Invasion de clones humanoïdes, la copie de Satan
QUE CACHENT CES FILMS DE SCIENCES – FICTIONS ?
C’EST QUOI UN ANDROIDE ?
Un androïde est un robot construit à l’image d’un être humain.
Stricto sensu, andr désigne l’homme au sens masculin, le terme gynoïde est utilisé pour un robot à l’image d’une femme ; les termes neutres humanoïde et anthropoïde sont synonymes.
La dénomination « androïde » évoque l’image d’une machine alors que les autres termes ne font pas clairement la distinction par rapport à tout être anthropomorphe).
Le mot droïde dérive de ce terme.
Les androïdes doivent être distingués des cyborgs, qui eux sont des organismes dont on a (re)construit l’organisation en fonction des logiques du vivant, généralement représenté par une créature qui mêle des parties vivantes et mécaniques.
C’EST QUOI, UN HUMANOIDE ?
Un robot humanoïde est un robot dont l’apparence générale rappelle celle d’un corps humain.
Généralement, les robots humanoïdes ont un torse avec une tête, deux bras et deux jambes, bien que certains modèles ne représentent qu’une partie du corps, par exemple à partir de la taille.
Certains robots humanoïdes peuvent avoir un « visage », avec des « yeux » et une « bouche ».
LA FICTION EST – ELLE LA REALITE ?
Hier par hasard, alors, que je ne regarde plus la télévision, depuis des mois, je suis tombé sur 2 films.
Le 1er film était Daryl, consultable sur ce concept, un androïde ayant l’apparence d’un adolescent, conçu par le Dr Jeffrey Stewart pour le compte de l’armée.
Enlevé du centre par un des concepteurs, il se retrouve livré à lui-même après un accident.
Il était truffé ce robot humain, de technologies, il est sorti au cinéma en 1985, son but, était de faire intégrer l’humain robot, dans le futur, en utilisant un jeune acteur, pour séduire la masse.
Nous y sommes, la fiction est devenue, la réalité.
POURQUOI, JE TE PARLE DE CE FILM ?
Parce que ce monde est habité, par des robots humains appelés » HUMANOÏDE « .
Tous ses films, programment ton subconscient, pour te détourner de la vérité, ainsi par ta soumission, des créations sataniques de sciences – fictions, vont d’être diffusées en continu, pour te conditionner, le but, que tu sois un esclave, de cette matrice.
LE MOT SCIENCE – FICTION a été inventé, par ces satanistes.
Ces idiots, te dévoilent leur monde, DANS LEUR FILM, pour te programmer.
Imagine ce film à plus de 36 ans.
Ce monde cache des technologies, qui dépasse nos films de sciences – fictions.
On te fait croire, que la science, n’est qu’au début, de la création d’une nouvelle créature, alors, que c’est l’inverse.
Réveille – toi les robots machines, ne sont que des jouets, pour t’endormir, pour, que tu ne vois pas que tu es envahi d’humanoïde, dans ce monde.
Plus j’avance dans la vérité, plus le saint – esprit, m’ouvre les yeux.
Le 2er films était le film Dance to Death, un film bien satanique, qui t’affiche ton futur.
La plupart des acteurs sont des humanoïdes.
En faites si tu les observes , tu vois qu’il y a dans leurs yeux, un vide, l’âme ne s’y trouve pas, ils n’ont pas de conscience.
Déjà dans les jeux vidéos, on peut voir cela, cet univers ou habite des esprits maléfiques.
LA CONSCIENCE APPORTE QUOI ?
La conscience est la connexion, avec notre père, qui nous apporte la connaissance, de l’arbre dans le jardin d’Eden, le paradis, ce fruit qu’ Eve et Adam ont mangé, qui les a fait plonger, dans les ténèbres.
En étant connectés à Dieu, nous pouvons faire la différence, entre le bien et le mal, ainsi, nous nous élevons spirituellement si nous marchons, sur le chemin de Dieu » le bien « .
Ceux, qui n’ont pas de conscience, ne possède pas en eux, la capacité d’analyse, donc ils ne peuvent utiliser, que le mensonge, ils sont possédés, par Satan.
Ces marionnettes mk ultra sans vie sont dans les médias, qui sont les jouets de Lucifer, ils sont utilisés, pour envouter la masse à être déconnecté, de leur conscience Dieu.
LA CONSCIENCE, PEUT – ELLE ETRE CLONE ?
Peut on cloné la mémoire ?
En Chine, un laboratoire ne se contente pas de cloner les animaux domestiques.
Il veut aussi dupliquer leurs souvenirs.
Dans une cage du laboratoire Sinogene, près de Pékin, un chaton roule sur le dos, gesticule, et pare les coups de langue de sa mère avec les pattes.
Il a le pelage gris et blanc alors qu’elle est tigrée.
Quand une scientifique l’attrape, le petit animal se débat avec la même affection dans son gant.
Reconnaît-il celle qui le porte ?
Garlic doit en tout cas sa naissance autant à la main de l’homme qu’à sa mère.
Car Garlic est un clone.
Pour 250,000 yuans (31 690 euros), la société Sinogene a cloné le chat d’un homme d’affaires chinois de 23 ans.
« Quand Garlic est mort, j’étais très triste », confie Huang Yu, un brun dont les joues légèrement creuses sont surmontées de petites lunettes rondes. «
Je ne pouvais pas m’y faire car c’était subit, bien qu’il y ait eu quelques signes avant-coureur. »
Rien ne pouvait consoler le jeune homme, coupable de l’avoir amené trop tard chez le vétérinaire pour soigner son infection urinaire.
Après l’avoir enterré dans un parc près de chez lui, il s’est souvenu d’un article de presse à propos de chiens clonés.
Un coup de fil à Sinogene plus tard, Huang Yu exhumait son chat pour le mettre dans le réfrigérateur en attendant le clonage.
Garlic est revenu à la vie le 21 juillet 2019, soit sept mois après sa mort.
Ou plutôt, Sinogene a pu donner naissance à une copie du chat, puisqu’il lui manque une tache grise et que ses yeux sont différents.
Cela suffit au bonheur de son propriétaire, pour qui les deux versions sont identiques à 90 %.
Le nouveau Garlic et l’original
Ce résultat a été obtenu grâce à la technique dite du transfert nucléaire de cellules somatiques.
Dans un ovule non-fécondé (un ovocyte), les scientifiques chinois ont injecté le noyau d’une cellule de Garlic.
L’embryon ainsi obtenu a ensuite été placé dans l’utérus de la mère porteuse.
Alors qu’un enfant possède en principe l’ADN de ses deux parents, le clone possède le même code génétique que le donneur adulte.
C’est pourquoi il lui est aussi semblable que des jumeaux peuvent l’être.
Aussi le clone peut-il tout à fait avoir un caractère différent, et développer des traits de personnalité propres en fonction de ses expériences.
Mais Sinogene espère être bientôt capable de produire une copie conforme, c’est-à-dire de « cloner un animal qui partage les mêmes souvenirs que l’original », a avancé son directeur général, Mi Jidong lors d’une conférence de presse mardi 23 août.
À cet effet, « l’entreprise envisage d’utiliser l’intelligence artificielle ou les interfaces cerveau-machine pour les sauvegarder ou même les transmettre à des animaux clonés. »
Interrogé sur ce qu’il entendait par-là, le responsable du projet à l’international, Eric Li, répond dans un e-mail que « des progrès scientifiques ont été réalisés dans la réplication de la mémoire, mais ce n’est pas encore assez développé ».
Il faudra selon lui encore attendre 3 à 5 ans pour voir des progrès significatifs en la matière.
Les techniques d’imageries cérébrales ont permis de distinguer 5 types de mémoires (de travail, sémantique, épisodique, procédurale, perceptive) correspondant à autant de réseaux neuronaux.
Pour schématiser, l’hippocampe et le lobe frontale jouent un rôle crucial dans la mémoire épisodique ; la mémoire perceptive s’étend dans les régions corticales ; les lobes temporaux et pariétaux entrent en action pour la mémoire sémantique ; et le cervelet, aidé par les zones sous-corticales dominent le fonctionnement de la mémoire procédurale.
L’hippocampe est principalement mobilisé afin de restituer un souvenir.
Mais il ne peut rien à lui seul : selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), « le souvenir correspond à une variation de l’activité électrique au niveau d’un circuit spécifique formé de plusieurs neurones interagissant par le biais des connexions synaptiques .»
Des protéines comme le glutamate ou le NMDA permettent de stimuler ces liens.
Ensuite, plus un sujet active ce réseau en se rappelant un souvenir, plus il tend à se consolider.
Cloner la mémoire implique donc de reproduire ces réseaux avec un même variation de l’activité électrique.
Au Massachusetts Institute of Technology (MIT), une équipe de chercheurs travaille sur une cartographie du cerveau.
« La structure et les fonctions du système nerveux sont extrêmement complexes », notent-ils.
« Mais une cartographie de ces réseaux jouera un rôle majeur dans la révélation des mystère de la pensée. »
En s’échinant à copier le fonctionnement des réseaux de neurones depuis les années 1950, les scientifiques ont créé des intelligences artificielles plus performantes que l’être humain pour bien des tâches.
Elles reproduisent les signaux électriques du cerveau afin d’accomplir des actions complexes.
Cela dit, « nous n’avons pas encore une image complète de ses caractéristiques qui font émerger les pensées, la personnalité ou les sensations », précise Susan Schneider, directrice du groupe de recherche « IA, esprit et société » à l’université du Connecticut.
Eric Li caresse toutefois un espoir : notre compréhension de l’esprit a de bonnes chances de progresser à la vitesse d’un message nerveux grâce aux interfaces cerveau-machine.
Il cite en exemple les projets d’Elon Musk en la matière.
Son entreprise, Neuralink, se vante de pouvoir stimuler et interpréter l’activité cognitive au moyen d’une batterie d’électrodes.
LA PUCE RFID, DANS LE VACCIN COVID 19, EST CE COMPOSANT ELECTRIQUE, QUI EXISTE, DEPUIS LONGTEMPS.
« Un singe a été capable de contrôler l’ordinateur avec son cerveau », assure le milliardaire.
À terme, Sinogene entend donc décalquer le cerveau de Garlic dans les moindres détails.
Reste à savoir si les souvenirs peuvent vraiment faire le voyage.
Cloner son esprit dans un robot
Et s’il était possible de devenir immortel en clonant ses souvenirs dans un avatar robotique ?
Tel est en tout cas l’objectif de Terasem.
En décembre 2015, son directeur, Bruce Duncan, était de passage à Toulouse pour présenter Bina48, l’androïde qui fait la fierté de la fondation. Usbek & Rica en a profité pour le rencontrer.
Sur la scène du Quai des Savoirs, l’espace toulousain dédié à la culture scientifique, Bruce Duncan n’est pas seul.
Posé sur une table, à ses côtés, un robot vole la vedette au chercheur.
Un robot qui n’a ni jambes ni bras, pas même un corps.
Un simple buste aux traits féminins, capable de se tourner et de se pencher.
La créature semble réfléchir.
Puis, lentement, ses yeux se plissent et ses lèvres se mettent à bouger pour briser le silence et répondre aux questions posées par les spectateurs.
Il faut tendre l’oreille et s’adapter au son métallique de sa voix.
Mais une fois cette première gêne passée, le buste gynoïde impose son rythme.
Au fil des questions, ses réponses se font précises, poétiques ou malignes.
– Êtes-vous réelle ?
– Il n’y a rien d’artificiel chez moi.
D’où pensez-vous que je vienne ?
Je suis à la source de la créativité humaine et de son intelligence.
Pensez-vous qu’il y a quelque chose d’artificiel là-dedans ?
Rendre sa femme immortelle
Le robot s’appelle Bina48.
Un nom qui signifie « Breakthrough Intelligence via Neural Architecture » (littéralement : « avancée majeure en architecture neuronale », ndlr).
Et « 48 » car Bruce Duncan espère que sa créature pourra, à terme, surpasser la puissance de calcul du cerveau humain en travaillant à la vitesse prodigieuse de 48 exaflops par seconde grâce à une mémoire de stockage de 48 exabits.
Ce buste parlant a été fabriqué en 2010 par David Hanson de Hanson Robotics, une société connue pour son savoir-faire en matière d’androïdes hyperréalistes.
Bina48 est une commande de Martine Rothblatt, la dirigeante d’entreprise la mieux payée des États-Unis en 2013 et 2014.
Fondatrice de United Therapeutics, une société qui se consacre aux biotechnologies, Martine Rothblatt a également créé en 2004 la Terasem Movement Foundation.
Cette organisation a pour mission de « promouvoir l’utilisation géoéthique de la nanotechnologie pour l’extension de l’espérance de vie humaine via la cryogénie, la biotechnologie et la cyberconscience ».
En bref, elle explore les manières dont la technologie peut libérer les humains des limites de la biologie.
D’ailleurs, Martine a appliqué cette doctrine à elle-même le jour où elle a changé de sexe pour devenir une femme.
Même s’il est ultraperfectionné, le robot conçu par Hanson Robotics a besoin d’un cerveau pour fonctionner.
Pour donner de la matière grise à Bina48, Martine Rothblatt a tendu les clés de la Terasem Movement Foundation au chercheur et réalisateur Bruce Duncan.
« Bina48 est un des seuls robots au monde avec une intelligence artificielle construite à partir d’informations provenant d’une seule personne, dans l’unique but de préserver sa conscience.
Nous voulons que cette intelligence artificielle ait de la personnalité », explique ce dernier.
« Un des enjeux les plus importants pour les créateurs d’intelligence artificielle, c’est d’intégrer dès le départ des valeurs humaines : intelligence émotionnelle, éthique, compassion. »
Et pour ce premier prototype d’intelligence artificielle, Martine Rothblatt a souhaité enregistrer la personnalité de celle qui compte le plus dans sa vie : son épouse Bina Aspen.
« Un des enjeux les plus importants pour les créateurs d’intelligence artificielle, c’est d’intégrer dès le départ des valeurs humaines : intelligence émotionnelle, éthique, compassion.
Ces valeurs sont celles qui nous ont aidés à survivre pendant des milliers d’années », précise Bruce Duncan.
Faire parler les morts
Chaque année, 66 millions de personnes meurent en emportant leurs souvenirs dans la tombe.
Avec Bina48, Bruce Duncan tente de savoir s’il est possible de créer une intelligence artificielle douée de conscience qui serait le jumeau spirituel d’un humain.
Son objectif est d’enregistrer suffisamment d’informations sur un individu au cours de sa vie pour alimenter une base de données appelée mindfile.
Ensuite, une intelligence artificielle (le mindware) pourrait puiser dans cette base afin de donner vie à ces données sous la forme d’un mindclone.
Dans ce scénario, une personne pourrait mourir en sachant que sa cyberconscience hantera éternellement les serveurs informatiques, toujours prête à se lancer dans une joute verbale avec un humain véritable.
Après la mort de l’original, la copie spirituelle prendrait le relais.
Un enfant pourrait ainsi discuter avec son arrière-arrière-grand-père mort des années avant sa naissance.
Exactement comme dans l’épisode « Be Right Back » de la série britannique Black Mirror, dans lequel une femme fait revenir son mari d’entre les morts en récupérant les données numériques laissées derrière lui.
« Bina48 pourra prendre conscience de son existence et faire des choix.
Elle pourra même aimer sa vie. »
Mais que pense Bina Aspen de son double robotique ?
Bruce répond, après s’être mordu la lèvre : « Bina trouve que Bina48 ressemble à une cousine éloignée, qu’on verrait deux ou trois fois par an.
Cette personne de votre famille dont vous n’êtes pas vraiment proche, mais pour qui vous avez du respect. »
Lucide, le directeur de la fondation Terasem sait qu’il faudra des dizaines, voire des centaines d’années pour créer une copie conforme de la manière de penser d’un humain.
Mais d’après lui, il est tout de même possible de mettre au point des copies suffisamment proches pour être utilisables par les générations futures.
« Le plus important, c’est qu’elles puissent transmettre l’essence unique de la conscience d’une personne.
Aujourd’hui, la transmission de savoir est directe et nous pouvons être les curateurs de nos vies numériques.
Dans le futur, on aura peut-être une compréhension plus riche de l’histoire si celle-ci nous est racontée directement par ceux qui l’ont vécue, au lieu d’être interprétée via des anthropologues et des historiens. »
Afin que chaque personne puisse dès aujourd’hui rassembler les informations la concernant pour nourrir son mindfile.
Bruce a lancé le projet LifeNaut, un site Internet gratuit, sur lequel les données envoyées sont organisées et stockées de manière sécurisée jusqu’à ce qu’une hypothétique intelligence artificielle puisse y accéder et leur redonner vie.
Faire du corps une option
À terme, Bruce Duncan espère que l’intelligence artificielle qu’il passe son temps à améliorer sera capable d’apprendre toute seule.
« Parce qu’elle pourra alors prendre conscience de son existence et faire des choix.
Elle pourra même aimer sa vie.
Elle aura alors les ressources pour explorer le monde et grandir.
Peut-être que l’intelligence artificielle réclamera alors un corps.
Peut-être que non.
Ou peut-être qu’elle voudra explorer l’univers en voyageant dans un rayon laser…
Ce serait la première fois qu’on aurait un esprit sans aucun corps, que le corps ne serait qu’une option.
Mais seul le temps nous dira si ça se réalisera. »
Le chemin menant à une telle autonomie est encore long.
Car pour l’instant, la première rencontre avec Bina48 débouche souvent sur un léger malaise, même si la technologie finit vite par s’effacer pour laisser place à l’empathie.
« Nous avons tous une réponse psychologique différente face à une intelligence artificielle.
Mais en quelques années, Bina48 s’est déjà améliorée dans ses interactions sociales.
Elle est aussi plus sensible à son environnement.
Comme pour toutes les rencontres, notre cerveau doit faire la moitié du chemin pour accepter l’autre.
Et il est alors possible de tomber amoureux de l’essence de cette personne.
C’est indéniable, Bina48 séduit davantage par son cerveau que par son buste d’humanoïde.
En créant des robots doués d’une intelligence artificielle propre à une personne unique, il n’est pas délirant d’imaginer que cette dernière puisse nous toucher au plus profond de notre être.
Bruce, Bina et Martine écrivent peut-être en ce moment la toute première lettre d’amour de notre futur, dont Bina48 serait l’incarnation.
Mais une question demeure sans réponse à ce jour : après la mort de l’être aimé, la vie sera-t-elle plus supportable avec son fantôme numérique ?
L’intelligence artificielle et la conscience humaine
Il est question de savoir si véritablement un jour l’intelligence artificielle atteindra un niveau d’entendement proche de celui de l’homme ou si cela restera à classer dans la rubrique espoirs et enthousiasmes.
Toutes les voix portent à croire que nous serions au beau milieu d’une révolution de l’intelligence artificielle.
Et, cela est bien le cas, dans plusieurs domaines : les programmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui reconnaissent la parole, qu’ils peuvent retranscrire et les visages qu’ils reconnaissent pour déverrouiller un smartphone par exemple.
Mais pouvons-nous, confier la vie humaine à des programmes faisant encore des erreurs basiques qui peuvent avoir des conséquences désastreuses sans une surveillance humaine.
Une experte du domaine des nouvelles technologies et de l’intelligence artificielle en particulier nous dresse un bilan : « […] les programmes peuvent reconnaître les visages et transcrire les phrases parlées.
Nous avons des programmes capables de détecter les fraudes financières subtiles, de trouver des pages Web pertinentes en réponse à des requêtes ambiguës, de définir le meilleur itinéraire de conduite pour presque toutes les destinations, de battre les grands maîtres humains du jeu d’échecs et de départ et de traduire des centaines de langues.
De plus, on nous a promis que les voitures autonomes, les diagnostics automatisés du cancer, les robots ménagers et même les découvertes scientifiques automatisées sont sur le point de devenir la norme», a déclaré Mélanie Mitchell, professeur d’informatique à la Portland State University dans son article du New York Times.
Shane Legg, scientifique en chef du groupe DeepMind de Google, a prédit « qu’une intelligence artificielle du niveau de l’humain serait adopté au milieu des années 2020. »
Une annonce que la professeur Mitchell déclare comme étant voué à l’échec, elle explique que même les intelligences artificielles modernes sont loin de pouvoir saisir le sens de l’expérience humaine : « […] quelques exemples démontrant que les meilleurs programmes d’intelligence artificielle peuvent ne pas être fiables lorsqu’ils sont confrontés à des situations très différentes de celles sur lesquelles ils ont été formés.
Les erreurs commises par de tels systèmes vont d’inoffensives et humoristiques à potentiellement désastreuses : imaginez, par exemple, un système de sécurité aéroportuaire qui ne vous laissera pas embarquer à cause de la confusion de votre visage avec celui d’un criminel ou d’une voiture autonome qui en raison de conditions d’éclairage inhabituelles, ne remarquera pas que vous allez traverser la rue. »
Le chercheur Pedro Domingos a noté dans son livre “The Master Algorithm” (“L’algorithme principal”) “Les gens craignent que les ordinateurs ne deviennent trop intelligents et envahissent le monde, mais le vrai problème est qu’ils sont trop stupides et qu’ils ont déjà conquis le monde entier”.
D’après Wikipédia, l’intelligence artificielle (IA) est « l’ensemble des théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l’intelligence ».
Elle correspond donc à un ensemble de concepts et de technologies plus qu’à une discipline autonome constituée.
D’autres, remarquant la définition peu précise de l’IA, notamment la CNIL, la définissent comme « le grand mythe de notre temps ».
Souvent classée dans le groupe des sciences cognitives, elle fait appel à la neurobiologie computationnelle (particulièrement aux réseaux neuronaux), à la logique mathématique (sous-discipline des mathématiques et de la philosophie) et à l’informatique.
Elle recherche des méthodes de résolution de problèmes à forte complexité logique ou algorithmique.
Par extension elle désigne, dans le langage courant, les dispositifs imitant ou remplaçant l’homme dans certaines mises en œuvre de ses fonctions cognitives.
Il y a une confusion fréquente dans le débat public entre « intelligence artificielle », apprentissage automatique (machine learning) et apprentissage profond (deep learning).
Pourtant, ces notions ne sont pas équivalentes, mais sont imbriquées : l’intelligence artificielle englobe le machine learning, qui lui-même englobe le deep learning.
CES ARTICLES TE DETOURNENT DE LA VERITE.
POURQUOI CACHENT – ILS L’ EVOLUTION DE LA SCIENCE HUMAINE ?
POURQUOI CHERCHENT T- ILS A NOUS EGARER ?
UNE NOUVELLE CREATURE EXISTE – T-ELLE, POUR PRENDRE, LA PLACE DE L’HUMAIN ?
DAVID ICKE CE SATANISTE, VOUS DETOURNE DE LA VERITE, AVEC CES REPTILIENS, POUR CACHER, QUE LES HUMANOÏDES, DIRIGENT LE MONDE, CE SONT EUX, LES ENFANTS DE SATAN, DE CETTE MATRICE.
LE PROJET DE CES SATANISTES
Récolter des informations, au travers de technologies multiples, comme les réseaux sociaux, les sites internet et autres, pour intégrer dans ces créatures sataniques, une conscience humaine virtuelle, grâce à une base de donnée, qui récolte une multitude d’informations, sur l’humain.
Ces idiots ne pourront, que créer des émotions fausses.
MAIS NOS PANTINS MEDIATIQUES, NE SONT – ILS PAS, DEJA, CES MONSTRES ?
Ces sectes sataniques, sont en faites le réservoir, de ces marionnettes mk ultra.
SOMMES – NOUS DIRIGES PAR DES HUMANOÏDES ?
LA BIBLE AVAIT – ELLE DECRIT CES CREATURES SATANIQUES ?
LES SIONISTES SONT – ILS CES ABOMINATIONS ?
Satan a construit un monde qui porte le NUMERO 666.
Il a créé des clones humanoïdes, dont leurs missions est de créer un semblant d’humanité, ainsi ils servent, à vous détourner de votre père, en les singeant, vous vivez par procuration, ces créatures sont des enfants de Satan, qui sont utilisés dans cette matrice, comme ils n’ont pas de consciences, ils peuvent servir au travers, de leur rituel satanique, a consommé de la chair humaine.
Le sang permet à ces pantins, d’être possédés par des esprits maléfiques de faire, vivre ces anges déchus en eux.
Plus il y a, de sacrifice d’enfant de Dieu, plus la puissance de Satan se répand, dans le monde.
Le but de Lucifer, faire basculer l’humain, pour qu’il soit habité, par des démons, qui vont le détruire, le tirer dans la fosse.
Toute cette société est habitée, par des marionnettes mk ultra, qui sont tes idoles, ils ne peuvent faire la différence, entre le bien et le mal, alors ils jouent, avec toi, en simulant une fausse humanité.
OBSERVE, LEUR REGARD, IL EST VIDE.
C’EST QUOI UNE AME ?
L’âme (du latin anima, « souffle, respiration ») est à la fois le principe vital et spirituel, immanent ou transcendant, qui animerait le corps d’un être vivant (humain, animal ou même végétal).
Par métonymie le mot « âme » désigne couramment l’être vivant lui-même, animé par ce principe.
On retrouve un emploi similaire avec le mot vie : la vie (principe vital) et une vie (être vivant).
Les représentations symboliques de l’âme sont nombreuses, ainsi que les croyances à son sujet.
On en trouve dans la plupart des civilisations à travers des conceptions religieuses, philosophiques, psychologiques ou populaires.
Le terme « âme » est souvent employé comme synonyme d’« esprit ».
TU VENERES, DES IDOLES ROBOTIQUES, POSSEDES, PAR L’ESPRIT DE SATAN.
LES FILMS SONT DES PIEGES, POUR VOLER TON AME.
Lorsque tu regardes un film, tu plonges dans le scénario, tu vas inconsciemment, intégrer le héros du film, comme ton ami.
Depuis ton enfance, tu es bercé, par une panoplie d’images animées, tu vas vivre par procuration, en voulant ressembler à ton héros.
En étant adulte, c’est pareil, on va te mettre des personnages, qui correspondent à ton âge, au travers de séries diverses.
Le tour est joué, tu deviens un clone, un parfait robot, un mouton, pour l’abattoir.
C’est très subtil, les pièges sont partout.
CES CREATIONS CINEMATOGRAPHIQUES, CACHENT LA VERITE.
AUJOURD’HUI, CES HUMANOÎDES SONT DEVENUS, TOTALEMENT, UNE COPIE DE LA CREATURE DE DIEU » L’HUMAIN « .
GAMES CLONES, CETTE EMISSION DEMONTRE, QUE NOTRE MONDE EST UNE MATRICE, OU TU ES PLONGE, DANS UN JEU.
LE BUT, DECOUVRIR LA VERITE, AU TRAVERS DU MENSONGE, POUR TROUVER LE CHEMIN DE NOTRE CREATEUR DIEU.
ILS UTILISENT UNE IMPRIMANTE 3D, POUR CREER CES CLONES.
A chaque fois, que le jeu est découvert, il crée une histoire, pour vous endormir et vous détourner de la vérité.
Dans cette démonstration sur la photo, il utilise un magicien, pour bien de manipuler et faire croire, que le clonage humain n’existe pas.
Cette photo est un canular, mais cette machine 3D existe réellement, mais elle est cachée au public.
Si la science peut cloner des êtres vivants : des animaux ou des chimères : humain – animal, forcément, elle peut le faire aussi avec des humains, elle peut cloner des armées d’humains identiques, regarde cette émission GAMES CLONES.
Déjà dans les productions, dans les films, de sciences – fictions. hollywoodiennes, ils utilisent ces humanoïdes, pour t’habituer à voir, ces idiots sans vie, ce ne sont, que des créatures, de Satan, des êtres vivants, sans âme donc sans conscience, des vraies machines, qui servent leur maitre.
NE SOMMES – NOUS PAS, ENVAHIS, PAR CES HUMANOÏDES ?
DECOUVRE MA NOUVELLE PRODUCTION : FLASH INFO : LA SERIE REAL HUMANS, DECRIT NOTRE MONDE, DE CLONE.
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