident au Golem de Prague.

Ce morceau d’os permettait de » rapatrier » le défunt dans un plan d’existence terrestre lui assurant ainsi une vie Eternelle.

Selon cette pratique rituelle, un » tolku » aurait été greffé sur le psychisme de Napoléon Bonaparte, Hitler… afin de le contrôler et de l’obliger à accomplir les desseins de ces manipulateurs de l’ombre.

Selon la vieille coutume du culte de « yamantaka », le « Dompteur de la mort », les 108 morceaux d’os prélevés sur 108 crânes d’ermites différents par les moines Tibétains leur permettaient selon leur croyance plus particulièrement liée au Bouddhisme, de pouvoir maintenir un contact avec leurs coreligionnaires disparus et, une fois copiés dans un premier temps par les Musulmans, ils furent après les croisades du monde occidental Chrétien, à l’origine des chapelets égrainés par les Catholiques, créant ainsi des liens de type spirite avec le monde des esprits…

Déchus !

« Prier la Vierge » est une pratique directement issue de cette abomination.

Un sorcier utilise un Rosaire (constitué donc de 3 chapelets ou 153 grains dédiés à « Marie ») en faisant pointer dans sa direction la figure d’une étoile, d’une médaille, d’une pierre précieuse, d’un « crist…al, d’un animal totem, d’une divinité ou toute autre effigie (remplaçant la croix ou le crucifix) puis organise les séparateurs vers le centre pour former une étoile à cinq branches, pouvant s’insérer dans un chapelet déployé en pentagone.

Les dernières prières ont été adressées non à Dieu mais à une créature humaine sans aucun pouvoir, que je nomme parfois « La Mère Morte », dont le souvenir a été instrumentalisé par Abaddon/Apollyon pour perdre les idolâtres qui ne vérifient pas dans La Parole si leur culte est toléré par L’Eternel qui nomme de telles pratiques des abominations.

» […] Alors Dieu prononça toutes ces paroles, en disant : je suis l’Eternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de servitude.

Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face.

Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre ». Exode 20:1-4 –

LES GILETS JAUNES : MANIPULATION DES MASSES POUR IMPOSER LE N.O.M.

On vous manipule.

On vous utilise pour mettre en place le Nouvel Ordre Mondial !

​Gilets Jaunes acte I, acte II, acte III,…

Ce n’est qu’une pièce de théâtre !

Les manifestations n’ont aucun impact sur les gouvernements.

Au contraire, elles ne font que renforcer leurs égrégores d’abomination !

Seul le développement des vertus peut contrer un dragon.

Soyez des anges et rayonnez l’amour et la joie !

Ils avaient tout prévu.

La campagne de la sécurité routière pour la promotion du gilet de sécurité obligatoire remonte à octobre 2008.

Le nom de domaine « giletsjaunes.com » a été acheté le 15 mai 2017 aux Etats-Unis, le lendemain de l’investiture de Macron.

La réservation du nom de domaine a été faite pour 3 années consécutives et expire le 15 mai 2020.

Déduisez-en ce que vous voulez…

C’était prévu de longue date.

Ils manigancent ces coups montés depuis des siècles déjà, ils sont très expérimentés.

Et vous vous faites avoir comme des bleus !​

De provocation en provocation.

Depuis plusieurs mois, le gouvernement passe son temps à provoquer le peuple : techno-parade LGBT arborant un t-shirt « Fils d’immigré, noir et pédé » sur le perron de l’Elysée pour la fête de la musique, la députée Claire O’Petit qui explique que « les gens dans le besoin peuvent faire des économies en mangeant un jour sur deux », le député Jean-Christophe Lagarde qui estime « gagner moins que le salaire moyen des français » avec 11 552 € par mois, doublement des salaires des cabinets ministériels (d’environ 5000 à 9000 €), non-rétablissement de l’ISF, 40 milliards offerts au patronat en plein mouvement des Gilets Jaunes,…

Un plan pauvreté avec un « changement radical d’approche » : baisse des allocations familiales, baisse des pensions retraite, hausse des taxes sur les carburants,…

Pour pousser les français au mécontentement ?

Et à la révolte ?

Destituer le président ?

Vous voulez dégager Macron, mais que croyez-vous qu’ils mettront à la place ?

Il est utilisé pour exaspérer les gens parce qu’il est d’un tel aplomb et si indifférent et hautain que c’est difficilement supportable humainement.

Ils font exprès de faire passer Macron pour un président incapable pour pouvoir mieux faire accepter sa remplaçante qui reprendra la situation en main.

Lors du “Live politique” de LCI du 22 avril 2018, Jacques Attali précisait qu’il pense bien à une femme future présidente et qu’il en a 3 en tête : 2 qui travaillent dans le privé et une dans le public…

Une femme très compétente et convaincante qui saura faire face à cette situation complexe et prendre les décisions qui s’imposent.

Une personne qui paraîtra juste et compréhensive.

Une femme présidente que tous approuveront !

​Une femme en apparence parfaite pour être présidente.

Mais en apparence seulement.

Et hop, le tour est joué !

Et les pigeons applaudiront !​

LA FAMILLE ROTHSCHILD

La famille Rothschild est l’élite de l’oligarchie mondiale et de la franc-maçonnerie.

Tous les ans, le magazine américain « The Economist », dont la famille Rothschild est actionnaire, publie à la une de sa couverture des prédictions pour l’année à venir.

La couverture prédisant l’année 2019 est entièrement noire.

Depuis novembre 2018, la banque Rothschild procède à la vente en urgence de son pôle de gestion fiduciaire.

C’est un évènement extraordinaire dans le monde de la finance et il est possible qu’ils s’en séparent en prévision d’un effondrement des marchés.

Se préparent-ils à une grave crise économique ?

À une guerre ?

Les Rothschild sont l’une des plus grandes fortunes du monde et tiennent toute l’économie mondiale : la Fed, la City de Londres et la quasi totalité des banques centrales du monde.

Afin de se libérer de la suprématie américaine, la Russie et la Chine (futures grandes puissances mondiales ?) abandonnent le dollar.

De Pompidou à Macron en passant par Giscard d’Estaing, la famille Rothschild place ses ex-collaborateurs au pouvoir.

Rappelons ici que c’est la loi « Rothschild » votée sous Pompidou en 1973 qui est la cause de la prétendue dette publique de la France de plus 2300 milliards d’€ parce qu’elle interdit à l’état de « battre monnaie » et l’oblige à passer par le système des banques privées pour se financer.

Cette famille serait aussi à l’origine des deux guerres mondiales et préparerait la troisième.

FRANC-MACONNERIE & MANIPULATION DES MASSES

À un niveau bien au-dessus des gouvernements, les francs-maçons (les Rothschild notemment) usilisent énormément la manipulation des masses.

Ils mélangent les vraies et fausses informations, les contradictions pour nous fausser.

Tout Gilet Jaune devrait savoir que les francs-maçons eux-mêmes se vantent d’être « les pères de toutes les révolutions – même de celles que le hasard a fait se retourner contre eux. »

Ainsi que d’être « les maîtres suprêmes de la paix et de la guerre ».

Ils disent encore que «ceux qui deviennent membres de leurs loges ne soupçonnent jamais qu’on les utilise pour construire leurs propres bagnes ».

Aujourd’hui, ils ne se cachent plus de ce qu’ils sont et de ce qu’ils ont l’intention de faire.

Après les célébrités, ce sont les politiques qui s’exhibent régulièrement avec des symboles maçonniques.

RITUELS SATANIQUES

Les manifestations n’ont aucun impact sur les décisions des gouvernements.

En séance d’hypnose, certains ont vu une grosse masse nuageuse et sombre (une espèce de dragon) autour des Gilets Jaunes.

Les émotions négatives (la colère, les conflits avec les forces de l’ordre,…) alimentent cet égrégore.

Tout a été prévu pour pousser une grande masse de gens à aller manifester dans les rues de façon à former un égrégore de colère plus grand encore dans le but de créer un vortex énergétique au-dessus des manifestations.

Vortex s’ouvrant sur des ténèbres et aspirant une part de l’âme des manifestants.

C’est comme si des centaines de pactes étaient signés.

Des rituels sont organisés dans les souterrains sous les monuments de Paris, particulièrement les nuits de pleine lune qui sont des circonstances favorables pour nourrir des entités obscures.

La manifestation du 23 novembre, comme par hasard, tombait un jour de pleine lune !

Le mois de novembre semble être une période propice à des rituels de sang.

Une manifestation d’un autre mouvement était aussi prévue depuis plusieurs mois le 24 novembre 2018.

Rappelons surtout les attentats au Bataclan le 13 novembre 2015.

EFFONDREMENT DE L’ÉCONOMIE MONDIALE & GUERRES CIVILES

Ces dernières années, nous voyons de nombreux économistes (et même Attali) annoncer une prochaine crise mondiale.

Selon l’économiste et consultant Georges Nurdin, « la prochaine crise qui s’annonce sera probablement plus proche du typhon dévastateur que de l’averse passagère de printemps”.

Elle risque d’être d’envergure car elle devrait être à la fois financière, économique et sociétale. »

« La volatilité des Bourses de la planète tend à s’accentuer et, contrairement à la crise de 2008-2009, nous n’avons plus d’amortisseurs pour encaisser un nouveau choc… »

Des guerres civiles sont annoncées partout dans le monde.

APOCALYPSE & ARRIVÉE IMMINENTE DE L’ANTÉCHRIST

Il est important de prendre en compte l’aspect spirituel également : de nombreuses prophéties et religions prédisent l’apocalypse à la fin des temps ainsi que l’arrivée de l’antéchrist.

Ils ont besoin de grands sacrifices (sang versé et morts) pour permettre sa venue.

Les lumières rouges sur les Champs Elysées cette année symboliseraient le sang et serviraient à signifier la présence de Satan.

PACTE MONDIAL POUR LES MIGRATIONS

Le mouvement des Gilets Jaunes camoufle en réalité une haute trahison du gouvernement : les 10 et 11 décembre, Macron se rendra à Marrakech pour signer le pacte mondial pour les migrations sans qu’ait eu lieu en France le moindre débat !!!

Pacte qui ouvrira les portes de France et d’Europe à des millions de migrants et coûtera des milliards aux pays d’accueil.

Comme d’habitude, ils nous prennent de court.

Un pacte !

Avec le diable ?

Puisque le divin ne propose jamais de signer de pacte !

L’emploi de ce mot n’est pas anodin.

Un pacte est un accord conclu avec un démon pour obtenir des faveurs en échange d’une part de son âme, de sacrifices.

Ils veulent organiser une vague de migration vers l’Europe pour y créer le chaos dans le but de tout remettre en question au niveau des lois, des frontières,… et instaurer leur gouvernance mondiale.

ATTEINTES AUX DROITS ET AUX LIBERTÉS & LOI MARTIALE

Ces derniers temps, les faux lanceurs d’alerte francs-maçons (qui pullulent sur Facebook et YouTube) incitaient à la désobéissance, ensuite ils envoient les gens manifester dans les rues en gilets jaunes, puis le gouvernement annonce qu’il songe à faire appel à l’armée.

Et maintenant, la police anti-émeute évoque la possibilité d’avoir à abattre des manifestants, ils envoient les blindés et Paris est déjà à feu et à sang !

La situation dégénère rapidement…

​La loi martiale vient d’être déclarée en Ukraine.

DÉSINFORMATION !​

À la veille de l’acte IV, le journal Le Monde évoque les enjeux en matière de maintien de l’ordre.

Après les manifestations des 1 et 4 décembre, des articles et reportages sur la prétendue violence des manifestants poussaient comme des champignons !

Un journaliste avec 40 ans d’expérience se dit être indigné par les mensonges et la manipulation des médias au sujet des Gilets Jaunes et n’avoir été témoin d’aucun propos ou acte violent, raciste ou homophobe.

VÉRITÉ !

Sur des dizaines de vidéos sur Internet, on peut voir :

  • Des snippers en position de tir en face de l’Arc de Triomphe
  • Un groupe de 8 à 10 CRS tabasser à coup de pieds et de matraques un jeune à terre
  • Des CRS plaquer à terre des jeunes pendant les manifestations de lycéens
  • Environ 150 jeunes mis à genoux les mains derrière la tête au lycée Saint-Exupery de Mantes-la-jolie
  • Des CRS qui entrent dans les cafés pour sortir des Gilets Jaunes pacifiques et tranquillement assis
  • Des policiers en civile en « tenue de casseurs » se préparer à l’arrière d’un fourgon de police puis rejoindre la foule de manifestants
  • Des policiers vus en train de remettre leurs brassards après avoir été casser pendant la manifestation
  • Des policiers se faire passer pour des journalistes
  • Un manifestant en gilet jaune se faire interpellé puis relâché après avoir dit aux CRS être avec eux

​Sans compter les vidéos des manifestations suivantes qui sont bien plus violentes encore !

Les Gilets Jaunes sont pour la plupart des manifestants pacifiques qui se sentent doublement trahis par la violence des CRS.

De plus, les casseurs et tabasseurs seraient en réalité des policiers (ou autres) infiltrés !

Le mouvement des Gilets Jaunes a été lancé pour attirer le peuple dans un piège dans le but d’affaiblir, voir d’endeuiller la France.

C’était prévu, un soulèvement était envisagé.

Ils veulent s’en servir comme prétexte pour imposer l’armée européenne et la mise en place de processus sécuritaires (nous contrôler davantage, restreindre nos libertés,…).

Ils veulent inciter à des débordements et déclencher des guerres civiles pour justifier l’instauration de la loi martiale et des camps de concentration.

Ainsi que l’implantation obligatoire de la puce RFID.

C’est un contexte de forte oppression qui s’annonce pour l’avenir.

LE GRAND REMPLACEMENT

Après la mondialisation qui nous a été imposée, on veut maintenant nous faire accepter un remplacement progressif des populations européennes par des populations majoritairement originaires d’Afrique noire et du Maghreb.

Qu’est-ce que cela cache ?

De l’esclavage aux guerres organisées, à la stérilisation forcée des femmes séropositives, aux campagnes de vaccination, aux vols d’organes et de mélanine,… cela fait 500 ans que l’on s’acharne à exterminer le peuple africain.

Mais même après toutes ces tentatives c’est toujours un échec !

Il a donc été décidé semble-t-il de vider l’Afrique par la migration planifiée.

La situation a été rendue intenable partout en Europe et cela de façon intentionnelle.

Dans ce contexte tendu, on veut en plus nous obliger à accueillir des millions de migrants sur notre territoire.

Il est évident que l’on veut inciter les européens à la haine raciale et à la guerre civile.

On nous montre des blacks gays et trans se déhancher en bas résille sur le perron de l’Elysée, on nous montre Macron poser en photo avec des blacks torse-nu en Guadeloupe, à des matchs de foot,…

On veut nous faire croire que la misère règne en Afrique alors que le sous-sol africain est l’un des plus riches au monde !

Les ressources minières sont répandues sur tout le continent : or, diamant, platine, cobalt, cuivre, uranium, fer, pétrole, gaz,…

Sans compter les ressources agricoles : cacao, café, coton,…

La « carte à 1 milliard » ! La Banque Mondiale a investi 1 milliard de dollars pour financer le recensement des richesses minières de l’Afrique, on nous dit que cela représenterait une magnifique opportunité pour les dirigeants africains dans la négociation des marchés.

Mais des questions se posent : pourquoi ne pas laisser les africains gérer eux-mêmes leurs ressources naturelles ?

Pourquoi sans cesse les infantiliser ?

Et surtout pourquoi proposer aux migrants de trouver refuge dans les pays mêmes qui organisent les guerres sur leur sol et qui les pillent ?

Ce pacte mondial pour les migrations n’est qu’un foutage de gueule !

Une absurdité totale !

La France contraint 14 pays africains à payer un impôt colonial pour les « avantages » de l’esclavage et de la colonisation : environ 500 milliards de dollars par an au total sous contrôle du ministère des finances français !

Si les dirigeants africains refusent, ils sont victimes d’assassinat ou de coup d’état.

La France et les Etats-Unis occupent de nombreuses bases et forces militaires en Afrique.

La Chine est en train de construire sa première base à Djibouti.

La France a construit ses bases dans ses anciennes colonies, équipées de tout l’armement nécessaire en cas de soulèvement du peuple.

Par la vente des entreprises françaises, le plan pauvreté et une invasion de migrants, ils veulent plonger la France dans une situation infernale pour nous pousser à nous entre-tuer et ainsi pouvoir se permettre d’envoyer des missiles sur l’Afrique avec le consentement des français.

Leur but est de vider l’Afrique pour s’accaparer toutes les richesses du sous-sol et ressources naturelles du continent africain.

Il s’agit d’un génocide planifié pour exterminer le peuple africain !

DES LOIS TOTALITAIRES

Quoi de plus opportun d’écrire ce texte, le jour même de la journée nationale intitulée par le gouvernement « Réagir face aux théories du complot ».

C’est en effet le 9 février 2016 que se déroula cette journée d’étude au Muséum national d’histoire naturelle à Paris.

Voulu par Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, cette journée s’inscrit dans le cadre de l’enseignement moral et civique et de l’éducation aux médias et à l’information.

Elle fut le cadre de nombreux échanges entre lycéens, étudiants et nombreux corps de métiers tels que professeurs, psychiatres, conférenciers, …

Au delà des simples théories conspirationnistes il convient de poursuivre cette journée par un tour de table le plus complet possible de toutes les sectes, organisations secrètes, communautés maçonniques et ordres occultes en les regroupant sur un même site.

Je Suis Charlie

La théorie du complot s’est considérablement amplifiée depuis les attentats du 11 septembre à New York.

Nul n’a oublié la terrible tragédie du World Trade Center.

Les attentats contre Charlie Hebdo en janvier 2015 et la barbarie du Vendredi 13 novembre à Paris n’ont fait qu’attiser les discours prétendant qu’un Nouvel Ordre Mondial est en marche.

Le monde des sectes, des sociétés secrètes et des complots planétaires existent réellement.

Les attentats sont des rituels sataniques.

Franc-maçonnerie, satanisme et sacrifices humains.

Franc-maçonnerie, satanisme : quel lien ?

La franc-maçonnerie voue-t-elle un culte au diable, au mal et à Satan ?

Pratique-t-elle des sacrifices humains ou d’autres pratiques occultes ou sataniques ?

D’où viennent ces rumeurs ?

En France, la franc-maçonnerie est véritablement née dans les années 1730 avant de se développer tout au long du XVIIIème siècle.

Les franc-maçons sont alors des bourgeois, des philosophes, des ecclésiastiques, des aristocrates, et même des membres de la famille royale.

Le gallicanisme (autonomie de l’Eglise de France par rapport au Vatican) rend possible cela.

Tout change au XIXème siècle.

La Révolution française, la signature du Concordat avec le pape en 1801 et les troubles politiques vont provoquer toute une série de ruptures dans la société française, qui va entre autres se diviser entre pro et antimaçons.

La haine atteindra son paroxysme à la fin du XIXème siècle : c’est à ce moment-là que les accusations de satanisme (“culte luciférien”, “adoration du diable”), de sacrifices humains et de pédophilie apparaîtront envers les franc-maçons.

Entrons dans les causes de cette haine.

Franc-maçonnerie, satanisme : quel lien ?

Qu’est-ce que la franc-maçonnerie ?

Dès l’origine, la franc-maçonnerie est une école de pensée libre qui propose non pas un dogme et des réponses toutes faites, mais des outils pour aider à la recherche de la vérité.

C’est donc une démarche adogmatique, qui emprunte ses références à nombre de traditions, au premier rang desquelles la tradition chrétienne.

Ces références chrétiennes sont aujourd’hui encore importantes pour les obédiences dites “traditionnelles” (Grande Loge de France, Grande Loge Nationale Française…), alors que les obédiences libérales (Grand Orient de France, Fédération Française du Droit Humain…) les ont largement abandonnées.

La franc-maçonnerie emprunte aussi à d’autres sources :

La philosophie, les sciences, la Kabbale (tradition juive d’interprétation mystique de la Bible), la Gnose (philosophie de la Connaissance),
les traditions et les religions à mystères de l’Antiquité, les traditions initiatiques anciennes : alchimie, chevalerie, bâtisseurs de cathédrales,
etc.

Ainsi les franc-maçons utilisent des références et des symboles en rapport avec ces traditions : rites et outils des bâtisseurs du Moyen-Age (compas, équerre, niveau, règle…), adoubement chevaleresque, symbolisme des éléments alchimiques, références aux penseurs antiques (Pythagore, Socrate…), etc.

Il n’y a bien sûr jamais eu de culte du Diable ou de Satan chez les franc-maçons, ni de rituel de sacrifice ou autres pratiques de ce genre. Les franc-maçons ne sont ni satanistes, ni pédophiles, ni sacrificateurs d’humains, et ne l’ont bien sûr jamais été.

Mais alors, pourquoi tant de rumeurs, de soupçons et de haine ?

JE SUIS CHARLIE UNE SOUMISSION SATANIQUE

MANIPULATION DE MASSE

CHARLIE HEBDO

ATTENTAT SOUS FAUX DRAPEAUX :

UN ATTENTAT POUR SEMER LA TERREUR A DES FINS POLITIQUES :

En premier lieu, au niveau purement physique, cet attentat porte toutes les marques d’un attentat sous faux drapeaux !

Un attentat sous faux drapeaux est tout simplement un attentat ou le coupable est différent que celui qui est donné par la version officielle.

Ainsi l’incendie du Reichstag en 1933, qui a permis à Hitler d’avoir les pleins pouvoirs était attribué aux communistes alors qu’il était allumé de toutes pièces par le parti Nazi…

Le 22 novembre 1963 le président Kennedy était assassiné à Dallas.

Son meurtre était attribué à Lee Harvey Oswald qui aurait agi seul selon les médias.

En réalité, Lee Harvey Oswald n’était qu’une marionnette sous contrôle mental du pojet MK Ultra.

Kennedy a été assassiné rituellement par la C.I.A., certaines loges maçonniques.

Tout commence en 2006, le plus gros scandale a éclaté avec la publication des premières caricatures de prophète.

Elles ont provoqué une flambée de violence dans le monde musulman.

Quelques années après l’attentat qui a décimé la rédaction, l’élan de solidarité s’est dissipé alors que le premier numéro publié avec le drame avait été tiré à près de 8 millions d’exemplaires et vendu dans 25 pays différents.

Une vente record couplée à la hausse des abonnements permettant à Charlie Hebdo d’atteindre les 200 000 abonnés.

L’ÉTAT ISRAÉLIEN MENACE LA FRANCE :

« La reconnaissance d’un État palestinien par la France serait une grave erreur » : menace lancée par Benyamin Netanyahou.

Le gouvernement israélien avait déjà menacé la France avant l’annonce d’un dépôt de loi à l’assemblée nationale.

Le dépôt effectif d’une proposition de loi pour reconnaître l’état de Palestine en vue d’obtenir un règlement définitif du conflit.

Le 7 janvier, en milieu d’après-midi, Manuel Valls s’était rendu devant les locaux de Charlie Hebdo, quelques heures après l’attentat.

La vidéo de Manuel Valls en compagnie de Meyer Habib a été censurée.

Curieuse anomalie : entouré du préfet de police et de gardes du corps, le Premier ministre était accompagné – à distance- du Franco-Israélien Meyer Habib, député UDI, militant ultra-sioniste et ami intime du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.

Attentat de Charlie Hebdo Meyer Habib Ahmed Merabet Manuel Valls

Al Qaïda est une pure création de la C.I.A. et quand il s’agit de renverser un chef d’état qui par égo ou prise de conscience décide de travailler pour son pays et son peuple plutôt que pour les illuminati.

L’État Islamique et El est une pure création de la C.I.A. et du Mossad.

Aujourd’hui le Sionisme est contrôlé par la lignée satanique Rothschild, les jésuites et l’internationale nazie.

En effet, Sionisme et Nazisme sont tous les deux financées par les lignées Windsor et Rothschild….

Ainsi, selon plusieurs sources et notamment les services de renseignement Iranien, le Calife chef de L’EI ou Daesh se prénommerai Simon Eliot et serait un agent du Mossad.

Le policier Ahmed Merabet n’a pas été tué, en zoomant dans la vidéo on voit distinctement le tireur viser à côté de la tête.

« Aucun sang ne gicle !…

Le cerveau aurait du exploser instantanément sous l’impact ».

Au cœur des spéculations, notamment, la découverte de la carte d’identité de l’un des deux suspects dans la voiture qu’ils abandonnée dans le Nord/Est de Paris, dans le 19ème arrondissement.

Et parmi les incohérences, il y a la couleur des rétroviseurs des deux assaillants.

Capture d’écrans à l’appui, ils montrent que la Citroën noire C3 avait des rétroviseurs blancs devant les locaux de Charlie hebdo alors qu’ils sont noirs sur la photo qui montre la voiture abandonnée un peu plus tard.

Pourquoi avoir attendu 9 ans pour se venger des caricatures du prophète, étrange ?

COMMENT ONT-ILS EU CETTE INFORMATION ?

Mercredi matin, à 11h25, les tueurs se présentent devant l’immeuble de la rue Appert à Paris mais en se trompant d’adresse : ils se dirigent d’abord vers le 6 de la rue avant d’entrer au numéro 10.

Les tueurs tirent sur un homme à l’entrée, Frédéric Boisseau, agent d’entretien.

Dans leur avancée macabre, ils rencontrent une dessinatrice qui a d’abord essayé de les tromper en leur désignant un mauvais étage.

Dans la salle de réunion de la rédaction, les deux tueurs demandent Charb, le directeur de publication du journal.

Il sera exécuté le premier.

Les forces de l’ordre et les pompiers ont mis un temps anormalement long pour intervenir après le départ des assaillants : « Entre 1/2 heure et 3/4 d’heure plus tard, les secours sont venus nous dire de ne pas sortir. »

Moins d’une heure après, Hollande est déjà sur place, 56 minutes après très exactement… l’a pas peur des balles perdues ou des bombes planquées dans le périmètre.

Frédéric Boisseau Francois Holland Mossad Hype rCasher

Ensuite, méthodiquement, 9 autres personnes ont été tuées.

Les tireurs en blessent 11 autres avant leur fuite des locaux.

Les premiers éléments de l’enquête donnent une version plus précise jeudi 8 janvier de l’attaque meurtrière qui a eu lieu dans les locaux de Charlie Hebdo mercredi matin.

France 2 a tenté de reconstituer en 3D l’assaut de deux tueurs à l’intérieur des locaux de l’hebdomadaire satirique.

Selon un ancien coordinateur du Raid interrogé par BFM-TV, celui-ci ne parvenait pas à charger son arme tout seul et a demandé l’aide de son frère, ce que ce dernier a fait.

L’attentat survenu au siège de Charlie Hebdo suscite un élément majeur d’interrogation : comment les deux terroristes se sont-ils retrouvés de l’autre côté du boulevard Richard-Lenoir en quittant l’Allée Verte qui jouxte l’immeuble de l’hebdomadaire ?

Problème : le mardi 13 janvier, l’agence de presse Reuters a diffusé une nouvelle vidéo qui contredit directement cette version.

On y découvre le duo criblant de balles une voiture de police dans l’Allée Verte avant de s’engouffrer à gauche, soit à contre-sens du boulevard.

A qui profite le crime ?

Certainement pas aux musulmans.

frères Kouachi Coulibaly Mohammed Merah attentat sous faux drapeau

On a pu démontrer les incroyables incohérences, comme la perte de pièces d’identité bien en évidence dans une voiture ce qui semble être une spécialité terroriste…, ou la mort hallucinante d’un policier tiré à bout pourtant mais pourtant pas de sang au sol ni de recul du policier en ayant utilisé son kalachnikov.

Que l’HyperCasher a été vendu peu de temps avant les attentats tout comme le Bataclan par ses propriétaires juifs, et Charlie Hebdo vendu par Rotschild deux mois auparavant…

Cela fait quand même beaucoup de coïncidences ?

Bref, tout cela converge vers un rituel satanique comme tant d’autres auparavant.

Tout converge vers la Franc-Maçonnerie, les sionistes et les satanistes unis contre nous.

Tout semble fait pour nous enfermer dans une bulle de terreur pour créer ainsi un choc psychologique suffisamment important permettant aux autorités de prendre votre contrôle en vous privant de liberté, état d’urgence sur tout le territoire, avec votre consentement inconscient.

Mais, il y a un autre élément qui intervient qui laisse à penser que les frères Kouachi, comme Coulibaly, comme Mohammed Merah ou comme Sirhan Sirhan étaient sous contrôle mental et étaient programmé pour tuer.

En effet, quand on regarde la vie des frères Kouachi, on s’aperçoit que leurs deux parents étaient décédés en 1995 et qu’ils ont été placés en foyer.

Or, les foyers sont des lieux ou les réseaux sataniques connectés à l’élite et aux programmes de contrôle mental choisissent leurs proies.

En effet, qui va réclamer des orphelins ?

Revenons à Coulibaly.

Ce criminel était l’invité de la Garden party de l’Elysée en 2009. Pourquoi ?

Pourquoi un criminel condamné aux assisses pourrait approcher l’élite politique ?

Parce qu’il servait leurs intérêts d’une manière ou d’une autre.

Coulibaly était une personne sous contrôle mental (projet mk ultra) qui aurait été contrôlé par certains hommes politiques de premier plan.

Les gens comme les frères Kouachi et Ahmedi Coulibaly sont les exemples typiques de personnes sous contrôle mental qui sont utilisée pour commettre des meurtres pour l’élite ou bien pour harceler des gens qui dérangent le système.

Le directeur de l’hyper-casher a vendu sa participation au magasin de Vincennes, la veille de l’attaque.

Les personnes qui dérangent sont également victimes d’attaques électromagnétiques qui leur font entendre des voies et qui leurs volent les pensées.

Les contrôleurs sont des politiciens, des présentateurs télé, des juges, des avocats et autres médecins qui par pur sadisme mais aussi pour éliminer ou neutraliser les gens qui dérangent vont programmer des harceleurs et les utiliser pour empêcher de vivre, voire atteindre physiquement et psychiquement les gens qui remettent en cause le système.

al-Qaïda Daesh terrorisme attentat de Boston

En effet, des membres ou des sympathisants des Frères musulmans, d’al-Qaïda ou de Daesh ne se seraient pas contentés de tuer des dessinateurs athées, ils auraient d’abord détruit les archives du journal sous leurs yeux, sur le modèle de ce qu’ils ont fait dans la totalité de leurs actions au Maghreb et au Levant.

Pour ces terroristes, le premier devoir c’est de détruire les objets qui, selon eux, offensent Dieu, puis de punir les soi-disant ennemis de Dieu.

De même, ils ne se seraient pas immédiatement repliés, fuyant la police, sans avoir achevé leur mission. Ils auraient au contraire terminé leur mission, dussent-ils mourir sur place.

Nous devons nous souvenir qu’au cours des dernières années, nous avons vu les services spéciaux américains ou de l’O.T.A.N. :

Tester en France les effets dévastateurs de certaines drogues sur des populations civiles

Soutenir l’Organisation de l’Armée Secrète (O.A.S.) pour tenter d’assassiner le président Charles De Gaulle

Procéder à des attentats sous faux drapeau, contre des civils, dans plusieurs États membres de l’OTAN

Nous devons nous souvenir que, depuis le démembrement de la Yougoslavie, l’état-major des États-Unis a expérimenté et mis en pratique dans de très nombreux pays sa stratégie ‘des combats de chiens’.

Elle consiste à tuer des membres de la communauté majoritaire, puis des membres des minorités en renvoyant les responsabilités dos-à-dos jusqu’à ce que chacun soit convaincu d’être en danger de mort.

C’est de cette manière que Washington a provoqué la guerre civile aussi bien en Yougoslavie que dernièrement en Ukraine.

Les Français seraient bien avisés de se souvenir également que ce ne sont pas eux qui ont pris l’initiative de la lutte contre les terroristes revenant de Syrie et d’Irak.

Le cas de Mehdi Nemmouche n’étant pas celui d’un terroriste solitaire, mais d’un agent chargé d’exécuter à Bruxelles deux agents du MOSSAD.

C’est Washington qui a convoqué, le 6 février 2014, les ministres de l’Intérieur de l’Allemagne, des États-Unis, de la France (Valls s’est fait représenter), de l’Italie, de la Pologne et du Royaume-Uni pour faire du retour des jihadistes européens une question de Sécurité nationale.

Ce n’est qu’après cette réunion que la presse française a abordé ce sujet, puis que les autorités ont commencé à réagir.

Nous devrions considérer toutes les hypothèses et admettre, qu’à ce stade, son but le plus probable est de nous diviser ; et ses commanditaires les plus probables sont à Washington.

WTC 2001 Isis terroriste endoctrinement

Les papiers d’identité des terroristes désignés, c’est étrange d’apprendre que les tueurs ont oublié une pièce d’identité de l’un d’eux, dans la Citroën noire utilisée pour l’opération !

Le premier petit braqueur venu fait un casse sans ses papiers et met le feu au véhicule utilisé pour ne pas retrouver des traces de lui… et des gars dits entraînés 6 mois en Syrie, avec un sang-froid de pro, oublient une carte d’identité nationale dans la voiture préparée pour l’opération ?

C’est pour ne pas avoir d’ennuis avec la police au retour, en cas d’arrestation, qu’ils ont pris leurs papiers avec eux et laissés dans la voiture pour ne pas les perdre ?

Et pas un journaliste ne trouve cela étrange !

Étrange aussi le policier qui n’a pas sorti son arme, comme s’il avait la mission de laisser faire, et qui dit à l’un des tueurs : « Non, c’est bon chef ! », comme si c’était prévu qu’il fasse le blessé… et aucun trace de sang.

Pour ceux qui savent comment se passe une blessure par arme à feu, et encore pire avec du calibre 7.62 AK 47 (arme de guerre), le tir sur le policier aurait été malheureusement beaucoup plus gore, surtout un tir dans la tête, d’ailleurs en regardant la vidéo le tir semble passer juste au-dessus de la tête, comment est-ce possible, de si près ?

Après l’attentat sous faux drapeau de Charlie Hebdo, nombreux ont compris le processus d’organisation de ce genre de drame, et dès les premières annonces de l’évènement de ce vendredi 13 novembre, nombreux ont pu constater en direct les mêmes scénarios se reproduire, encore et encore.

A la place des photos de profil Je suis Charlie, nous avons simplement des milliers de photos de profil en drapeaux français.

Mais en faisant cela on contribue à nourrir les versions officielles qui sont servies au peuple, on entre dans le jeu, dans la pièce de théâtre, on s’identifie à son pays, on reste dans une conscience 3D.

On réagit exactement de la manière dont ceux qui ont organisé cela souhaitent nous voir réagir : unis contre nos ennemis afin de pouvoir aller justifier ensuite des attaques contre eux.

attentat Stade de France Michel Houellebecq Coulibaly Hyper cacher Abou Bakr al-Baghdadi

Ô vous qui croyez !

L’humanité est maintenant clairement divisée en deux : ceux qui ont levé le voile de l’illusion et de la mascarade orchestrée par les élites et par ce que l’on appelle le gouvernement de l’ombre et ceux qui oeuvre encore au-dessus en terme de monde invisible et inter dimensionnel (les djinns) – et ceux qui ont encore leur perspective, leur esprit, coincés dans la matrice (le mougeon lambda), opérant sur une fréquence de perceptions plus limitée ; encore limitée aux sens physiques et à la réalité montrée par le système en place (programmation mentale via la télé-réalité, médias mainstream, éducation FM, astronomie…).

Ainsi, pour un même évènement, désormais, il y a clairement ceux qui voient au travers tout de suite et en temps réel, comme s’ils étaient spectateurs d’une mise en scène, d’une pièce de théâtre, et ceux qui sont complètement pris dans le film en oubliant qu’ils existent en dehors de ce film et qu’ils peuvent à tout moment se lever de leur siège et ne pas suivre là où le film les emmène – se jetant tout droit dans la gueule du loup, et de leur plein gré, en courant dans les bras grands ouverts de leurs bourreaux.

Les conséquences en terme de lois qui vont passer, l’agenda caché derrière l’acte en question, et l’écoeurement de voir le peuple encore une fois partir en courant droit dans le piège qui lui a été tendu.

La première question à se poser lorsqu’un évènement de ce type se produit, pour trouver les vrais coupables est : à qui profite le crime et à qui cela va-t-il servir ?

C’est le propre du faux drapeau : laisser les traces de son ennemi pour ensuite justifier d’aller l’attaquer.

Ce genre d’attentats est également souvent utilisé pour détourner l’attention de la population vers ces évènements dramatiques pendant qu’ils accomplissent autre chose de l’autre côté (appelé aussi tactique de diversion).

Mais pour arriver à ce que la population accepte ces lois, il faut la pousser au fait qu’elle réclame elle-même ces mesures et qu’elle en soit contente, en pensant que c’est pour son bien : la fameuse technique PROBLÈME-RÉACTION-SOLUTION.

LE BATACLAN / ATTENTAT AU STADE

Pourquoi se sont-ils fait sauter à ces endroits-là ?

Tout le monde s’interroge.

Personne ne comprend.

Enquêteurs et experts tentent de savoir pourquoi, alors qu’ils auraient pu provoquer un carnage et une panique mortelle, les trois kamikazes du Stade de France se sont fait sauter vendredi 13 novembre dans des lieux isolés, ne tuant qu’une personne, et encore probablement par accident, là où ils auraient pu faire beaucoup plus de victimes.

Rappelons ici la chronologie des faits :

21h20 – Au niveau de la porte D, le premier djihadiste actionne le détonateur de sa ceinture explosive remplie de TATP (peroxyde d’acétone) et de boulons.

Un passant, proche de lui, est tué.

21h30 – Nouvelle détonation.

Seule victime : le djihadiste, dont le corps coupé en deux gît sur le bitume.

La vitrine du restaurant voisin est à peine fendue.

22h00 – Dans une rue voisine, une dernière explosion ne tue que le porteur de la ceinture piégée, dans l’entrée d’une impasse, comme s’il s’était isolé avant d’appuyer sur le bouton mortel.

Bataclan Charlie Hebdo / Nice Strasbourg

A la fin de la rencontre.

S’ils avaient attendu le coup de sifflet final, quand des milliers de personnes se pressent vers le métro, ils auraient là aussi fait de terribles dégâts, d’autant que Paris aurait déjà été sous le coup des attaques contre les restaurants et le Bataclan.

Cas du Bataclan :

Ne s’assoit pas à la terrasse d’un café pour passer une commande.

Deuxièmement, il revendique son acte.

Troisièmement, il ne laisse pas une voiture rempli d’affaires personnelles, d’armes et de munitions prêtes à servir.

Et quatrièmement, s’il avait porté une vraie ceinture d’explosifs il y aurait eu des morts car l’explosion aurait été bien plus puissante.

Le premier djihadiste se surprend lui-même à exploser, c’est pourquoi il y aura un mort…

Car ce n’est pas lui qui déclenche le minuteur, secondement, les services secrets ne le préviennent pas, donc ces derniers ne pouvaient pas savoir qu’au moment même ou ils actionnaient le minuteur, le djihadiste frôlait une personne.

C’est pourquoi 10 minutes après, pour éviter un autre mort accidentel, ils arrivent à isoler l’autre djihadiste en le guidant, en lui parlant, lequel comme les deux autres devait porter une oreillette.

Vouloir créer la terreur avec le moins de victimes possibles pour faire passer le changement de constitution tant désiré.

Salah Abdeslam a été exfiltré en Belgique par ses deux amis Hamza Attou et Mohamed Amri.

Ils ont fait en voiture le trajet Molenbeek/Paris/Molenbeek – plus de 600 km et 6 heures de route – dans la nuit du vendredi au samedi matin.

Mis en place d’urgence du plan Vigipirate.

Il faut comprendre que Salah Abdeslam est protégé par les plus hautes autorités de Daech.

Mais lui et son frère Brahim qui organisaient les attentats de Paris ne devaient pas mourir, mais accompagner et gérer les martyrs. I

ls se sont fait doubler par les services secrets français de peur qu’ils ne parlent.

Car il est au courant des accords secrets entre la France et Daech.

Pour Brahim cela a fonctionné, mais Salah, lui, sentant le coup fourré, a changé de vêtement, s’est débarrassé du dispositif G.P.S. ainsi que de la ceinture explosive.

Et ensuite s’est enfui vers la Belgique pour rejoindre plus tard la Syrie.

Tous ces faits démontrent sans équivoque que l’État français a tout coordonné avec les services secrets, manipulant des islamistes comme des marionnettes, et ceci pour changer la constitution, pour faire et imposer un Patriot Act à la française, comme les Américains après les attentats du World trade Center, lui aussi notoirement sous faux drapeau, en utilisant Al-Qaïda comme couverture.

Rappelons quand même que l’état français a remis les frontières le jour des attentats, déployant ainsi 30 000 policiers, lesquels ont été mobilisés pour cette opération de contrôle aux frontières devant durer un mois dans le cadre de la conférence de Paris sur le climat (COP21).

Après les attentats le même jour, cette fermeture des frontières se trouve prolongée avec l’Etat d’urgence décrété…

Attentat sous faux drapeau Patriot Acte terrorisme.

Le jour même des attentats, vendredi 13 novembre 2015, toujours le même, non vous ne rêvez pas, est présenté le matin même le nouveau ‘Plan Armes’ du gouvernement visant à renforcer le contrôle des armes et des identités aux frontières sur le territoire national et européen.

Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, tiendra un discours pour présenter ce nouveau ‘Plan armes’ à Nanterre le matin du vendredi 13 novembre 2015, quelques heures avant les attentats.

Un exercice simulant des attentats a été conduit le matin même de l’attaque par les services d’urgence hospitaliers, sous le contrôle des ministères de l’Intérieur et de la Défense.

Une coïncidence que l’on avait déjà relevée lors des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, de ceux du 11 mars 2004 à Madrid, ou encore de ceux du 7 juillet 2005 à Londres.

Brahim Abdeslam buvait de l’alcool et fumait du cannabis à outrance, c’était un délinquant de droit commun, il n’avait pas le profil d’un fanatique religieux prêt à mourir en martyr.

Continuons, il s’installe tranquillement à la terrasse d’un café et se fait sauter, sans crier ‘Allah akbar’, isolé des autres personnes sauf de la serveuse…

Et ne tuant personne…

Même pas la serveuse qui est à moins d’un mètre de lui !

Incroyable cette ceinture d’explosifs.

Ce n’est pas très logique, un vrai kamikaze ne s’assoit pas à la terrasse d’un café pour passer une commande, secondement, il revendique son acte, troisièmement, il ne laisse pas une voiture rempli d’affaires personnelles, d’armes et de munitions prêtes à servir.

Et quatrièmement, s’il avait porté une vraie ceinture d’explosifs il y aurait eu des morts car l’explosion aurait été bien plus puissante.

Il n’a jamais voulu se faire sauter, il devait attendre et aller chercher les autres en voiture après leur fusillade.

Les services secrets ont déclenché à distance des micro-explosifs qu’ils ont dissimulés dans son blouson ou dans la ceinture de son pantalon, assez puissant pour le tuer lui et blesser des gens alentour sans grande gravité.

Tout cela dans le but de faire croire à un attentat suicide.

Non seulement il n’y a aucun mort sauf celui qui travaille pour les services secrets et dont il faut se débarrasser, comme dans l’affaire Merah, mais cela passe pour un attentat suicide et provoque quand même une peur terrible.

ATTENTAT AU BATACLAN :

Le père de l’une des victimes a adressé la copie d’une lettre qu’il a transmise au juge d’instruction, que je cite en résumant : « Sur les causes de la mort de mon fils A… à l’institut médico-légal de Paris, on m’a dit, et ce avec des réserves compte tenu du choc que cela représentait pour moi à cet instant-là, qu’on lui avait coupé les testicules, qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré… j’ai constaté qu’il n’avait plus d’oeil droit… »

Comment l’engin tranchant a-t-il pu dès lors disparaître de la scène du crime ?

Pourquoi avoir attendu 140 minutes avant d’intervenir au Bataclan ?

Pourquoi ne pas avoir autorisé le RAID et la BRI à intervenir immédiatement ?

Détail à souligner : le policier de la B.A.C. affirma, lors de son audition du 21 mars, ne pas exclure qu’un quatrième terroriste non identifié ait pu être présent et s’enfuir parmi les spectateurs.

La compagne du chanteur Jesse Hugues avait filmé ce soir-là une mystérieuse figure encapuchonnée de noir en train de dévaler les escaliers du Bataclan avant l’arrivée des tueurs.

Alors, des corps trainés au rez-de-chaussée pour former l’oeil d’Horus, des gens torturés horriblement à l’étage.

Cela nécessite un temps que n’ont pas eu les terroristes de la version officielle et cela ressemble à une cérémonie rituelle talmudo-satanique.

Deux organes de presse rapportent des propos tenus par les frères Laloux (Pascal et Joël) et accordés à la seconde chaîne de télévision israélienne : ces deux hommes affirment avoir vendu le Bataclan le 11 septembre dernier (au groupe Lagardère qui a choisi de conserver ses gérants Jules Frutos et Olivier Poubelle) en raison de la récente émigration de l’un d’entre eux (Joël) en Israël.

Soit deux mois avant la prise d’otages du 13 novembre qui causa la mort de plus de 89 spectateurs (sur la centaine de victimes fauchées au total par les attentats).

Au même moment, ce vendredi matin, les responsables de la sécurité au sein de la communauté juive auraient appris l’imminence d’une large attaque terroriste selon The Times of Israël.

L’auteur de cette confidence : le bien informé Jonathan Simon-Sellem, extrémiste franco-israélien de la cause sioniste et grand ami de Meyer Habib.

En 2016, le Canard enchaîné avait déjà accusé les autorités françaises d’avoir refusé l’intervention dès 22h de deux escadrons de gendarmes mobiles au Bataclan.

La responsabilité du ministère de l’intérieur, déjà largement mise en évidence par l’inaction des services anti terroristes en amont, est cette fois définitivement établie.

Rappelons que le ministre de l’Intérieur a également entravé l’enquête sur les attentats Hyper Cacher-Charlie Hebdo.

L’année dernière, L’indic Claude Hermant a d’ailleurs impliqué l’Etat dans cette affaire.

Le gouvernement Valls/Hollande est donc mouillé jusqu’au coup dans les attentats qui ont endeuillé la France depuis 2015.

LE WORLD TRADE CENTER

Contrairement aux idées reçues, vous ne pourrez jamais voir l’objet qui provoquerait une explosion au-dessus de vos têtes en marchant dans les rue de New York sauf si vous savez à l’avance où et quand se situe la frappe et à condition de bien vous positionner dans ces rues particulièrement encaissées par ses barres d’immeubles…

L’explosion oui vous la verrez, mais pour l’objet lui-même (s’il y en avait un!),le temps de lever la tête et ce serait trop tard…

Quant au bruit de l’avion en approche vous ne l’entendrez pas car il n’y en avait pas !…

C’est les raisons pour lesquelles il ne pouvait y avoir de vidéos amateur filmant l’approche des avions sur les tours.

Les révélations de Lear s’harmonisent complètement avec les déclarations du mois dernier de l’ex agent de la CIA, Malcom Howard, qui a fait une confession sur son lit de mort où il a déclaré qu’il faisait partie d’une opération hautement classifiée chargée de faire exploser le Bâtiment 7.

Même Donald Trump, qui est l’un des promoteurs immobiliers les plus expérimentés de la ville de New York, a déclaré que le bâtiment ne pouvait être abattu que par des explosifs car « les avions n’auraient jamais pu endommager les poutres en acier. »

World Trade Center Malcom Howard1 1 septembre 2001 attentat à New-york

UN EX-AGENT DE LA CIA TÉMOIGNE :

John Lear, un ex-agent de la CIA, qui est également un pilote expérimenté, a parlé de la destruction des bâtiments du World Trade Center, affirmant que les trois tours ont été abattues par des démolitions contrôlées et non par des avions qui auraient été détournés par des pilotes amateurs.

John Lear, a non seulement fait une déclaration sous serment en tant que témoin expert, mais il a également produit des preuves concluantes qui réfutent le récit officiel selon lequel les tours jumelles ont été détruites par des avions qui ont été volés et pilotés par des terroristes.

Par l’entremise du serment, l’agent Lear confirme que les bâtiments du W.T.C. à New York ont été démolis en utilisant des explosifs placés préalablement dans un complot soigneusement orchestré et bien conçu par le gouvernement des États-Unis et la CIA, ajoutant :

Aucun avion de ligne Boeing 767 n’a frappé les tours jumelles comme prétendu frauduleusement par le gouvernement et les médias. »

Le 3ème avion n’a pas réussi à frapper le Bâtiment 7 comme prévu en raison de complications sûrement dû à un problème de projection holographique, mais les trois tours ont été détruites selon le plan.

En ce qui concerne l’impossibilité de détourner les avions dans les tours, l’agent John Lear a dit dans sa déclaration sous serment : « Ces accidents ne se sont pas produits car ils sont physiquement impossibles, tels que représentés, pour les raisons suivantes : dans le cas de l’UAL 175 s’écrasant dans la tour sud, un véritable Boeing 767 aurait commencé à télescoper lorsque le nez a frappé l’acier des poutres de 35 centimètres à l’extérieur et de 100 centimètres au centre.

La queue de l’avion se serait détachée instantanément, aurait frappé les poutres en acier et serait tombée au sol.

Les moteurs lors de l’impact avec les poutres en acier auraient conservé leur forme générale et seraient tombés au sol, ou auraient été récupérés dans les débris du bâtiment effondré.

Aucun Boeing 767 ne pourrait atteindre une vitesse supérieure à 800 km/h à 300 mètres au-dessus du niveau de la mer.

La ventilation du moteur n’est pas conçue pour accepter le volume d’air dense à cette altitude et vitesse…

Les débris de l’effondrement auraient dû contenir des énormes morceaux du Boeing 767, dont 3 réacteurs pesant environ 4 tonnes chacun qui n’auraient pas pu être cachés.

Pourtant, il n’y a aucune preuve de ces énormes composants d’un 767 au WTC.

Une disparition complète de débris de Boeing 767 est impossible. »

CE QUE L’ON VOUS CACHE :

Au moins deux différents types d’armes nucléaires ont été utilisés.

L’un étant une mini-bombe nucléaire standard avec un W-54 Pit design d’une puissance inférieure à 3 kilotonnes mais plus puissante qu’une bombe de 500 tonnes pour le souffle d’explosion.

Les armes plus grosses améliorées utilisées pour provoquer l’effondrement des tours 1 et 2 étaient au moins d’une puissance de 1 à 3 kilotonnes.

La taille de la boule de feu limite la valeur en kilotonne de l’arme à moins de 60 mètres de diamètre en raison de la taille du bâtiment.

Pour chaque kilotonne d’effet explosif on obtient approximativement une boule de feu d’un rayon de 15 mètres.

La taille de la boule de feu peut être bien moindre quand elle est contenue à l’intérieur d’une structure d’acier.

Avec un engin thermo barique (explosif allié à une matière inflammable), la boule de feu plasmatique restera de la même taille mais elle sera sous une plus grande pression et aura plus de densité du fait des matériaux en oxyde ferreux qui sont ajoutés à la boule de feu.

Quand la boule de feu s’expanse à sa taille maximum de 45 mètres et juste après qu’elle a consumé tous les matériaux du bâtiment dans son secteur (jusqu’à 150 tonnes pour une arme de 3 kilotonnes), elle commence à refroidir très rapidement.

En refroidissant elle expulsera le plasma métallique en fusion sous très forte pression juste comme dans un volcan.

Et faisant exploser la lave ou plasma au cœur du bâtiment juste au-dessus.

Cette explosion volcanique de plasma métallique brûlant va littéralement désintégrer à l’intérieur du bâtiment tout ce qui entre en contact avec.

L’impulsion électromagnétique à suivre ajoutera encore plus de chaleur aux composants structurels du bâtiment.

L’impulsion électromagnétique détruira ou effacera aussi tout disque dur d’ordinateur qui aurait survécu dans la zone.

Nano thermite WTC 2001 Pentagone Oussama Ben Laden

Une arme à l’uranium ou au plutonium peut servir de primaire.

Le primaire a juste besoin d’être une arme conçue pour la fission.

L’uranium est également utilisé dans une arme au plutonium comme réflecteur de neutron et propulseur d’énergie.

Elle réduit de 25 à 50 % la quantité de plutonium nécessaire.

L’uranium ne va pas brûler complètement parce que c’est un réflecteur de neutrons, il apparaît donc dans les retombées.

Ajouter de l’oxyde de fer au secondaire réduira les importantes retombées radioactives à des niveaux acceptables après plusieurs jours, c’est une arme incendiaire propre.

C’est en gros une arme plasmatique de première génération quand on l’utilise dans une construction fermée en acier.

La construction fermée en acier aide aussi plus tard à contenir les retombées, quand on s’en sert dans une très grande structure d’acier comme pour le 11 septembre.

Le grand noyau central du bâtiment d’une longueur de 304 mètres agit comme guide des ondes thermiques pour que le plasma chaud convertisse le noyau central en arme à énergie directe.

Il agit aussi comme guide à onde électromagnétique pour une impulsion électromagnétique et dirige l’énergie produite par l’arme directement au-dessus du noyau central.

L’impulsion électromagnétique est polarisée verticalement et elle est absorbée d’abord par la structure métallique des bâtiments.

Les effets du champ électromagnétique ne s’étendent pas au-delà du champ magnétique produit par le souffle initial.

Un bâtiment en acier agit comme une cage de Faraday qui absorbe et renvoie l’énergie électromagnétique sous forme de chaleur, ce qui ajoute à l’effet thermo barique.

WTC

Les rayons X, les rayons gamma et les neutrons sont rapidement absorbés par la plupart des matériaux lourds du bâtiment, très peu donc de ces radiations voyageront au-delà de quelques blocs vers l’extérieur de la structure du bâtiment.

Pour empêcher que le retour d’onde électromagnétique ne fasse disjoncter le courant électrique à Manhattan, il fallait débrancher le courant juste avant l’explosion.

Ce qui nécessitait que quelqu’un coupe le courant dans le poste de transformation utilisé par le complexe du W.T.C. et la compagnie d’électricité.

OÙ EST DONC CE BOEING DU VOL 77 SUR LE PENTAGONE ?

Ce Boeing American Airlines, avion bi-moteur de 38 m de long.

D’abord sur la façade du pentagone on ne retrouve pas l’impact des ailes sur le mur, ce géant de 38 m pesant 58 tonnes à vide disparaît dedans selon eux mais pour en ressortir et sans y voir les restes de l’appareil ?

batiment 7 Boeing vol 77 Mohammed Atta

Il s’ensuit que, quel que soit l’avion qui a frappé le Pentagone, ce n’était pas un Boeing 767, comme l’a prétendu la Maison Blanche.

Le soi-disant terroriste qui aurait frappé le Pentagone a l’aide d’un avion détourné ne savait même pas piloter un avion monomoteur Cessna d’après le récit officiel.

Or le 11 septembre, il aurait réussi à manipuler, malgré un manque cruel de compétence, un 757 en effectuant des manœuvres très complexes ?

La réalité est que le missile a visé et frappé volontairement le bureau des analystes du budget où les employés enquêtaient sur la disparition, dans les caisses du Pentagone, plus de 2 trillions de dollars.

Et les corps des passagers de ce vol 77 AA où sont-ils et le fuselage de l’appareil ?

Les caméras de surveillance enregistre seconde par seconde l’explosion mais présence de Boeing ?

Mais le plus drôle de cette affaire…

Le moteur endommagé montré était parmi les débris de collision trouvés au Pentagone.

Il arrive à correspondre au moteur ci-dessous, un moteur JT8D fabriqué par Pratt & Whitney, sauf le moteur endommagé a perdu ses pales de rotor.

Le JT8D est apparemment utilisé dans l’A3 Skywarrior, avion plus petit.

Cependant, le JT8D n’est pas utilisé sur des avions plus lourds comme les avions de la série 700 de Boeing, car il est trop petit pour être une centrale électrique efficace pour ces avions.

LES TÉMOINS OCULAIRES ?

Ceux qui disent avoir vu un avion de ligne dans la zone du Pentagone, et/ou l’avoir vu s’écraser dessus, sont au nombre de 152.

Mais après analyse, on s’apercevra que seulement 31 d’entre eux donnent une relation explicite, réaliste et détaillée.

De plus, on peut tenir compte que certains auraient pu fournir un témoignage volontairement orienté, de la frappe d’un avion de ligne sur le Pentagone.

Franck Probst Alexander Cockburn Twin Towers de Manhattan Mémorial du 11 Septembre

En effet, lorsque l’on se penche sur les 31 témoins, on constate que 24 d’entre- eux travaillaient pour le gouvernement fédéral ou les grands médias.

Et sur les 31 témoignages, 21 dépositions contiennent d’importantes erreurs ou contradictions.

Voici quelques exemples :

– Steve Anderson, responsables des communiqués à ‘USA Today’ déclare que l’avion : « a raclé son aile sur le sol » avant de frapper le Pentagone.

Mais la pelouse ne montre aucun dommage.

– Franck Probst, un ancien officier de l’armée, dira que l’un des réacteurs est passé « à deux mètres au-dessus de lui. »

Ceux qui ont étudié les turbulences dans l’air produisent par un Boeing 757 volant à plusieurs centaine de Km/h, sont sans équivoque, si le Boeing était passé aussi près de lui, Probst ne serait plus là pour en parler.

Il aurait été tué sur le coup ;

– M. Spinney. Son témoignage a été reprit dans l’article d’Alexander Cockburn pour ‘Le Monde Diplomatique’ de décembre 2006 : « le complot du 11 septembre n’aura pas lieu » : « Je n’ai pas assisté au crash de l’avion, mais le chauffeur du véhicule d’où je suis sorti à ce moment précis l’a vu avec tant de précision qu’il a même distingué les visages terrifiés des passagers aux fenêtres. »

Déjà immobile, il est déjà difficile d’apercevoir quoi que ce soit à l’intérieur d’un Boeing.

Celui-ci volant alors officiellement, à plus de 800 km/h, on peut se demander comment le témoin (le chauffeur) aurait pu voir les visages terrifiés des passagers.

A contrario, il existe 13 témoins déclarant que le Boeing a survolé le Pentagone à basse altitude (et pas en ‘raze-motte’) et l’a dépassé, avant de remonter (dont Bill Lagace, Robert Turcio, Edward Paik, Chad Brooks, Levi Stephens, Sean Boger…).

Et deux diront avoir vu quelque chose qu’ils décriront comme étant un missile.

Président BushMaison Blanchefalse flagRalph Kolstad

OÙ SONT LES VIDÉOS DU CRASH ?

Revenons à cette question le pentagone possède 3 caméras de surveillance.

Les deux photographies été prise durant l’attaque terroriste à 17h37 et 19secondes même pas 1 seconde d’intervalle et on voit une explosion soudaine mais aucun avion n’est observé dans la surveillance vidéo, étrange ?

Malgré les dizaines de caméras présentent sur le site, avoisinant la centaine, nous n’avons pas eu le droit de voir ces images pourtant si importantes.

Le dispositif permettrait pourtant de voir l’avion sous toutes ses coutures.

Le Boeing est en effet passé dans le champ de vision de ces caméras.

Alors pourquoi le FBI refuse il de diffuser les vidéos montrant le crash d’un éventuel avion comme l’indique la théorie officielle.

Cela fait précisément 15 ans que des millions de citoyens, attendent ces vidéos.

Pourquoi ne pas les montrer, si cet avion existe bel et bien.

Qu’y a-t-il donc à cacher ?

Le soit disant vol 77 American Airlines, percuta le Pentagone à 9h 37 précisément soit 1 heure 18 minutes après qu’Américan Airlines fut mis au courant du premier détournement.

Le vol 77 quitta son plan de vol, coupa son transpondeur à 8h56, 41 minutes avant le crash, et malgré ses multiples infractions aux règles de l’air et de circulation aérienne repérées par tous les centres de contrôle, et donc soigneusement signalées, aucun chasseur ne vint étrangement l’intercepter malgré 2 précédents crash.

Il existe au Pentagone des systèmes de défense anti-aériens automatiques autour du site militaire et il lui paraît donc impossible qu’ils n’aient pas été activés avant ni avoir envoyé des chasseurs pour intercepter le Boeing ?

8h46mn : crash du WTC 1

9h37mn : crash du Pentagone

Ce qui nous donne 51 minutes d’intervalle entre le 1er et le 2ème crash pourtant AUCUN AVION SUR LES VDÉOS !

CE QUE CACHE CETTE MISE EN SCÈNE ?

Comment autant de points troublant ont pu passer sous silence, les corps des passagers, le fuselage du boeing… sommes-nous en présence de l’information contrôlée que cache réellement cette mise en scène ?

Ralph Kolstad, qui a suivi la formation à Top Gun lorsqu’il était pilote de l’US Navy, avant d’être pilote de ligne durant 27 ans déclarera : « J’ai 6000 heures de vol sur des Boeing 757 et 767 et je n’aurai jamais pu effectuer la trajectoire qui a été décrite ».

Les enregistrements montreront que la porte du cockpit était fermée, et qu’elle n’a jamais été ouverte durant tout le vol.

Dans ce cas, comment les pirates de l’air ont-ils pu pénétrer dans le poste de pilotage ?

FBI CIA Mossad MI6

Les morceaux de fuselage ne sont nullement carbonisés et encore moins simplement brûlés.

La peinture est parfaitement intacte (alors que selon la commission, l’avion s’est encastré dans le bâtiment, pour y entrer complètement).

La jante est un modèle à 8 secteurs (les trous) sur le pourtour.

Elle sera retrouvée près du trou de sortie, l’anneau C de la façade intérieure.

Où elle pose problème, c’est que l’on ne retrouve jamais lors d’un crash, l’axe du train d’atterrissage séparées de cette façon de la jante (comme si tous les boulons servant à la maintenir sur l’axe avaient été dévissé).

Habituellement, l’axe se retrouve tordu, brisé, mais il reste toujours en un seul morceau et ne se désolidarise pas de la jante.

De plus, les Boeing 757-200 (comme le Vol 77) ont des jantes avec six secteurs et non huit.

Une journaliste de l’US Navy, Barbara Honeger, a rapporté qu’une explosion avait eu lieu préalablement à l’impact sur la façade.

Elle a également constaté que plusieurs pendules étaient restées bloquées à 9 h 32 alors que l’heure officielle du crash est 9 h 37.

Le FBI s’est rendu très vite sur tous les sites possédant des caméras de surveillance autour du Pentagone et a saisi tous les enregistrements, donnant l’ordre aux employés d’un hôtel proche qui avaient visionné une vidéo du crash, d’observer un silence absolu.

LE CONTROL DU TEMPS / ARME HAARP

Pour ceux qui doutent encore que de telles armes secrètes dévastatrices ont été développées, voici une citation intrigante d’un article paru dans le principal journal néo-zélandais, le New Zealand Herald :

« Des expériences top-secrètes en temps de guerre ont été menées au large des côtes d’Auckland pour perfectionner une bombe à raz-de-marée, révèlent des fichiers déclassifiés.

Les chefs de la défense des États-Unis ont déclaré que si le projet avait été achevé avant la fin de la guerre, il aurait pu jouer un rôle aussi efficace que celui de la bombe atomique.

Les détails de la bombe à tsunami, connue sous le nom de Project Seal, sont contenus dans des documents vieux de 53 ans publiés par le Ministère des Affaires Étrangères et du Commerce. »

Si les militaires développaient secrètement il y a plus d’un demi-siècle une arme qui pourrait causer un tsunami, quel type d’armes mortelles avancées pourrait maintenant être disponible ?

Et, pourquoi le grand public ignore-t-il encore les armes secrètes développées il y a plus de 50 ans ?

Il faut comprendre pourquoi les médias ne couvrent pas ces problèmes très critiques.

De toute évidence, l’armée a la capacité de provoquer des tsunamis et de causer des tremblements de terre et des ouragans.

Il est temps pour nous de prendre des mesures pour faire passer le mot sur ce sujet vital.

Ayant interprété pour les plus grands généraux dans mon travail d’interprète du langage avec le Département d’État des États-Unis, j’ai appris que les planificateurs militaires sont toujours intéressés à développer les armes les plus dévastatrices possibles.

Pourtant, ces armes sont gardées secrètes aussi longtemps que possible, prétendument pour des raisons de sécurité nationale.

Les nombreuses couches du secret intense dans l’armée et le gouvernement ont pour résultat que très peu de gens sont conscients des capacités horribles de mort et de destruction qui ont été développées au cours des années.

Il y a de nombreux exemples de grands projets de défense tenus secrets avec succès pendant des années et même des décennies.

L’énorme Projet Manhattan (développement de la première bombe atomique) en est un exemple.

La construction d’une ville entière pour soutenir le projet de Oak Ridge, dans le Tennessee, a été tenue secrète avec succès, même pour le gouverneur de l’état.

Le bombardier furtif a été gardé secret pendant de nombreuses années, et le public n’a toujours aucun moyen de connaître ses capacités.

C’est grâce à l’utilisation des services militaires et du renseignement hautement organisés que l’élite au pouvoir dans notre monde, travaillant en coopération avec des alliés clés dans le gouvernement et la propriété corporative des médias, qu’ils sont capables d’effectuer des dissimulations majeures et des opérations secrètes comme celles impliqué avec HAARP.

Certains chercheurs ont soulevé des questions sur l’implication possible de HAARP dans des catastrophes majeures, comme le tremblement de terre en Haïti, le tsunami indonésien et l’ouragan Katrina.

Est-ce que cela aurait pu être des expériences avec HAARP qui ont mal tourné ?

Ils ont peut-être même été causés par des éléments voyous qui ont pris le contrôle de cette technologie dévastatrice.

Bien sûr, des catastrophes comme celles-ci se produisent régulièrement sur une base naturelle, mais si vous commencez à faire des recherches, il y a une grande étrangeté autour de certaines de ces catastrophes.

Les preuves ne sont pas concluantes, mais avec les capacités destructrices majeures connues et inconnues de cette arme, de sérieuses questions demeurent.

Jesse Ventura, ancien membre des Navy Seal qui est devenu pro-gouverneur avant de devenir gouverneur du Minnesota, a également fait une spéciale au sujet de HAARP qui est un peu sensationnelle, mais qui contient des informations utiles.

Mais, la vidéo sur YouTube n’est curieusement plus disponible.

PROJET BLUE BEAM LA TECHNOLOGIE HOLOGRAPHIQUE

Simulation d’avions dans les tours du world trade center

Une hallucination collective sous contrôle pour une religion mondiale

Ces armes pourraient être utilisées depuis l’espace pour atteindre une personne n’importe où sur la surface de la terre.

Le projet Blue Beam de la NASA est une stratégie pour imposer la religion du Nouvel âge avec » l’Antéchrist » à sa tête et ce en quatre phases.

Derrière cette formulation religieuse se dissimulerait un plan scientifique mettant en œuvre des technologies spatiales high-tech.

La religion mondiale unique serait la fondation même du nouvel ordre.

Une nouvelle religion est inventée à chaque changement d’époque astrologique, la nouvelle religion est en marche pour l’âge du verseau 2012 / 2013.

Une » théocratie » pour une ordre mondial doit disposer d’une religion et d’un sauveur unique pour imposer un culte unique sinon un contrôle mondial n’est pas envisageable.

Le projet technologique » BLUE BEAM » viserait donc à tromper les individus par une mystification de pointe en à créant un simulacre énorme et spectaculaire, à l’échelle mondiale.

Sur le plan scientifique, cette thèse conspirationniste s’appuie sur plusieurs éléments.

Depuis trente ans, les soviétiques et américains auraient constitué de gigantesques bases de données relatives aux particularités physio-psychologiques, à la composition anatomique et électromécanique du corps humain, ainsi que les études électromagnétiques, chimiques et biologiques du cerveau.

Ces bases de données incluraient également les langues et dialectes de toutes les cultures mondiales.

Des programmes religieux de type messianique et autres figureraient aussi dans ces bases.

Or, l’ensemble de ces données pourraient être véhiculées par relais de satellites.

Si nous mettons ce spectacle spatial en parallèle avec le programme de la « guerre des étoiles », nous constatons que la combinaison de radiations électromagnétiques avec l’HYPNOSE a fait l’objet de recherches intensives!

En 1974, le chercheur G.F. Shapits aurait dit à ce sujet : « Cette recherche a montré que le langage parlé de l’hypnotiseur peut également être transmis par une énergie électromagnétique directement dans une certaine partie du cerveau humain sans utiliser de moyens mécaniques de réception et de codage, et sans que la personne exposée à cette influence ne puisse contrôler consciemment l’entrée de l’information.

On peut en déduire que le comportement volontaire de la personne a été soustrait à son libre arbitre ».

Selon le psychologue James Mc Connel : « Nous pouvons à présent combiner la privation sensorielle avec les drogues hypnotiques, et une astucieuse manipulation de la récompense et de la punition afin d’obtenir un contrôle absolu sur le comportement d’un individu.

Il sera alors possible de réaliser un rapide et efficace lavage de cerveau qui nous permettrait d’effectuer des changements importants sur la personnalité et le comportement d’une personne ».

Dans son livre « Le Corps Electrique », le prix Nobel Robert Baker décrit une série d’expériences démontrant qu’on pouvait entendre et comprendre des messages transmis d’une cabine d’isolation, par audiogramme à pulsions micro-ondes analogues à la vibration d’une parole envoyée dans le cerveau.

Baker en déduisit « qu’un tel système a une application évidente pour couvrir des opérations destinées à pousser à la folie une cible humaine à l’aide de voix inconnues ou pour donner des ordres indétectables à un tueur programmé ».

Le livre de James C. Lynn parut en 1978, (L’Effet et l’Application des Micro-ondes auditives), décrit également comment des voix audibles peuvent être directement diffusées dans le cerveau.

Ces micro-ondes pourraient également être utilisées pour brûler la peau, augmenter l’effet des drogues ou affecter le fonctionnement du cerveau.

Ces effets ont tous été reconnus officiellement par la CIA, le 21 septembre 1977, lors d’un témoignage devant le Comité de la Santé et de la Recherche.

Le Dr Sidney Gottlieb qui dirigeait le programme MK-Ultra à cette époque fut contraint d’admettre les recherches de la CIA en vue de découvrir des techniques affectant l’organisme humain à l’aide de moyens électroniques.

Première phase :

La première phase concerne l’effondrement de toutes les connaissances archéologiques, religieuses et conceptions scientifiques classiques.

De nouvelles découvertes démontreraient aux gens l’erreur fondamentale des doctrines religieuses traditionnelles.

Cette falsification de l’information aura pour but de convaincre tous les peuples que leurs enseignements religieux ont été mal interprétés et détournés depuis des siècles.

Il s’agit d’une phase de préparation psychologique visant à détruire les fondements des religions traditionnelles.

Nous en avons quelques prémices avec l’approche des religions de David Icke.

Beaucoup de théories conspirationnistes sapent également les fondements des religions traditionnelles préparant le terrain à une religion mythico-scientifique qui surpasserait et engloberait toutes croyances y compris l’athéisme dans un très puissant mouvement de pensée mondialiste.

Cette phase consiste à tirer violemment de certaines illusions les populations, de leur faire perdre pieds en supprimant tous repères, et enfin de leur offrir « la seule vraie religion qui réconcilie, soulage et apaise tout le monde ».

Il s’agirait d’une sorte de religion unitaire absorbant toutes les disciplines et tous les courants de pensées dans un paradigme très large et où tous y trouvent leur compte.

Ce serait l’équivalent de l’idée de « Science » de la Grèce Antique, à la seule différence qu’elle n’émergerait pas naturellement d’un contexte culturel mais serait artificiellement implantée ou imposée après une profonde déstabilisation psychique des populations.

Deuxième phase :

La seconde phase du PROJET BLUE BEAM concernerait une gigantesque mise en scène spatiales à l’aide d’hologrammes optiques et sonores en trois dimensions, une projection laser d’images holographiques en divers endroits du monde.

Chacun recevra une image en accord avec la foi dominante de son pays.

La nouvelle « Voix de Dieu » parlera dans toutes les langues, et chacun l’entendra clairement avec les mots de son conditionnement culturel et religieux.

Le show spatial, c’est à dire la projection d’images holographiques dans le ciel sera utilisé pour simuler la fin des temps parmi les nations.

Les peuples seront témoins de scènes représentant les prophéties et les événements que chacun a eu le désir de vérifier.

Ces images, musiques et sons seront projetés depuis un vaste réseau de satellites, approximativement à une centaine de kilomètres au dessus de la terre.

Le but de ces représentations scéniques est de faire apparaître aux yeux du monde un « nouveau Christ », le nouveau messie Maitreya dont parlent les sutra bouddhistes.

Le PROJET BLUE BEAM disposerait d’un stratagème si perfectionné qu’il plongera un nombre considérable de personnes dans un état de ravissement quasi extatique, les faisant entrer dans une réalité de substitution.

Le PROJET BLUE BEAM – la venue du messie – prétendra être l’accomplissement des anciennes prophéties, l’événement majeur depuis 2000 ans.

Il sera sur fond de cinémascope céleste traduisant en simultané un message d’amour dans toutes les langues et dialectes de la planète. Il pourrait aussi servir pour détruire un véritable » MESSIE « , c’est à dire un homme sage avec un grand pouvoir capable de contrer les plans du gouvernement mondial.

Avec cette animation virtuelle et le son provenant de la profondeur même de l’espace, les fidèles de diverses croyances, fortement impressionnés, seront témoins du retour de leur sauveur comme une réalité vivante.

Ensuite les projections de Jésus, Mohammed, Bouddha, Krishna, etc…

Se fondront en une seule figure après que l’on aura expliqué le mystère des révélations religieuses et de leur dévoilement.

Cette divinité unique, sera l’antéchrist qui expliquera que les différentes écritures sacrées ont été mal interprétées et incomprises, et que les vieilles religions sont responsables d’avoir dressées l’homme contre l’homme.

Ca tombe plutôt bien car c’est exactement le cas, par exemple JESUS n’a rien à voir avec le SOLEIL INVAINCU des romains du 25 DECEMBRE et il est maintenant facile de démontrer que tout vient d’égypte et du ZODIAQUE égyptien.

Mais cette grande mystification (la vérité) aura pour effet de générer un désordre social, politique, culturel et donc religieux puisque tout est faux, manipulé et inversé, que la vérité est cachée au monde.

Voir : Secrets du Zodiaque

Troisième phase :

La troisième phase conjuguerait la télépathie avec l’électronique, les systèmes d’émission, de réception où les ondes ELF, VLF et LF peuvent atteindre chaque personne à l’intérieur de sa conscience en vue de persuader que c’est son propre dieu qui lui parle depuis les profondeurs de son âme.

De tels rayonnements envoyés par les satellites peuvent s’entremêler avec la pensée pour former ce qu’on appelle la pensée artificielle diffuse.

Des expérimentations à ce propos auraient eut lieu dans différents pays.

Dans certaines circonstances, une impulsion à basse fréquences peut produire des signaux auditifs pour un seul individu alors qu’ils demeurent inaudibles pour les autres.

Quatrième phase :

La quatrième phase concernerait des manifestations surnaturelles.

Cette phase comporterait trois leurres différents.

Le premier consisterait à faire croire aux êtres humains qu’un invasion extraterrestre va survenir dans chaque grande ville du monde.

Le second leurre serait de faire croire aux chrétiens qu’un merveilleux événement va survenir sous la forme d’une intervention extraterrestre bénéfique dans le but de protéger les terriens d’un démon impitoyable.

Le but de cette manœuvre serait de rassembler d’un seul coup tous les opposants à l’ordre mondial juste avant le début du spectacle céleste.

Le troisième point de cette quatrième phase est l’usage global de tous les moyens de communication moderne pour diffuser des ondes visant à déstabiliser psychiquement les populations aux moyens d’hallucinations individuelles et collectives.

Après la « nuit des mille étoiles », et tous les bouleversements mondiaux suscité par cet événement, la population mondiale sera prête pour accueillir le nouveau messie en chair et en os, un cyber-Rockfeller faussement extranéen, qu’on suppliera de rétablir l’ordre et la paix à n’importe quel prix, mais surtout au prix de notre liberté individuelle.

Une unité artificielle des peuples permettra de régler les problèmes urgents, lesquels ont été, de toute façon, créés de toutes pièces.

Mais, progressivement la face tyrannique de la nouvelle religion mondiale apparaîtra et nombre de personnes se réveilleront.

Le contrôle de la terre sera entre les mains d’une caste de « grands-prêtres » et de technocrates impitoyables agissant « au nom de Dieu ».

Le but de cette dictature est le contrôle de tous les habitants et le l’exploitation globale des ressources de la planète.

Blue Beam et le 11 septembre :

Dans une théorie du complot sur 11 septembre, les avions dans les tours du WTC seraient eux aussi des hologrammes, sachant que les explosifs étaient déjà sur place.

Le projet BLUE BEAM prend donc ici toute sa crédibilité et comme annoncé par Ronald Reagan, l’humanité sera forcée de s’unir dans un gouvernement mondial pour lutter contre une invasion.

Hasard ?

Il ne faut surtout pas oublier que les militaires ont une avance technologique de plusieurs années, voir des dizaines d’années.